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eugene

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.Je vis à la campagne, dans l'argoat, .. Je viens peut être d'un autre temps, bien que je regarde toujours avec plaisir par la fenêtre ce monde qui bouge. L'âge donne un certain confort un détachement, et une ironie, envers le monde des courtisans et des futiles. L'essentiel est ailleurs ! 
 

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  • eugene eugene 11 juillet 2016 19:40

    @OMAR
    Platini a surtout élevé très haut son compte en banque, voir cette déplorable histoire " 2 millions de francs suisses pour un p’tit service rendu à Blatter, cette blatte.


    Benzéma a levé lui aussi bien autre chose que des trophées....
    Mais je n’ai pas le lien sur le kama sutra- FC


  • eugene eugene 11 juillet 2016 17:07

    @Aristide

    Mais ce n’est pas du cynisme, la simple réalité comptable. Pourquoi croyez qu’il y a un tel investissement au niveau des médias, si ce n’est pour la bonne raison que le nationalisme sportif remonte le moral d’une nation. La dedans, évidemment, vous avez des gens qui s’en balancent. D’autres qui sont plus ou moins capables de faire la part des choses. Mais tout ce cirque est destiné aux 15, 20 % qui sont capables de faire pencher la balance d’un coté ou de l’autre. 
    Et quand une élection se joue à bien moins que ça, on investit de sa personne, on se déguise en bibundum , s’il le faut. 


  • eugene eugene 11 juillet 2016 16:53

    Evident que la gauche, enfin c’est ainsi qu’on appelle l’autre droite espérait tirer un avantage d’une victoire, car ils nous prennent pour des cons....Voir ce guignol enturbanné de son écharpe avec ce faillot de Le Graet, suporter de Benzema et de Platini est assez éloquent. 

    Il préférerait bien sûr être sur son scooter, ou vers d’autres transports


  • eugene eugene 23 mars 2016 15:18

    @Jean J. MOUROT

    Votre témoignage est éclairant, et c’est au fil de témoignages que cet article et ces réponses gagne en valeur. Le noir et le blanc comme vous dites n’existe pas dans cette affaire, et il y a des choses que seules l’expérience du terrain peut vous faire comprendre, et relativiser. « Avoir 20 ans dans les aurès », sans doute c’était pas facile ; déjà les politiques tétanisés par les enjeux, leur carrière, n’étaient pas les meilleures guides. Salan, et ce quarteron de généraux félons, c’était autre chose. Ce n’était pas des gamins, mais des chefs militaires qui auraient pu emmener le pays et l’histoire sur une pente fatale, si la troupe avait suivi. Tout le monde n’est pas DeGaulle c’est sûr, mais même lui en l’occurrence tergiversa et n’eut pas le courage de mettre un terme à cette affaire plus tôt...Reste que la pression autour de lui était énorme, même si l’opinion publique était depuis longtemps pour la paix. Mais les essais atomiques dans le Sahara furent sans doute aussi déterminant. 
    Quand aux harkis, c’est sûr, ils ont été sacrifiés, en tout cas leur sort soumis à la roulette. il ne faut pas oublier la dureté de ces temps, où le poids d’une vie humaine ne pesait pas grand chose, où l’on ne s’encombrait guère de travail de repentance et de cellule de soutien psychologique..Après deux guerres, les anciens trouvaient que les jeunes de toute façon avaient bien de la chance.... il faut se rappeler aussi comment on était maté les manifestations algériennes en france, comme celle du métro charonne, des milliers de manifestants balancés dans la seine. Nous retrouvons comme préfet de police, Maurice Papon, de sinistre mémoire. 


  • eugene eugene 23 mars 2016 13:39

    @Pomme de Reinette
    Je suppose que vous faites de l’humour, mais en fait d’incohérence et d’esprit torve, vous me semblez n’avoir de leçon à prendre de personne : Je remercie simplement dieu d’être né au bon endroit au bon moment, du bon coté du mur...Comme dit Le Forestier, dans une très belle chanson, « Etre né quelque part »..... Ce qui ne m’a pas empêché par le témoignage de mon grand père d’être sensibilisé à l’horreur de Verdun. De mon père à celui de la résistance....Tout cela m’a donné le gout de l’histoire..Je me souviens d’une marche exténuante de 100 kms sur l’ancien chemin des dames et de verdun où avait été blessé mon grand père, et je ressentais des choses particulières.Le service militaire en France, j’en donne un condensé très fragmentaire et ironique dans ce casernement où l’on stockait le matériel de mobilisation, où j’ai passé six mois relativement peinard, si l’on exclue les centaines d’heures de garde de nuit, et les corvées, un détail.

     Avant, c’était quatre mois de classe que bien peu d’ados supporteraient de nos jours. Ce n’était pas si évident que cela d’être du jour au lendemain d’être confronté à l’arbitraire, à l’esprit d’un petit sergent qui vous aboyait dessus, qui vous faisait ramper entre les barbelés en lançant des grenades offensives lors de stages commandos ( j’ai gagné des acouphènes et une perte d’audtion pour le reste de mes jours)..Les planqués, c’était ceux qui arrivaient à se faire pistonner, réformer ou mieux envoyer comme coopèrent avec un très bon salaire au bout du monde, ne nous trompons pas
    ...Alors oui, cette expérience vous sensibilisait un peu, toutes proportions gardées, avec le destin des trois ans qu’avait du supporter les anciens appelés, mis sous la tutelle parfois de pervers. Mais je me garderais de faire des amalgames ; Il existe des gens très responsables aussi dans l’armée, comme partout, et courageux. Maintenant pour les autres, je me souviens qu’on était très songeurs, tous, en pensant qu’on se trouverait sous la responsabilité de ces types pervers en cas de conflit....
    L’esprit de corps dans l’armée est très fort, et il est très difficile de se marginaliser, de jouer à la belle âme. Etre un soldat c’est obéir, on vous dresse à cela...
    J’ai vu il y a quelques années un très bonne émission sur arte au sujet de militaires ayant déserté, aux etats unis, en algérie, et en israël. C’était des armes fortes, qui en étaient sortis grandi, et qui avaient eu un courage énorme pour résister......
    Qu’aurait on fait en Algérie, ou en argentine, ou en Israël, voilà le genre de questions qu’on se posait, en discutant Sartre et camus.... Pour ça, je ne regrette absolument pas cette expérience. Elle m’a mis en relation avec les techniques de conditionnement et de soumission, avec des gens qui avaient traîné en Algérie, des gueules cassées que je reverrais d’ailleurs ensuite en médecine psychiatrique. 
    J’étais du bon coté de la blouse ; mais les anciens d’Indochine et d’Algérie, il ne faut pas se fier aux statistiques pour connaitre le nombre de survivants ; beaucoup sont morts dans leur tête. Ce qui n’est pas un scoop, d’une guerre à l’autre..C’est pas de pot, quand on n’est né en 1915, ou 1940 ; déjà d’être né en pleine guerre, mais de plus d’être en germination pour celle d’après...
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