@Yanleroc Ah bah en-fin vous cherchez à être explicite, j’essaierai de me renseigner sur vos vibrations, pour l’instant j’étais plus prosaïque, si on prend l’influx nerveux et qu’on met un peu de curare sur les récepteurs on a un interrupteur général, si on fait une analogie électrique, le circuit est ouvert (c’est-à-dire que l’information ne passe plus), par conséquent l’intermédiation chimique sert de filtre aux variations sodium/potasse, comme L’ADN poubelle sert de régulateur aux expressions génétiques, le biologique ne traite pas une information brute, il discrimine tout le temps (soi, non-soi des cellules, pertinence des informations) et fonctionne avec tout un tas de rétro-actions (cycle hormonale, l’hypothalamus stimule indirectement l’ovule par la Gnrh, même celle-ci n’a plus pour finalité la sécrétion de FSH, LH en cas de progestérone, suite à une fécondation et l’immunité acquise par les lymphocytes B est aussi une rétro-action sur les infections futurs). Une molécule est un tas d’atome, mais une molécule synthétisé est un tas d’atome informé, toutes ses informations ne sont pas équivalentes, l’ADN est une information plus forte que la synthèse d’un suc gastrique et toutes ses informations sont permises par un état du métabolisme (si on respire plus, il y a plus d’information produite) et toutes ses informations sont discriminés par des rétroactions (planifiés par l’évolution). Pour aller dans votre sens, on peut dire qu’une fréquence est un état informé dans des boucles de rétroactions, elle peut être en dissonance dans ses boucles ou en accord (parfois la dissonance est préférable, comme les silences après Mozart, mais cela doit être plus rare).
@Yanleroc Non, un récepteur HLA réagit à une information, les interleukine sont une forme d’information, un influx nerveux est une information, un génome est une information, mais en biologie ces informations ne sont pas réductibles à des zéros et des 1, mais y à des ensembles on peut mathématiquement donner des conjonctures, des probabilités, qui permettent de comprendre schématiquement un processus et d’agir peut-être autrement en stimulant les informations manquantes (ce qu’on fait déjà en compensant les hormones thyroïdienne lors d’une ablation, sauf que l’idée c’est d’essayer de penser l’ensemble d’un métabolisme comme des interactions et pas une problématique locale). Pour l’approche physique de la biologie (vibration), il y a toujours des physiciens à l’institut pasteur, cela ne veut pas dire qu’on pourra donner la vie à Frankenstein avec la foudre. Vous m’énervez pas, rassurez vous.
@Yanleroc Ouais le numérique... la réponse à tout, à choisir je préfèrerai essayer de pensée la théorie de Shanon au niveau biologique (HLA au membrane de la cellule, variation endocrinienne, variation de potentiel avec intermédiation chimique et génétique, en gros l’ensemble des informations circulants dans un métabolisme endormi on oublie la cognition) et voir si l’évolution d’un cancer n’est pas du à un déficit informationnel (toute les tumeurs ne se développent pas de la même manière) et voir si cette approche à une transcription possible au niveau du soin (et de la médecine), bon c’est un peu délirant et demain j’ai piscine, mais si cela vous dit !
Est-ce qu’il ne faudrait pas réformer l’ordre des médecins ? est-ce qu’une institution qui date de Vichy est encore adapté à une société numérique ? (Patrick Pelloux râlait de logiciel hasbeen à l’hôpital quand tout le monde dispose de smartphone qui pourrait fluidifier l’information dans ces grands ensembles que sont les hopitaux), un nouvel ordre pourrait-il promouvoir la médecine Française (et les médecines des pays latins, notamment la proprioception de l’école Portugaise) au niveau Européen ? (histoire que la commission perçoive le ridicule de critère arbitraire type règle d’or, par rapport à ce qu’à porté le mot de progrès). Faut-il développer des groupes types « l’atelier xerox » ou des diplômés n’ont qu’un objectif penser l’avenir (vu que Jobs a récupéré leurs travaux ,notamment l’interface graphique, même si le réseau était déjà présent). Penser le médecine d’un point de vue historique, philosophique, pharmacologique, psychologique, ingénierique, sociologique.... Ouais c’est dans l’air du temps, il faut faire comme Bell, avant de faire un téléphone il faut faire une théorie de l’information.