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AstreLune

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  • AstreLune AstreLune 3 avril 2013 10:37

    Le jugement de la majorité se base uniquement sur les médias grands publics de nos jours.

    Le grand drame, c’est que par des procédés bien rodés qui s’apparentent à un viol de cerveau (allusions évoquant de vieux préjugés et laissant ainsi l’impression de se forger sa propre opinion ; musiques de fonds ; tons de paroles et termes choisis ; mensonge par omission ; partis pris ; experts bien pensant versus illuminés extrêmistes les plus paumés en vue d’établir un amalgame vis-à-vis des opposants au régime... Et tant d’autres petits détails subliminaux qui font tout).

    Si vous allez à l’encontre de ce que dit la télévision même en toute bonne foi, la majeure partie des gens ne vous écouteront pas car vous n’en mettez pas assez plein à la vue. Vous ne faites pas aussi sérieux/crédible que ces faiseurs d’opinion bien habillés à l’élocution distinguée à la télé.

    Testé et approuvé.

    Tous les médias les plus connus ne peuvent être pris comme source fiable. Tous sont logés à la même enseigne.

    La télé est une arme de destruction massive des consciences. Je compatis envers tous les gens qui voient leur famille se faire violer le cerveau chaque soir devant le JT. Ces procédés qui vous sautent aux yeux et vous scandalisent, pendant que vos proches n’y voient que du feu.

    Et lorsque vous tentez de les raisonner, ils fonctionnent en circuit fermé. Ils invoquent des arguments d’autorité qu’ils ont entendus à la télé. Pour eux, cette réalité virtuelle est à prendre en compte car elle est déjà incontestable dans leur esprit.

    Comme dit plus haut, le reste n’est à leurs yeux qu’inepties et paranoïa.
    On vous regarde et vous considère avec des pincettes : vous devenez l’un de ces extrémistes qui passent trop de temps sur internet et font partie de réseaux extrémistes ou de secte.

    On se croirait VRAIMENT dans un roman de science fiction. Un peu à la Fahrenheit 451.



  • AstreLune AstreLune 2 avril 2013 16:47

    Moi je ris au nez de ceux qui estiment qu’une économie non-monétariste est une utopie.

    A ceux-là je réponds : l’utopie c’est de croire que l’on peut continuer tel que nous le faisons enfermé dans un rêve où rien ne change.

    L’utopie c’est de croire qu’on peut faire perdurer notre société en faisant constamment du rafistolage. La machine plein gaz fonçant droit vers un mur bien épais.

    L’économie actuelle est une anti-économie basée sur la productivité et le profit court-termiste.

    Voir le terme : suicide collectif consenti.

    Elle n’est en aucun cas représentative des besoins humains quels qu’ils soient, ni même, et c’est plus grave, des ressources naturelles disponibles.

    Produire pour produire pour faire de l’argent et de l’emploi. Parce que ça fait trop peur la nouveauté. Alors on garde les traditions qui ont marché, même si elles marchent plus. Mais c’est triste, personne ne veut l’admettre. On les aime trop.

    Et tout doit être subordonné à cette économie tyrannique. L’homme sert l’économie et non l’inverse, ce qui n’est pas logique. Faut arrêter de prôner cette idéal du martyr stakhanoviste qui se serre la ceinture tout en enchaînant les emplois en CDD pour chérir son pouvoir d’achat.

    Je vous suggère de vous intéresser à l’économie basée sur les ressources telle que présentée par le mouvement Zeitgeist. Car je pense qu’on finira nécessairement par en passer par là un jour où l’autre : exit les illusions de la fausse économie virtuelle.



  • AstreLune AstreLune 2 avril 2013 14:59

    Concrètement, cette découverte n’aurait-t-elle qu’une portée théorique ou serait-elle mise en application ?

    Je n’ai rien contre la science, ni ses découverte, ni ses expériences.

    Mais à mon sens, l’éleveur qui « améliore une race », ne peut être comparé à un généticien.
    Un éleveur ne fait qu’orienter une espèce dans une direction.
    Un généticien modifie à même les briques fondamentales.

    Je n’exclus pas que je n’aie pas tout saisi à l’article.
    Je suis tenté évidemment de crier « alerte eugénisme ! », mais c’est peut-être pas pertinent.

    Concrètement, je partage cette idée d’amélioration de l’espèce. Mais pas par modification artificielle.

    Si l’on ose la modification artificielle, quelque part, j’estime qu’on ose foutre un coup de pied dans la tronche d’un écosystème basé sur un équilibre harmonique fragile qui n’a cessé de se moduler au cours de milliards d’années.

    Mais alors me direz-vous, elle pourrait en faire de même cette fois-ci.

    Sauf que la différence, c’est le temps d’adaptation permis !

    Cependant, n’hésitez pas à me contredire.



  • AstreLune AstreLune 2 avril 2013 12:00

    Voilà qui résume bien la situation globale à mon sens.

    Couplons cela à la politique du « le-tout-privé-c’est-better-faster-stronger » dont la publicité a été faite par je sais plus qui plus haut.

    En un mot, si aujourd’hui on embauche des profs qui ne font pas l’affaire et qu’on les laisse qui plus est crever la bouche ouverte, c’est parce qu’on cherche tout simplement, dans un élan de pensée élitiste pas franchement bien caché, à miner l’enseignement public et donc abrutir les classes les plus pauvres afin d’éviter toute forme de révolte construite et constructive.

    Il est question d’abrutir les pauvres en faisant l’apologie de ces valeurs que sont argent et individualisme (résidu de la propagande du self-made-man que ne cesse de nous vendre les films américains grands publics).

