• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

abcd

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 259 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • abcd 7 juillet 2017 20:56

    Y à quand même d’autres consciences qui habitent votre matrice ?



  • abcd 7 juillet 2017 17:49

    @abcd
    Les sociologues ont une solution à la problématique des hommes qui dorment sur leurs lauriers, il faut que l’ascenseur social marche, le problème c’est que si on ce contente de 2 % de mobilité social on ne fait que ramener des zélés doués chez les élites, comme notre président et alimenter des espoirs qu’on détruira par la suite (chauffeur uber, prêt social en Inde à 15%, winner en école de commerce qui à la cinquantaine seront en reconversion-dépression, etc...).
    Comment on fait Florance, comment on fait d’un sculpteur, un peintre capable de calculer la structure nécessaire pour peindre le plafonnier de la chapelle Sixtine, mieux que les architectes, comment on fait des léonards et tout un tas de tortues ninjas, des assistants, des mécènes, des talents, des techniciens, des magasiniers et des comptables, sans que l’art n’en soit dégradé.



  • abcd 7 juillet 2017 17:34

    "Les philosophes entendent, pensent et créent la musique, les technologues disposent, produisent du son qui finit par sonner comme du bruit." oui il est temps que les philosophes quittent leurs olympes et ce tourne vers les hommes et leurs sciences, mais il y a toujours une tendance à dormir sur ses diplômes comme sur ses lauriers, afin de commencer par réclamer leurs attributs d’homme de l’art, alors les pauvres mortels ce sentent snobés.



  • abcd 7 juillet 2017 17:22

    @pallas
    « Qui vous dit que nous ne sommes pas en Enfer ? » ce type de question est parfois abordé en fantasy (la science fiction sans les boulons) je vous conseille une lecture « le k » de Dino Buzzati, il y a justement une nouvelle ou d’une certaine manière on est déjà en enfer, puisque les enfants souffrent (mais y à pleins d’autres nouvelles aussi intéressantes, même si j’ai eût besoin de pas mal de temps pour apprécier la première qui est justement le titre du recueil).
    Votre impression de ce qui cloche m’a été familière, l’impression de regarder le ciel, comme ci il manquait une pièce du puzzle, juste une, comme ci l’important c’était « le manque originel » et non ce qui manque (les publicitaires savent expliquer ce qui manque, sans enlever cette impression de manque).
    J’ai pas de réponse à la condition humaine du type oui, non, pourquoi ?
    Mais on ce la pose tous, par forcement au même moment, pas forcement aussi souvent, parfois bien tard, parfois trop tôt, votre question est universelle, ecclésiaste avait trouvé une parade :« les voies du Seigneur sont impénétrables », mais les matérialistes n’ont trouvés qu’une piètre sentence « que du bonheur », c’est idiot, personne ne peut ne pas souffrir, à moins d’être psychopathe, lobotomisé ou sous tranquillisant.
    Il y a une part de souffrance à être, mais on est plus des minots et il n’y a pas que de la souffrance à être.



  • abcd 6 juillet 2017 21:56

    @pallas
    ouais cela s’inverse aussi facilement, il est irrémédiable d’avoir été, tout ce qui fût a été, on ne peut pas ne pas avoir été à partir du moment ou on fût, par conséquent cet irrémédiable a autant de valeur que de ne plus être après, parce que pour ne plus être après il faut avoir été.
    Par conséquent ce qui compte c’est l’avant fin et non d’être toujours, comme a dit quelqu’un :« l’immoralité c’est chiant, surtout vers la fin » qui n’en a plus (de fin).

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité