Il faudrait plus de témoignages d’agriculteurs ayant eût une expérience qualifié autre, parce que sinon y à pas moyen de communiquer, le paysan est forcement un con bourru (inadaptable) ne pensant qu’à ses subventions, par conséquent quoiqu’on dise c’est lettre morte et les gens ne réfléchissent plus, quand cela commence par « vous les agriculteurs » c’est déjà une forme de racisme social. Alors ça va vous avez été infirmier, mais sinon ce serait une excuser pour empoisonner les gens, une incapacité à vous remettre en question, vos emmerdes seraient un dû de la société à vos subventions et puis au fond vu de Paris si vous vous suicidiez, ce serait toujours un type qui vote à droite en moins, une bonne nouvelle en somme, par contre un jour cela coincera, le marché étant un mauvais régulateur et le changement climatique diminue déjà les rendements, il y a aura des pénuries, mais ce sera quand même de notre faute. Enfin j’espère que votre tracteur est âgé parce que sinon d’ici à ce que vous puissiez placer qu’on ne peut pas remplacer 10 millions de paysans après-guerre par moins de 1 sans machine et batiment c’est impossible, qu’effectivement c’est du capital, mais que c’est un capital qui perd de sa valeur et qui vaut pas grand chose à la fin de l’emprunt (comme une voiture, ce n’est pas le capital d’une maison) et l’usure entrainant des frais à 58 euros de l’heure c’est comme une voiture, à la moindre grosse panne, mieux vaut aller voir du coté des occasions (ou du neufs tout dépend de l’usage) que de garder un vieux tracteur.
@Bernard Dugué Oui un paraclet, cela ne ferait pas de mal. Effectivement le numérique n’est pas une ouverture au monde, mais la recherche des ombres qui nous rassurent, mais c’est peut-être une étape dans sa massification (Benjamin Bayart expliquai qu’au début de l’internet, il y avait octobre rouge c’est-à-dire les premières années à la faculté qui oubliait tout civisme sur internet et qu’il fallait les socialiser numériquement, mais aujourd’hui la massification empêche toute progression vers la civilité), peut-être pas... peut-être que les altruistes risquent de devenir suspect (osef la faim dans le monde, la moyennisation du monde, etc..).
J’ai eût la même réaction ; il est bon tacticien, mais pour quel stratégie ? (le renouveau, le consensus ne sont pas une stratégie) et La stratégie c’est proclamer la fusion d’une absence de politique et d’un continent. Imaginez un président qui suite à des manifestations résumeraient sa position par : « je suis pour la France », qui au moindre problème dirait : « je crois en la Marne dans la France » et pour qui l’absence d’efficacité de la France n’aurait qu’une solution : « la paix c’est la France, ne pas y croire c’est être pour la st Barthélemy ». Au bout d’un moment on lui dirait la géographie et l’histoire en connait, tu voudrais pas être plus précis, parce que L’Europe de Francfort, n’est pas l’Europe des Grecs, qui n’est pas l’Europe vue d’Écosse, qui n’est pas l’Europe Anglaise, etc... Avoir une stratégie c’est quel Europe, quel niveau de vie pour un Laiton, un Portugais, un Flamant dans 10 ans, quel dépendance énergétique, qu’elle niveau éducatif ? quel valeurs ?, bref on fait quoi du machin, à par clamer qu’il existe... Un continent ne risque pas de disparaitre comme cela, et un libre marché n’est pas un corps social, on peut acheter du pétrole Turque venant de l’état Islamique et lui faire la guerre, mais vue que personne ne lit entièrement le paragraphe du « doux commerce », on n’ira pas plus loin.
@clément dousset Effectivement c’est un argument valide, en fait on tourne autour du pot, c’est le problème avec les mots trop génériques, on a l’impression de tous le comprendre en y mettant des sens différents. Je dissocie la notion de réflexe du conscient (ma main s’écartera du feu avant que je ne le comprenne) et que vous intégrez les sensations comme condition du conscient (c’est pas faux non plus). C’est une sensation assez extraordinaire que de ce retrouver dans un moment de stress intense (qui dopamine le cerveau et augmente ses perceptions sur une petite durée) pour observer votre corps agir tout en étant conscient (d’où mon besoin de dissocier les réflexes du conscient). Pour préciser j’ai été observateur de mon corps agissant. En voiture, pilote accompagnant des amis en soirée, une plaque de verglas, je sens la voiture partir de gauche à droite... et c’est bizarre de voir son bras droit saisir le frein à main, puis tourner le volant et ce retrouver, soi et les siens sauf. Je suis pas un pilote et j’avais jamais utilisé un frein à main en conduisant. Pendant quelques secondes j’étais né dans cette voiture, j’avais tout le temps été là (et si le temps avait été discontinu j’aurai surement pût voir le néant entre les espaces temps) et la sécurité de son bras capable de nous sauver, sans que rien ne lui fût demandé, une conscience observant ces sens, après cette expérience je comprend un peu mieux le besoin des pilotes de course, même si ils manquent de mots pour l’expliquer et qu’ils donnent l’impression de le perdre, si ils ne le vivent, alors que j’ai juste besoin de m’en souvenir.