@Spartacus Lequidam
PS : L’industrie, même robotisée, reste une masse de « capital fixe » et d’autant plus écrasante entre les mains du banco-centralisme, même si évidemment par le levier des « valeurs immatérielles » comme intermédiaires de domination et de contrôle, précisément banco-centraliste, et non plus capitaliste, au sens « classique » du terme : avant de dénigrer les articles sur la seule base de ses préjugés idéologiques, il faut d’abord les lire !!!
Luniterre
@titi
Pour vous jouer au matamore plus ou moins stipendié tout en restant prudemment du côté du manche Etats-unien a donc ici atteint sa limite, que ça plaise ou non : c’est un simple constat !
Idem pour @Spartacus Lequidam ! (L’industrie, même robotisée, reste une masse de « capital fixe » et d’autant plus écrasante entre les mains du banco-centralisme, même si évidemment par le levier des « valeurs immatérielles » comme intermédiaires de domination et de contrôle, précisément banco-centraliste, et non plus capitaliste, au sens « classique » du terme : avant de dénigrer les articles sur la seule base de ses préjugés idéologiques, il faut d’abord les lire !!!).
Luniterre
@titi
Si tel est le cas, comme vous le prétendez, il vous faut donc maintenant citer avec liens et références les sources d’après lesquelles, selon vous, j’aurais donc plagié mes articles et mes analyses !« Luniterre n’a aucun argument, il récite, il anône »
Bon courage...
Luniterre
@Spartacus Lequidam
A part le contrôle du crédit, aucun des sujets « critiqués » par vous ne sont évoqués dans cet article : votre « réponse » est donc tout à fait du genre « pavlovien » : la cloche a sonné et vous voilà déjà en train de tenter de mordre, sans même savoir quoi !
Concernant le contrôle de la dette, du crédit, et donc de la création monétaire, il est actuellement le fait des Banques Centrales, en dernier ressort, et principalement depuis la crise de 2007-2008, déjà, avec la généralisation, sous diverses formes, du Quantitative Easing. A ce sujet :
« Un article un peu plus ancien, mais où Richard Werner, lui-même à l’origine du concept de »Quantitative Easing« , décrit on ne peut mieux, à partir de son expérience personnelle d’économiste au Japon, l’évolution économique banco-centraliste de ce premier quart du XXIe siècle, jusqu’à la naissance actuelle des Monnaies Numériques de Banque Centrale et au danger fatidique pour les libertés, économiques, et les libertés tout court, qu’elles représentent :
Richard Werner, »père spirituel« du Quantitative Easing et »apprenti sorcier" du banco-centralisme http://cieldefrance.eklablog.com/richard-werner-pere-spirituel-du-quantitative-easing-et-apprenti-sorci-a215699895Luniterre
@titi
@titi
@titi
« C’est de l’ironie. Pas de l’allégeance. »
« Je ne vois aucune raison de le faire. L’économie s’adapte à son époque. »
D’une part l’Ukraine est en train de perdre la guerre qu’elle fait pour le compte de l’OTAN, et cela malgré l’aide « coalisée » de cet organisme regroupant l’essentiel des « forces » occidentales, et d’autre part l’économie mondiale se porterait donc au mieux, selon vos critères...
Si ce n’est pas un « remake » de « Tout va très bien, Madame la Marquise ! », ça y ressemble fort !
Mais si tout va vraiment aussi bien au royaume Otanien dont vous vous faites le larbin, un peu dans le style de celui de la chanson, du reste, on se demande donc bien à quoi peut servir votre dénigrement des opposants de ce système mirifique !
Dans la chanson, le larbin tente en fait de cacher la misère qui s’abat violemment sur le « château »...
Vous aussi, en fin de compte... Mais « C’est de l’ironie », bien entendu...
Luniterre
@titi
@Soucougnan
Après :
« Plus de trois décennies se sont écoulées, depuis l’effondrement de l’URSS, sans que la Russie ne s’engage dans un conflit majeur. »
J’aurais pu ajouter :
« Contrairement aux USA, dont on ne compte même plus les guerres dont ils sont responsables, directement ou indirectement, et les millions de victimes qu’elles ont engendrées. »
Pour la « Défense du Monde LIbre » ??? En l’état actuel les USA sacrifient simplement l’Europe sur l’autel de leurs propres intérêts. Mais ont-ils jamais fait autrement ?
