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  • BMD 2 mai 2007 01:12

    @Monsieur Cabanel, il faudrait pour que le méthane du permafrost gagne l’atmosphère un réchauffement très rapide, sinon les bactéries le transformeront progressivement en CO2 , ce qui est moins grave, mais inquiétant tout de même étant donné les quantités dégagées ; Les essais de récupération de ce méthane ont toujours été des échecs, parce qu’il ne forme pas de gisements exploitables du fait de sa faible concentration dans les sédiments( c’est le cas également des hydrates de gaz que l’on trouve sur les marges continentales)et les quantités d’énergie ainsi récupérables seraient inférieures aux quantités nécessaires à l’extraction.Même si par un heureux hasard on trouvait quelques gisements exploitables, ils ne pourraient contenir qu’une part infime de la quantité totale ; Par conséquent, la prudence consiste à éviter un réchauffement trop important et par conséquent à limiter énergiquement nos émissions de gaz à effet de serre, ce que nous nous refusons toujours à faire.



  • BMD 2 mai 2007 00:37

    vous êtes bien critique pour nos concitoyens et en particulier pour nos ingénieurs ; D’où vous vient cette rage ? je vous rappelle que la France produit par habitant à peu près deux fois plus d’énergie renouvelable que l’Allemagne et produit 40% de gaz carbonique de moins.Ses véhicules consomment en moyenne un litre de carburant aux 100 en moins.La pollution atmosphérique produite par la production électrique allemande, basée sur le charbon, coûte à l’Europe environ 30 000 morts par an en maladies pulmonaires, alors que la production électrique française, d’origine nucléaire n’a aucune incidence sur ces maladies.La France possède la plus puissante usine marémotrice du monde, elle a construit un des premiers fours solaires, elle conduit en Alsace le premier pilote européen de production d’électricité géothermique par circulation forcée d’eaux souterraines etc, etc.Elle a certes à se préoccuper beaucoup plus des économies d’énergie dans l’habitatJ’ai peur que comme beaucoup vous soyez très influencé par les propos de café du commerce qui fleurissent actuellement sur les sujets énergétiques, propos qui ne font guère avancer le schmilblick ; Pour le reste, je vous suggère de lire le commentaire que l’ai fait de l’article de Monsieur Cabanel, que je trouve, contrairement à vous, bien mal informé, pour rester gentil. En passant, le méthane, c’est CH4 et non CH3 et son pouvoir de réchauffement est 21 fois supérieur à celui du gaz carbonique.



  • BMD 2 mai 2007 00:09

    @je suis intervenu à quelques reprises sur le débat « l’imposture nucléaire » et je viens donc consulter votre fameux article que vous nous recommander chaudement et qui fait l’objet de ce débat-ci.Il est comme je m’y attendais truffé de grossières erreurs : par exemple l’hydraulique : 50 millions de TEP, cela représente 580 TWh, soit à peu près la totalité de la production électrique actuelle française ; Quand on sait que la production hydraulique française est limitée par la nature à au mieux 100 TWh, même en y comprenant l’énergie marémotrice, votre optimisme est proprement stupéfiant.A moins que vous ne parliez en énergie primaire, auquel cas il s’agit au mieux de 25 Mtep. Penser que l’on tirera 30 Mtep de la géothermie est également stupéfiant et montre votre absence de connaissances de la réalité géologique française.Si l’on en tire 5 Mtep ce sera le bout du monde. Parler des possibilités extraordinaires de la gazéification, c’est du délire. La question a été étudiée dans de nombreux pays après le premier choc pétrolier et des pilotes ont alors été réalisés en France à Bruay-en-Artois. La conclusion a été qu’il faudrait dépenser plus d’énergie qu’on en récupèrerait, et que les dangers potentiels pour les riverains étaient trop grands( fuites de CO ( pas CO2) et d’hydrogène). De plus comme le fait remarquer un participants, il s’agit d’énergie fossile, non renouvelable et productrice de gaz à effet de serre ; Quand à vos 96 Mtep de biogaz, où avez-vous pêché cette absurdité. La totalité de la biomasse utilisable annuellement en France est de l’ordre de 30 Mtep ( source rapport déjà très optimiste de l’ADEME) si vous en utilisez déjà 20 en bois-énergie, comment faites-vous pour faire en plus 96 Mtep de méthane, qui ne peut être produit à partir de la biomasse qu’avec un rendement de 15%).Les limites viennent de la faiblesse du rendement de la conversion de l’énergie solaire en énergie chimique accumulée dans les plantes, de la superficie du territoire français, ainsi que des quantités d’énergie qui sont nécessaire pour la collecte et le conditionnement de la biomasse. Je comprends que votre article déchaîne l’enthousiasme des gens peu informés de ces sujets.Ils ont une tellement grosse envie de croire au barbu !Ils feront mieux pour juger des possibilités réelles des énergies renouvelables en France de consulter les nombreux rapports qui existent déjà à ce sujet, et qui fixent leur contribution possible entre 60 et 80 Mtep annuellement en équivalent-énergie primaire, à moins que des progrès très importants dans le stockage de l’électricité aient lieu, ce qui permettrait une contribution beaucoup plus substantielle du solaire. Je crois que vous aussi vous croyez au barbu !Votre démarche est sympathique, mais de grâce arrêtez de traiter ce sujet de façon aussi superficielle ;