    Alors les gosses y vont de leur « j’emmerde le monde brrrla brrrla » qui fait si classe.

    Il est question d’asseoir le pouvoir des classes dirigeantes par l’accès au savoir et à l’information devenus payants.

    Payer pour tout. Payer pour avoir le droit d’être éduqué. Quand bien même formater les gosses avec la bien-pensance de l’état peut s’appeler éduquer. L’enseignement public, c’est vrai, c’est aussi ça :

    Un gamin sait davantage aujourd’hui comment fonctionne une économie de marché, qu’il ne sait placer les principaux fleuves de France. Propagande économiste-monétariste inculquée oblige.

    L’alternative du privé est en substance LA solution implicitement imposée, du fait de la mise en évidence de l’inefficacité de l’enseignement public voulue.

    Un sabotage bien orchestré, en somme.

    Je peux comprendre que beaucoup tombent dans le panneau du rafistolage à court-terme, on veut toujours le mieux dans l’immédiat pour ses enfants, sans voir les conséquences d’une civilisation orientée élitiste sur le long terme, où seuls les bien-intégrés et ceux qui disposent des revenus adéquats pourront avoir le luxe de scolariser leurs enfants ou de leur payer des études dignes de ce nom.

    Han, mais attendez, ça existe déjà. Et pas seulement dans le tier-monde. C’est juste que là on essaie de faire en sorte que ça tombe beaucoup plus tôt. Niveau collège. Voire primaire.

    L’idée, c’est pas exactement de supprimer l’enseignement public.

    L’idée, c’est de le gangréner à un point tel, tout en le maintenant en place en apparence, que l’enseignement public ne vaut plus rien. Ce qui n’est pas faux. Mais c’est voulu.

    Le bouche-à-oreille fera la reste. La réputation précèdera. Ça a déjà commencé à en juger par ce qui s’est dit.

    Les pauvres seront des abrutis dépourvu d’une quelconque forme d’esprit critique et malléables. Des êtres assujettis avides du pouvoir et de d’argent qu’ils n’auront jamais en suffisance : la carotte qui fait avancer l’âne frustré. Le peuple moyen, une fois la classe moyenne éradiquée, sera esclave en CDI cireur de pompe d’une classe dirigeante à laquelle la seule forme d’opposition envisagée sera la violence stupide, facilement répréhensible et non-défendable.

    Je crains que ce soit d’une telle bassesse primitive. Oui.



  • AstreLune AstreLune 29 mars 2013 10:41

    Pourquoi toujours dans la condamnation ?
    Pourquoi toujours dans l’idée du dédommagement financier qui ne répare ni ne résout rien ?

    Pourquoi ne pas arrêter de penser en terme de punition et d’argent pour voir le problème tel qu’il est ?

    L’ironie du truc, c’est qu’on sait pertinemment qu’actuellement on est en train d’empoisonner une partie de la population. Mais on constate. Ça reviendrait tout simplement trop cher d’y changer quoi que ce soit. Et ça contrarierait les intérêts de ces caïds de machin-chose.

    Dans quelques années, on commencera à voir les séquelles irréversibles sur nos enfants.

    Oui, ces enfants-là même dont on parle à la télé avec un amour hypocrite. Ces enfants là dont on dit « qu’on leur prépare un avenir », alors même qu’on en détruit toute perspective certaine.

    Mais alors, quand on en verra les séquelles, étant donné le nombre d’année écoulées, il sera facile pour les fabricants de nier, comme d’habitude, tout lien de cause à effet.

    Et ça marche pour tout. Ça fonctionne toujours pareil. On ne peut pas concrètement condamner une entité qui a plusieurs têtes, qui paye une misère d’un côté et empoche trois fois la somme demandée de l’autre.

    Avenir = confort économique ? Je crois que c’est souvent ce que ça présuppose, quand on parle d’avenir.

    « Don’t fuck with economy » est la devise de notre civilisation. On ne DOIT jurer que par elle. Elle est la solution à tout. L’Alpha et l’Oméga.

    Il serait peut-être temps de revoir nos priorités, qu’en pensez-vous ?

    A quoi on joue exactement ?
    Quand on intellectualise un problème, on ne voit pas son danger imminent.

    Vive les petites doses accumulées.
    Vive ces réformes sur dix ans.
    Ces petits rien étalés sur une période, dont le justificatif recevable est : insignifiance
    La perspective des année rassure toujours.
    On s’dit que demain est un autre jour où l’herbe sera plus verte.

    Peut-on se rendre compte à quel point l’eau est sacrée ?
    Eau = individus.

    Nous sommes constitués à environ 80% d’eau. Toute vie sur terre nécessite de l’eau, même en infime quantité.

    Quand on boit de l’eau, on devient cette eau. C’est important de le réaliser.

    Elle fait partie intégrante de nos cellules. Elle est nous.

    Peut-on se rendre compte qu’en polluant l’eau, on se pollue nous-même ?
    Peut-on avoir la moindre petite idée de ce que ce type de pollution peut engendrer comme tare (antidépresseurs, médicaments) ?

    Mieux vaut prévenir que guérir ? Ah bon ? J’ai souvent vu l’inverse.
    Parce que l’inverse rapporte de l’argent. Ça fait vendre des médicaments.
    L’intérêt d’une société pharmaceutique n’est pas exactement de vous maintenir en bonne santé. Sinon avec quoi ferait-elle son chiffre d’affaire ?

    « Paranoïaque » est ce nom que l’on vous donne lorsque vous osez mettre en lumière l’esprit tordu de quelques-uns. Un de ces mots épouvantails comme il en existe une myriade.

    Confondre incroyable avec impossible.

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