Sans De Gaulle la France eut été transformée en une sorte de « protectorat » néocolonial US. Avec ses successeurs, et surtout, avec Macron, c’est, économiquement, de plus en plus ce qu’elle tend à devenir.
Luniterre
@Soucougnan
« Vous êtes le seul à m’avoir fait cette critique, à qui suis-je donc censée demander des explications, sinon à vous ?
Si vous pensiez sérieusement ce que vous écriviez, eh bien décidez-vous à m’expliquez en quoi je me serais contredite ! »
Je constate simplement ne pas être le seul à remarquer vos contradictions… Encore une fois, relisez-vous et tant qu’à faire, relisez les réponses qui vous sont faites.
Dans l’un de vos premiers posts :
« Les Russes n’ont pas lancé en Ukraine une guerre de conquête, même si c’est ce à quoi ils semblent présentement réduits. Ils se sont engagés dans une guerre pour préserver leur zone d’influence face aux avancées occidentales et face à la menace d’un encerclement stratégique. Or malheureusement pour la Russie, en dépit de ses efforts, l’Occident va bel et bien mettre la main sur l’Ukraine. »
Déjà, la remarque que l’expression « mettre la main sur l’Ukraine » est particulièrement révélatrice de la volonté réelle de l’Occident vous a été faite par un autre que moi… Et cette volonté de « mainmise sur l’Ukraine » s’est déjà clairement manifestée depuis le début du siècle à travers les différentes manipulations politiques occidentales en Ukraine, « révolutions de couleur » et autres…
Tout au long de vos posts, et à l’instar de vos « maîtres à penser » occidentaux vous alternez entre brandir la « menace russe » qui ne serait, selon eux, « pas prête de s’arrêter à l’Ukraine » et d’un autre « côté » incapable, précisément même, de « conquérir l’Ukraine » et donc « obligée de négocier », selon cette « optique » un « deal 80%/20% », et donc en faveur de l’Occident…
Il faudrait donc savoir…
Selon vous, donc :
« Ils [les russes] se sont engagés dans une guerre pour préserver leur zone d’influence face aux avancées occidentales et face à la menace d’un encerclement stratégique. »
>>> « pour préserver leur zone d’influence face aux avancées occidentales »
La zone la plus naturelle d’influence russe en Europe s’étend logiquement aux pays de langue slave, c’est-à-dire à des pays de l’ancienne URSS, principalement. Plus de trois décennies se sont écoulées, depuis l’effondrement de l’URSS, sans que la Russie ne s’engage dans un conflit majeur. Poutine a à plusieurs occasions manifesté sa volonté d’arriver à un nouvel équilibre par voie de négociation, notamment et « récemment », en 2021, précisément, lors de sa rencontre avec Biden à Genève.
Fin de non-recevoir >>> vous connaissez la suite :
« Ils [les russes] se sont engagés dans une guerre pour préserver leur zone d’influence face aux avancées occidentales et face à la menace d’un encerclement stratégique »
Relisez-vous en réfléchissant à ce que vous avez écrit : causes et conséquences.
Luniterre
@GoldoBlack
« ...en répétant autrement ce que j’écris » ...mais en « l’interprétant » différemment de ce que je trouve précisément « ridicule » dans votre réponse...
De toute façon, pour une bonne compréhension, vu la difficulté pour la plupart des gens dans cette situation pour le moins « complexe », on ne répétera donc jamais assez !
Luniterre
@Soucougnan
Il me semble que d’autres lecteurs, ici, s’en chargent assez bien à ma place...
Le fond du du sujet, in fine, au fil du débat, c’est aussi le place de la France dans les relations internationales et le nouvel « équilibre » instable, pour le moins, entre l’Occident et l’Orient.
C’est en fonction qu’il faut analyser le rôle de la Russie et nos relations avec elle...
