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Lachésis

Je suis étudiante en master de bioinformatique à Paris-Sud 11.

Mes passes-temps sont le jeu de rôle, la lecture de science-fiction ou de fantasy et de manière générale, j’aime bien parler de ce que j’étudie.

Tableau de bord

  • Premier article le 17/02/2009
  • Modérateur depuis le 10/04/2009
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Derniers commentaires



  • Epeire 25 janvier 2009 23:04

    mm sachant que vous êtes directemment concernée de base, je me suis posée exactement la même question en lisant votre cv smiley . Qui dit qu’on ne va pas trouver une substance abominablement cancérigène dans le silicone des couches lavables d’ici 20 ans ?

    Que les femmes aient subi des atrocités liées à la fonction de leur utérus, je ne le nie pas. Je ne sais pas si la mort d’un humain toute les cinq secondes est comparable à 33% de mort (pas facile de convertir une donnée en mort par seconde en pourcentage... je ne compare pas les pommes et les oranges) et oui il s’agit à la fois de sélection naturelle ET par l’argent (non il ne s’agit pas de mépris envers les populations pauvres, mais c’est un fait que seules les plus fortes s’en tirent lorsque les conditions matérielles grouillent de microbes !) Il n’empêche que moins d’enfant il y a, moins l’effet sur sur la nature sera lourd, on y peut rien.

    Ensuite, je persiste, remettons l’article dans son contexte : on peut sans doute résumer par : femmes déçues par le boulot + scandales écologiques à tout va = se sentent plus valorisées à s’occuper des mômes à la maison qu’à aller bosser, quand bien même serait-ce dans une entreprise un tant soit peu écolo ! => il faudrait changer des choses au travail . D’ailleurs ce genre de critique est beaucoup dans le style général de Marianne qu’un simple tabassage en règle des femmes qui allaitent, même si d’après vos liens en effet, l’auteur a mélangé pas mal de choses.



  • Epeire 25 janvier 2009 12:39

    Bizarrement, il y a quelque chose qui me choque pardessus tout ça...

    La meilleure chose à faire pour protéger la planète n’est-elle pas encore de ne plus faire d’enfant ? Avec ça, pas besoin de couches jetables ou recyclables (ces dernières restant un poste de dépense : il faut malgré tout dépenser de l’énergie et des fibres, d’origines synthétique je suppose aux vus des propriétés des tissus, et entre inventer une couche jetable allant au compost et une qu’il faut laver régulièrement je me demande laquelle serait réellement la plus dommageable). Je ne parle même pas de l’énergie pour les déplacement, la nourritue, les jouets (même bio, la meilleure façon de diminuer à fond l’emprumpte énergétique, c’est bien de se passer de tout ça !)

    Ensuite autre point : d’après mon prof d’histoire des sciences, la mortalité des femmes atteignait 33% au XIXeme. Sans revenir aux conditions de l’époque, s’il n’y a pas une maternité à moins de cinq minutes, est ce vraiment une bonne idée d’encourager les femmes à se passer de l’hosto ? Je veux bien croire que les conditions ne sont pas idéales, mais alors si le placenta ne part pas et demande un litre et demi de sang en perfusion, ou si le bébé fait un noeud à son cordon à la dernière seconde, il faudra se rapeller de ne pas se plaindre non plus après...

    J’ai lu moi aussi l’article de Marianne je tiens à signaler qu’il a été écrit par une femme, Isabelle Porta (je l’ai sous la main) et l’essence de l’article, selon moi, ne porte pas tant sur l’écologie mais le prétexte qui est offert pour des retours à des décalages homme/femme qu’on esperait entrain de disparaître. Je vais le relire de façon plus approfondie afin d’étayer cette position
    Il n’y aurait pas grand chose à dire contre les couches lavables et les bébés (soyons fous et jetons les avec l’eau du bain, de toute façon les congélateurs ne sont pas en odeur de sainteté écologique je pense !)
    si tout les hommes s’en occupaient en une dépense horaire/tache ingrâte équivalente à leurs épouse.



  • Epeire 19 décembre 2008 13:27

    Article intéressant, mais quelques points me semblent assez flou.

    Notamment, c’est vrai que la poupée barbie est un modèle de cliché mais on pourrait facilement imaginer pire : la même mais... avec une dizaine d’enfants à charge. Au moins la plupart du temps Bardie se passe-t-elle de Ken. (et puis bon, pas fou chez Mattel, le contraire les obligeraient à faire deux poupées pour le prix d’une !)

    Sinon pour l’anorexie et la boulimie, pour avoir une personne anorexique dans mon entourage (en phase de rémission, pour l’instant), je ne suis pas d’accord sur ce point : d’après les livres que j’ai lu sur le sujet et ma propre expérience, ce sont plutôt de maladies dûe à l’entourage famillial (je n’ai pas dit famille maltraitante) qu’à cause de l’entourage des jouets ou de la mode (ou alors, ce sera un facteur tout à fait mineur à côté de celui que je viens de citer).

    Ensuite, pour ce qui est de comprendre la "domination" dont vous parlez, je pense que ce n’est qu’une illusion d’optique : aux dernières nouvelles, je ne crois pas que les proportions de temps passé au ménage ou s’occuper de sa progéniture se soient radicalement inversée, même si elles se sont améliorées.
    L’avantage qu’on les femmes qui ont réussi à tirer leur épingle du jeu n’est selon moi que temporaire : les hommes à force, finiront par rattraper ce retard "social" sur l’apparence. Mais cela ne nie pas qu’elles soient AUSSI compétente que les hommes.

    Quand à la moralité et à la moindre corruption des femmes, à mes yeux cela relève de cliché... Sauf si vous avez une étude scientifique à montrer derrière, bien sûr.

    Enfin, en conclusion, petit(s) rappel(s) ne vous inquiétez pas (ou en fait si) : les femmes peuvent mentir, frapper leurs enfants, polluer la planète, faire assassiner des gens, se faire exploser avec une bombe, virer des salariés, gouverner de travers... Et le tout avec autant de brio que les hommes pas plus, pas moins. Je suis pour l’émancipation de la femme en société (j’en suis, je ne vais pas scier la branche sur laquelle je suis perchée quand même) mais pour ce qui est du destin global de l’humanité, ou même juste de l’Europe ou de la France, je doute que ça change grand chose.



  • Epeire 11 décembre 2008 12:36

    Tu pourrais donner un exemple ?

    J’ai du mal à me représenter ça.

    Après tout, travailler avec plusieurs entreprises et pas uniquement la grosse du coin : ok. Mais est ce que ça ne reviendrait pas à vouloir être spécialiste en plusieurs domaines à la fois dans des directions différentes ? (je ne sais pas si je suis très claire, mais dans l’idée que j’en ai, toutes les entreprises sont loin d’avoir les mêmes besoins...)

    Après on pourrait bien sûr rendre des stages obligatoires dès la première année pour faire un tour plus complet de la question... Mais ça va poser problème avec d’une part le nombre d’étudiant en 1ere année, d’autre part beaucoup doivent travailler pendant les vacances pour payer leurs études, et ça pourrait poser quelques soucis à ce niveau encore.



  • Epeire 11 décembre 2008 12:01

    Si mes souvenirs sont bons (c’est à dire datant de l’an dernier, où nous avons eu des grèves de quelques semaines) le souci d’une formation plus professionnalisante était :

    a) être spécialisé pour une entreprise qui ne recrutera pas forcément (les "licences michelins"... qui ne savaient utiliser que leurs machines)
    b)la difficulté de s’adapter aux marchés toujours en mouvement.

    exemple : orienter les ex-lycéens pour en faire des ingénieurs en informatique c’est bien... mais le temps qu’ils décrochent leurs diplômes, cinq ans, c’est très long, le marché de l’emploi aura eu tout le temps de virer en sens inverse.

    Après, on pourrait certainement faire davantage de sorties "sur le terrain" et rendre des stages obligatoires dès la licence, bien sûr. Mais pour ça il faudrait d’une part plus de sous et hélas moins d’étudiant... (et là, bonjour le débat : la fac n’a pas le droit de faire de sélection d’aucune sorte à l’entrée, contrairement aux iut alors qu’ils étaient supposé être moins glorieux à la base...)

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