Bien sur que si le probleme est la ; tout votre argumentaire se base sur le fait qu’il y a violation des regles de non-proliferation.
Or, il ne peut y avoir violation de ces regles car l’Inde possede DEJA l’arme atomique et, de plus, elle N’EST PAS signataire de ces accords. Dans ces conditions, je ne vois pas ce que cet accord industriel a de scandaleux.
"Vous avez encore faux : c’est sous Firefox que j’avais vérifié mon lien prétendument page blanche. "
J’ai... faux ???? Sauf omission de la part de mon ophtalmologiste, je ne suis pas encore aveugle et je sais reconnaitre une page blanche quand j’en vois une. Le navigateur de mon lieu de travail me présentait une page blanche, tout comme celui de mon domicile, et je ne vois pas en quoi j’ai...faux... A vrai dire, je commence à comprendre un peu mieux l’agressivité de vos contradicteurs à votre égard.
"Vous avez oublié l’allemand dans les langues de travail."
En effet, quoique l’allemand soit finalement assez peu utilisé en pratique en raison du faible nombre de locuteurs capables de vraiment travailler dans cette langue.
"Les blogues monolingues (sauf exceptions) des Commissaires sont certes privés, mais ils sont représentatifs de l’état d’esprit de la Commission, car ils s’expriment et ne sont lus que parce qu’ils sont commissaires européens. "
Non, ils sont représentatifs de l’état d’esprit de cette petite dizaine de commissaires et de leur engagement personnel. Pour connaitre ce qui est représentaif de l’état d’esprit de la Commission, le site institutionnel ainsi que ses publications sont là pour cela.
"Le régime des langues de travail n’est qu’une tolérance rendue nécessaire par le pragmatisme - autre preuve que la sorte de plurilinguisme prônée par l’UE pour nous, les citoyens, lui est impossible dans ses propres structures administratives !- "
Je n’ai jamais dit le contraire. L’anglais est utilisé par pragmatisme. Pas par tolérance mais en conformité avec l’article 6 du réglement 1 des institutions européennes. Ce qui n’empêche d’ailleurs en rien la cohexistence paisible des 23 langues de l’union, comme en témoigne tous les efforts de l’europe dans ce domaine. Le seul service de traduction compte à lui seul plus de 1500 traducteurs. Plurilinguisme impossible ? hmmm. "l’UE d’aujourd’hui est la mort lente de la francophonie."
Comme vous y allez ! Votre vision de l’europe me semble par trop caricaturale pour être franchement honnête. Brisons là ! Avec de telles certitudes, il me semble inutile de poursuivre.
Cordailement
PS : pour finir, petit exercice de style :
L’esperanto est une langue a-nationale, dont l’usage comme lingua franca défavorise outrageusement les natifs [de l’europe] sur le plan personnel, et les intérêts de ces pays sur le plan scientifique, économique, politique, culturel. Le rôle d el’UE n’est pas d’aggraver ce phénomène.
L’anglais est une langue inter-nationale [, aux centaines de millions de locuteurs], neutre, facile, européenne par son vocabulaire et internationale par sa grammaire, donc largement plus adaptée à ce rôle.
Bizarre, ça ne me semble pas plus absurde que votre post....euuuh....si en fait....tout pareil.
"Vous avez la même mauvaise foi et les mêmes réponses que la bande à Asp, curieux. "
Apres avoir lu ce fil avec attention et remarqué vos habitudes, et m’opposant à vous sur quelques points, je me suis posé la question de savoir au bout de combien de temps vous me taxeriez de "aspique" ou de tout autre qualificatif navrant dont vous semblez avoir le secret à l’encontre vos contradicteurs.
Je ne pensais pas que c’eut été aussi rapide.Vous êtes prévisible à un point assez inquiétant.
Bref ;
- je vous reconfirme que votre premlier lien me mènait à une page blanche sous Firefox. Il semblerait que l’utilisation de Internet Explorer resolve le problème. Néanmoins, s’agissant du site de la commission européenne, cette page est parfaitement conforme avec le régime linguistique de la commission, même si je regrette qu’elle ne soit pas disponible en français.
- Pour les blogs des commissaires et des représentant nationaux, il existe 10 liens sur la page d’accueil Notez que c’est peu en regard du nombre de commissaires et de réprésentants, ce n’est donc pas forcément représentatif de l’état d’esprit de la commision.
Je me permet cependant de vous rappeler que :
- les deux langues de travail officielles de la commision sont l’anglais et le français,
- les commissaires sont de toute façon libres de s’exprimer sur cet espace dans la langue qui leur convient. Après tout c’est LEUR blog, pas le votre.
- Si certains commissaires ont choisi de rédiger leur blog en anglais plutot que dans leur langue natale c’est pour avoir la certitude d’être lu et compris par le plus grand nombre. Si c’est cela qui vous défrise, j’ai le sentiment qu’il vous suffit de peu de chose.
Il est par ailleurs surprenant de constater chez vous une telle crispation sur l’anglais alors que vous pronez par ailleurs l’utilisation d’une autre langue comme langue de travail exclusive. L’esperantisation est elle plus acceptable que l’anglicisation ? Permettez moi d’en douter.
Krokodilo,
pour rebondir sur les 3 liens que vous utilisez comme argument :
- le premier mène à une page blanche, mais le site des relations extérieures de l’europe est disponible en français ET et anglais, c’est à dire dans les deux langues de travail officielles de cet organisme.
- le second lien mène à une page en français, également disponible en anglais.
- le troisième est en effet monolingue, mais ce n’est qu’un portail. Les blogs des commissaires européens sont généralement rédigés dans leur langue natale. Vous le sauriez si vous aviez suivi les liens.
"Donc c’est bien un anglicisation de l’union au niveau fonctionelle." Oui bien sur, et pas seulement de l’union mais de quasiment toutes les organisations internationnales pour lesquelles la langue naturelle de travaille EST l’anglais. Je ne le regrette ni n’en suis particulièrement content, je constate les faits et je m’y adapte. Etant moi même fonctionnaire international, je vis cette situation au quotidien. Ce choix d’une langue commune de travail reste cependant une nécessité absolue. Sans cela,il serait tout simplement impossible de travailler sans recourir en permanence à une armée de traducteurs simultanés.
Mais que ce soit l’anglais qui ait été choisi ou une autre langue que le français ne change pas foncièrement les choses. Pour le vivre tous les jours, la difficulté majeure n’est pas de comprendre ce que vous disent les autres (avec un peu de pratique on parvient même à bout de l’horrible accent texan de mon voisin de bureau, ou a celui plus pittoresque de mon collègue turc) mais de parvenir à exprimer certianes subtilités de langage de sa langue natale dans une autre langue. J’ai beaucoup de mal à voir en quoi une langue comme l’esperanto me permettrait de passer ce type de cap...