La réponse est plus une thèse qu’un post, même long, sur Agoravox : je vous invite à y réfléchir en vous inspirant des grands axes de réflexion qui ont inspiré la diplomatie du Général De Gaulle, en son temps, et qui restent d’actu, dans le principe de la démarche, sinon évidemment dans les détails connotés « d’époque ».
Mais qui semblent parfois avoir été écrits pour les situations actuelles :
Luniterre
@Soucougnan
Relisez vous attentivement...
Luniterre
@GoldoBlack
Ce qui est ridicule c’est votre fausse « naïveté » concernant les « petits arrangements entre amis » en ce bas monde. Ce qui n’implique donc pas forcément la « confiance », vu le précédent turc, et donc deux précautions valent mieux qu’une : Israël a effectivement moins de risques d’être « trahi » par un « allié » de circonstance désarmé, ou très peu armé...
Pourtant simple à comprendre, à moins de ne pas vouloir comprendre !
Ou de n’en être pas capable...
Luniterre
@Soucougnan
Dans le genre involontairement révélateur, voir aussi la récente interview de Gilles Kepel, qui donne pas mal d’infos sur l’enchaînement des événements en
Syrie et sur leurs causes, en remontant jusqu’au 7 Octobre : il suffit d’aller
jusqu’au bout de l’analyse, en se rappelant les infos alors déjà disponibles
pour faire le rapprochement et comprendre même ce qui manque à son analyse :
Du 7 Octobre à la Syrie : Gilles Kepel, un auteur « bien informé », mais qui ne dit pas tout... !
Luniterre
@Soucougnan
Les contradictions internes de vos propos étant une confirmation involontaire des miens, à quelques nuances « idéologiques » près qui sont spécifiquement les vôtres, je laisse aux lecteurs le soin d’évaluer et d’apprécier...
Luniterre
@Soucougnan
Faire encore mieux en humour, pourquoi pas, mais faire mieux en termes de réflexion, ça semble donc plus difficile pour vous…
L’effondrement du régime Bachar vient pour l’essentiel de lui-même, incapable de relativiser sa « victoire » précédente, qui était loin d’être totale, et donc précisément, relative.
Ce dont ses ennemis, eux, ont donc été capable de profiter.
Une victoire relative nécessite de préparer la phase suivante de la guerre, inachevée, et non pas de se reposer sur des lauriers illusoires.
En Ukraine, la lutte, mal engagée sur les bases erronées définies par l’ex-ministre de la Défense Choïgou, aurait pu tourner aussi mal, à l’automne 2022, avec l’effondrement du front de Kharkov, mais ça n’a pas été le cas, grace à quelques initiatives « subalternes » mal comprises au départ, mais qui ont sauvé la situation et arrêté le recul du front.
La poche de « Koursk », qui n’a donc jamais atteint cette ville, est une autre défaite relative, mais pour l’instant, au-delà du fait d’avoir déjà été réduite de moitié, elle « mobilise », pour des raisons politiques évidentes, le « meilleur » des troupes ukrainiennes restantes, et donc incapable de freiner l’avance russe ailleurs, lente mais régulière, et qui a su tirer les leçons de ses échecs précédents.
Le mieux serait évidemment que cette guerre se termine, mais si c’est sur un « Minsk 3 » qui ne fait que préluder à une nouvelle guerre dans quelques années, il vaut mieux aboutir à une solution radicale, dans un sens ou dans l’autre. C’est la question en débat en Russie, semble-t-il. Il n’est donc pas du tout certain que le « gel » du front sur une base plus ou moins « 80%/20% » soit finalement la solution prochainement négociée par la Russie.
Contrairement à vos assertions concernant l’OTAN et l’UE, la guerre actuelle vient du refus de négociation sérieuse exprimé par Biden en 2021 lors de sa rencontre avec Poutine à Genève, que vous avez sans doute oubliée.
C’est à partir de là que les « accords de Minsk 2 » ont cessé de faire illusion et que la guerre, sauf revirement diplomatique US, devenait inévitable.
Luniterre
@Soucougnan
Je ne cherche pas spécialement, voire même pas du tout, à mettre en « défaut » votre analyse : je cherche simplement à comprendre.