  • BMD 1er mai 2007 23:11

    @Aurélien,je me permets avec tout le respect qui vous est dû ainsi qu’aux autres participants d’essayer d’éclairer votre lanterne sur le rôle de la vapeur d’eau dans l’effet de serre : l’effet de serre n’est pas une nouveauté sur terre, comme sur d’autres planètes pourvues d’atmosphères d’ailleurs ; chez nous, il est dû à l’existence dans l’atmosphère de traces de gaz dits à effet de serre( GES) dont la vapeur d’eau est effectivement le plus important, suivi dans cet ordre par le gaz carbonique, le méthane et l’oxyde nitreux.Grâce à lui, la température moyenne au sol est de 15°C alors qu’en son absence elle serait de -18°C.Son importance a varié au cours des temps géologiques en fonction des variations de teneur des GES, mais à une vitesse imperceptible à l’échelle humaine de temps. Le problème que nous avons n’est donc pas l’effet de serre, mais son augmentation de plus en plus rapide depuis le début de la Rvolution industrielle, à cause de l’importance croissante des GES émis par les hommes. La vapeur d’eau que nous rejetons( centrales nucléaires, centrales thermiques mais aussi irrigation en zone aride, le plus important) ne peut pas initier en elle-même cette augmentation de l’effet de serre car son temps de résidence dans l’atmosphère est trop court( elle se condense très rapidement en pluies), quelques jours, pour augmenter la teneur en vapeur d’eau de l’atmosphère.Les coupables sont les GES dont les temps de résidence sont beaucoup plus longs, gaz carbonique( 50 à 200 ans selon les cas), méthane ( 10 à 20 ans), oxyde nitreux( 150 ans). ils s’accumulent donc dans l’atmosphère et cela accroît donc l’effet de serre ;l’augmentation de température fait alors augmenter la teneur en vapeur d’eau de l’atmosphère, donc l’effet de serre. En ce qui concerne le gaz carbonique, une grande partie s’en dissout dans l’océan, ce qui limite les dégâts ; mais la capacité d’absorption de l’océan n’est pas infinie, et la solubilité du gaz carbonique dans l’eau de mer diminue avec la température. Nous risquons donc une accélération du réchauffement et cela semble bien être en train de se produire.Il faudrait pour éviter ce scénario catastrophe agir très très vite et réduire par tous les moyens nos émissions de gaz carbonique ; mais la conscience de ce danger ne progresse que très lentement dans les esprits et il y a beaucoup de combats retardateurs, dont celui des antinucléaires : savez-vous que le remplacement à l’échelle mondiale des centrales à combustibles fossiles par des centrales nucléaires diminuerait de 40 % nos émissions actuelles de CO2 ? Et que le remplacement des centrales nucléaires françaises par des centrales à charbon augmenterait nos émissions de 35 % ?



  • BMD 1er mai 2007 22:38

    « un moteur à hydrogène n’a pas besoin de beaucoup d’énergie pour tourner » ; je n’arrive pas à comprendre ce que veut dire cette phrase. et vous ne répondez pas au problème posé : avec quoi fabrique-t-on l’hydrogène et combien en coûte-t-il en énergie ?

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