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Geneste

Jean-François Geneste
Ancien représentant de la CFTC à fédération européenne de la métallurgie.
J'ai un vif intérêt pour la science en général, les maths et la physique en particulier.
Auteur de 5 ouvrages :
"Logique de défense : 30 idées en 200 pages" Bénévent mai 2008
"Ainsi marchait l'humanité" Bénévent janvier 2009
"Physique : de l'esprit des lois" Cépadues novembre 2010
"Politique industrielle : des idées neuves pour demain", CFTC, novembre 2010
"Petit traité de philosophie moderne du libre arbitre" 2011 disponible uniquement sur Kindle

Tableau de bord

  • Premier article le 18/12/2008
  • Modérateur depuis le 10/01/2009
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Derniers commentaires



  • Geneste 13 février 2010 21:05

    @Terran

    Ce n’est pas tordu mais c’est un peu compliqué car ma thèse sur le sujet, maths comprises, fait plus de 450 pages et c’est justement quasiment cet unique sujet qui est abordé.

    Pour vous donner une idée, si on considère une variable aléatoire, Y et si on n’a accès qu’à une approximation de Y, soit X, alors la meilleure mesure possible de Y sera donné par le calcul de la moyenne conditionnelle E[Y/X]. Cette loi s’étend aux vecteurs aléatoires avec très peu de conditions et on n’a même pas nécessité de considérer des variables à densité. On démontre alors assez facilement que, dans le monde social, l’environnement étant modélisé par un vecteur aléatoire Y, chaque entité sociale (individu, famille, groupe, etc.) ayant une connaissance du vecteur X, son adaptation optimale sera déterminée par E[Y/X]. Ce sera la meilleure adaptation possible de l’entité à son environnement. Néanmoins, à un niveau plus élevé, la société requiert elle aussi une adaptation minimale quant à un sous-vecteur Y’ du vecteur environnement. Qu’un acteur vienne alors à être trop loin de l’optimum à réaliser, c’est-à-dire qu’il soit trop éloigné de la moyenne conditionnelle et alors il sera éliminé (chômeur, suicide,...) Cette loi de la moyenne conduit donc les acteurs à converger sous peine d’être éliminés. Et on peut constater cela chaque jour. Les modes de vie convergent dans le monde entier, les productions industrielles convergent aussi (mêmes voitures, même électroménager,...). Bref ! L’uniformisation est en marche et une forme d’ordre absolu se met en œuvre. Cet ordre est bien entendu néguentropique, de fait.
    Je suis en partie d’accord avec Liger, cela se fait en consommant de l’énergie. Je remarque quand même que sans énergie, il n’y a ni hommes ni société donc. Mais ma réflexion, encore une fois dans « Ainsi marchait l’humanité », va au-delà. La néguentropie ne peut pas être que le fait d’une consommation d’énergie, elle est nécessairement le fait de l’intelligence. La source de la néguentropie, c’est l’intelligence, car « brûler » de l’énergie bêtement crée bien évidemment de l’entropie.
    Voilà ! C’est peut-être plus clair pour certains. Ca ne dispense pas de lire l’ouvrage qui entre dans le détail, y compris le détail mathématique. A titre d’exemple, je démontre que dans un marché équilibré, les acteurs économiques qui sont sur un même créneau doivent fabriquer les mêmes produits ou fournir les mêmes services. Regardez l’exemple des voitures qui sont toutes identiques dans une gamme donnée ou les offres triple play qui sont les mêmes et coûtent le même prix. Tout cela se démontre mathématiquement.



  • Geneste 13 février 2010 10:40

    Puis-je vous suggérer de lire mon ouvrage « Ainsi marchait l’humanité » qui va à l’encontre de votre thèse sur l’entropie maximale dans la société ? La mondialisation et ce que les media appellent la convergence, représente, au final, une réduction entropique. Et parce que cela va contre la nature, de mon point de vue, c’est pour cela que la société actuelle, comme toutes les civilisations, finira par décliner...



  • Geneste 9 février 2010 14:55

    Votre éloge de Plénel est tel qu’on dirait que vous cherchez un poste...

    Quant au journalisme actuel, je vais vous montrer ce qu’il vaut de façon très simple. Si vous regardez combien sortent de dépêches de l’AFP chaque jour, vous en compterez des centaines. Reprises par la presse, ces nouvelles devraient constituer une moyenne mais devraient aussi montrer un écart-type autour de cette moyenne. J’ai analysé cela en détail dans mon ouvrage « Ainsi marchait l’humanité ». Or, quand vous écoutez, regardez ou lisez la presse, vous constatez que l’écart-type est nul ! Conclusion, il n’y a rien à attendre de la presse dans notre pays, elle est objectivement corrompue.

    Commentaire définitif !



  • Geneste 9 février 2010 13:36

    Votre suggestion est intéressante, même si ces sommes ne représentent pas une inflation à ce jour. Néanmoins, si on supprimait les paris, ces sommes viendraient de facto gonfler le PIB en le multipliant potentiellement par 20 et elles correspondraient alors à de l’inflation... A moins de spolier les parieurs...



  • Geneste 9 février 2010 13:30

    Vous avez raison, c’est bien là le problème. Le même Lyndon Larouche voyait à l’époque 2 portes de sortie, l’hyperinflation sur les matières premières qui restent les seuls sous-jacents réels, ce que nous avons vécu il y a environ 2 ans et dont nous ne sommes pas à l’abri, et la guerre. La question est de savoir qui déclenchera le sauve-qui-peut le premier et la balle est aujourd’hui, principalement, dans les mains de la Chine.

    Néanmoins, à terme, on risque quand même les deux à la fois.

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