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eugene

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.Je vis à la campagne, dans l'argoat, .. Je viens peut être d'un autre temps, bien que je regarde toujours avec plaisir par la fenêtre ce monde qui bouge. L'âge donne un certain confort un détachement, et une ironie, envers le monde des courtisans et des futiles. L'essentiel est ailleurs ! 
 

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Derniers commentaires



  • eugene eugene 20 juillet 2016 10:59

    Tiens, voilà que lDaesh écrit des articles. Mais pourquoi ne pas mettre leur tableau noir à tête de mort comme icone. J’n dirais pas plus de cet article bas du front, et à vomir.



  • eugene eugene 20 juillet 2016 10:53

    @franc
    J’en suis resté à « la religion c’est l’opium du peuple »...Mais faut avouer que pour certains, l’islam c’est carrément le comprimé d’extasy mélangé avec de la poudre à lessive....Même les pires BD de mon enfance, et leur scénario apocalyptique, sur fond de grand maître du monde, ne parviennent pas à rejoindre cette sorte de réalité accablante. Toutes les religions ont souvent eu leur époque infernale, et l’homme les a souvent choisis pour fédérer ses troupes, leur donner un manuel d’instruction simple à comprendre pour les demeurés, et servant immédiatement à vous déculpabiliser, et même de faire de vous un saint , le combattant du prophète, du christ ou autre niaiserie difficile à expliquer aux enfants. 

    Mais on le sait, pour qu’un feu parte, ou pour qu’un simple petit virus, au début, anecdotique, ne se transformé en « grippe espagnole », il faut des conditions particulières. Nous y sommes en plein. La mondialisation a favorisé parfois les échanges au mieux, et parfois pour le pire. Ceci catalysé par l’ouverture des frontières, et l’émergence confuse d’une sorte de nouveau citoyen du monde, ouvert à toutes les influences. D’où ce patchwork difficile à saisir, pour les services de renseignements, qui ont affaire à tout un tas de mouvances, et autant à des individus autonomes, capables du pire. C’est que le psychopathe nouveau s’est banalisé, sur fond d’hédonisme et de perte de repère. « Voulant se la péter », au propre et au figuré. 
    40 ans à l’avance, vous avez un film comme « Taxi driver », qui avait vu très juste., 
    A la genèse du crime, on ne perdra pas son temps à lire « de sang froid », de Truman Capote.
    Les livres sont précieux. Ce sont des remparts, des respirations. Ainsi nous pouvons mettre le monde à distance, dégoupiller sa violence. 
    Lire devient un acte révolutionnaire. Et même réfléchir. Je viens de lire un article montrant qu’une étude américaine à montré que la lecture favorisait l’empathie. Une évidence. Et bien sûr aussi l’imagination, la résilience, l’autonomie, l’intelligence au monde. 


  • eugene eugene 19 juillet 2016 20:18

    C’est difficile de rationaliser le cancer. Certains gourous fleurissant sur la détresse vous mettront en accusation, vous diront que c’est lié à votre mode de vie, à votre alimentation, que ce crabe n’est pas arrivé par hasard. Possible, mais pas certain. 

    Si le mal existe, son développement subit dépend de phénomènes endogènes, exogènes, et d’autres dont que vous ne maîtriserez jamais. 
    Ces barges sortent d’une cornue plus ou moins identifiée : Celle de la guerre en Irak, de la récupération religieuse du premier courant, de la rencontre de la barbarie avec la modernité, sur fond de fantasme. Et puis d’une grande misère culturelle, catalysé par les nouveaux moyens d’information mettant en rencontre le tout et le n’importe quoi, ( ces crimes n’existeraient pas ou a bien moindre échelle si ils n’étaient pas tant médiatisé, objet d’une sidération pathologique) 
    Et puis d’une frustration sexuelle, d’une envie de se la péter sous toutes ses formes, pour évacuer sa haine et son ressenti, faute de ne pouvoir relativiser et analyser la moindre abstraction. 
    Le djihadisme, cette lèpre, fait donc des émules chez les paumés, chez les débiles en mal de violence, et voyant une opportunité de passer à l’acte. 
    De bons psychopathes qui ne valent que quelques crachats de mépris sur leur dépouille, comme les Niçois l’ont fait, à l’endroit où ce connard est mort. Je déteste toute forme de violence, mais dans « le choc des images », qui vaut valeur identification et de modèle, cette forme de signifiant venant de la foule m’apparaît fort, de sens et d’avertissement : « Tu es méprisable, même par un homme, en tout cas tu sort de la dimension humaine !
    Même pas des malades, surtout pas. La psychiatrie n’a que faire là dedans, car elle suppose une souffrance. Mais la perversion n’est pas une maladie, juste la voie royale vers la psychopathie, l’indifférence, la monstruosité. Nous sommes bien dans une fabrique de ce genre de personnalités : Narcissiques, incapables de supporter le relativisme, la frustration, donc les rapports aux autres.
     Le monde de la culture depuis deux ou trois générations a facilité aussi l’ »émergence de ce genre d’individus : Fascination des anti héros, des pervers, des rambo d’opérette, bien parano, très dangereux, toujours borderline...Le pilote allemand qui a précipité dans la mort plus de 200 passagers étaient de ce type. Ce camionneur a exploité la même filière, sur un thème connu depuis l’antiquité : « je vais disparaitre mais pas tout seul.... »....Les states en ont vu défiler un paquet, et continuent dans cette voie. Ce qui est nouveau, c’est la tentation du guiness book, de la performance, encore un sujet bien moderne, que ’l’on entame tout gosse avec une playstation, et qu’on termine avec une kalash, ou au volant d’un avion, ou d’un camion. 
    Cette époque est riche en gros cons, et qui veulent se prendre pour des dieux, en dépit, ou plutôt à cause du petit pois qu’ils ont dans la tête. Pendant longtemps on a pensé que ces types feraient la différence entre la fiction et la réalité. Ce n’est pas seulement les politiques qui ont joué avec le feu, mais tout le monde de la culture et de la marchandisation. 


  • eugene eugene 18 juillet 2016 10:46

    Il y a fort à parier que ces attentas n’existeraient pas s’ils n’étaient pas relayer immédiatement en chambre d’écho, d’un bout du monde à l’autre. Le pervers jouit de son pouvoir par ce biais, Il se met en scène comme sur une scène de théâtre. je ne dis pas que la société invente ces crimes, mais c’est elle qui les conditionne. Il faut mettre un terme à ce spectacle du monde. S’attaquer à la sidération, fascination de la violence, l’un étant le miroir de l’autre. ...On passe en boucle des images, montrant par là qu’on est bien incapable de mettre en mots, en sens. Le sens évidemment n’existe pas. L’islamisme n’est qu’un leurre choisit par des demeurés pour passer à l’acte, et à la société pour tenter de rationaliser, et de se rassurer. Nous avons fabriqué des monstres. De pauvre types, bien sûr, mais jouissant de leur pouvoir : Hier c’était Andreas..Ce pilote allemand qui a précipité 200 personnes contre une montagne. Quel va être le prochain ?...

    Votre voisin, le mien ?...Cool. Il serait temps de réfléchir sérieux au monde culturel et économique qui produit ces tarés, au lieu de parler sans cesse des cellules de soutien psychologique. La meilleure, ça serait celle qui nous donnerait un coup de pied au cul, pour prendre vraiment le mal à sa racine. Vaste programme, je sais.


  • eugene eugene 18 juillet 2016 10:35

     « Il est vrai que les Etats-Unis sont un modèle d’intégration de communauté »

    Faudrait vous tenir au courant de ce qui se passe à bâton rouge tout de même.....Beaucoup disent tout et n’importe quoi sur ce drame. Remarquons que ce pilote d’avion allemand qui s’est suicidé avec 200 personnes à son bord n’était pas un islamiste. Les barges qui quittent leur playstation pour manier la kalash en Syrie sont du même tonneau : Des pervers paranoïaques, d’une part, ou de bons psychopathes n’ayant pas grand chose entre les neurones pour amortir la moindre frustration ; tout ça potentialisé par l’air des temps, l’inculture, et la production culturelle, (oui...)....De gros cons quoi...Ils sautent sur l’islamiste mais s’en foutent, l’essentiel comme qui dirait l’autre est ailleurs : Se la péter......On voudrait bien enfermer ce guignol avec son camion dans la mouvance islamique, de L’efi au gouvernement, incapable sinon de défendre l’utilité de cette état d’urgence à répétition. Car il est encore plus redoutable d’admettre le caractère imprévu, pulsionnel et psychopathique de ces rambos d’opérette, qui se contentaient autrefois, de faire le coup de poing de ci de là....Comment s’en sortir ?...Solutions à court, moyen et long terme..., C’est tout un monde économique, et politique qu’il faudrait changer, mais avant tout culturel. Mais ça, nos dirigeants en sont à 100 lieus
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