Dans un post, on ne peut pas développer une analyse complète et il faut donc résumer au maximum, ce qui peut entraîner quelques approximations.
Pour simplifier à l’extrême, donc, ici, mais pourquoi pas, on peut résumer la différence entre secteur des services et secteur productif par les proportions respectives et le rôle du capital fixe : dans les services la main d’œuvre, capital variable, est prépondérante en proportion mais peu ou pas du tout productive, et donc à faible valeur ajoutée, (sans même parler de « plus-value », un autre « chapitre »…), comme le souligne Eric F, dans son post de 09 :57.
Même si sa proportion est réduite, l’amortissement du capital fixe y reste donc lent et difficile.
Dans le secteur productif, au contraire, le cycle de renouvellement du capital fixe est particulièrement rapide est il est même devenu à la fois la base de la productivité et de l’endettement.
Et même si sa valeur ajoutée y est forte, la main d’œuvre y est en proportion réduite par rapport au capital fixe, et ne compense donc pas toujours, et même de moins en moins, avec la robotisation, pour l’amortissement de la dette.
Ce qui explique que dans un pays où les deux secteurs restent dynamiques, comme aux USA, la dette globale croît donc des deux côté à la fois, et que cela peut durer tant que ce dynamisme est entretenu, ce qui semble être l’un des objectifs de Trump.
Ce qui n’empêche donc pas les risques de récession, voire même, de chute brutale, au cas la monnaie viendrait à dévisser, vu le poids de la dette.
En France, par contre, nous n’avons plus guère que les services, et souvent à faible valeur ajoutée, comme le souligne Eric F, et donc notre dette est tout de suite un poids mort considérable, en proportion, et même en valeur absolue, au point où on en est !
Luniterre
@Soucougnan
@Ouam
Les inégalités du prix de l’énergie selon les pays reflètent actuellement essentiellement les rapports de forces géostratégiques, et non la supposée "liberté du marché". Ces inégalités sont déjà à elles seules et entres autres la preuve de la mort du libéralisme économique mondial.
Pour l’instant ces inégalités jouent relativement en faveur des USA, en fonction du rapport de forces qu’ils imposent aux autres nations.
Malgré tout, cela n’empêche pas la dette publique US de continuer à croitre de façon quasi exponentielle, actuellement à hauteur de 35 800 milliards de dollars.
Et ce n’est pas Trump, malgré quelques bonnes intentions, qui va arranger cela, bien au contraire. La réussite de son projet politique repose au moins autant, sinon davantage, sur l’expansion de la dette US, que ce n’eut été le cas avec Harris. Quel que soit le parti au pouvoir, aux USA comme ailleurs, ce sont les Gouverneurs des Banques Centrales qui sont les véritables « maîtres des horloges », pour employer une expression à la mode, mais fort bien vue, dans ce cas précis.
Il faut donc arrêter de se complaire dans des luttes idéologiques « droite/gauche » ou autres qui ne sont que des luttes de pantins et de guignols destinées à amuser la galerie pendant que les affaires réellement déterminantes se règlent en coulisses, et notamment dans les Conseils de Gouverneurs des Banques Centrales, qui échappent quasiment à tout contrôle démocratique, ne reposant que sur la cooptation entre membres significativement influents des « élites » réelles de la finance mondiale, complètement dépendantes, par contre, de toutes leurs décisions de politiques monétaires, notamment en regard de la dette mondiale, publique et privée, qui est leur seul réel ballon d’oxygène depuis le début du siècle et singulièrement depuis les crises de 2007-2008 et 2020-2021.
Tant que les peuples du monde resteront incapables de comprendre cela ils resteront les esclaves de la dette, publique et privée.
Pour l’instant la Russie est le seul pays d’importance géostratégique mondiale a avoir tenté d’échapper à ce syndrome et c’est pourquoi tout est fait pour étouffer son économie et réduire son influence géostratégique. L’Ukraine n’est qu’un pion parmi d’autres de ce jeu, même si le mieux placé sur cet échiquier mortifère et la Russie n’avait donc pas d’autre choix que de tenter de le faire sauter.
De ce côté, donc, la bataille est toujours en cours.
Luniterre
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