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Jason

Jason

80 ans, retraité. Du temps pour continuer à découvrir le monde. Vie active passée dans le technique, l’enseignement supérieur et l’industrie. Le tout (près de 40 ans) dans deux pays étrangers. Je redécouvre l’Hexagone.
 Sceptique et éclectique j'apprécie ce qui est écrit clairement et me soucie peu des fautes d'orthographe pourvu que la compréhension n'en souffre pas. J'aime l'humour, le badinage, bref une certaine élégance dans l'expression, mais attention aux précieux et aux pédants. Ecrire pour tous reste un exercice difficile.

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  • Premier article le 08/11/2006
  • Modérateur depuis le 03/09/2011
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Derniers commentaires



  • Jason Nicolas 23 janvier 2007 16:02

    Sur le mode facétieux : Vérité en deçà des Pyrénnées, erreur au-delà (ou lycée de Versailles comme disait Béru).

    Sur le mode sérieux. On peut parler de vérité des faits : observables, constructions logiques et cohérence des systèmes formels, sciences exactes. Les religions ne sont ni vraies ni fausses, elles sont révélées et basées sur les croyanes de ceux qui les pratiquent. La théologie, ou raisonnement sur les religions, n’est ni vraie ni fausse. Elle va parler de révélation, de miracles, de foi, d’existence de Dieu, etc. Mais ne peut en aucun cas se prévaloir du critère de vérité.

    Je vous prends au mot : démontrez, si vous le pouvez, qu’une religion a quoi que ce soit à voir avec la vérité. Parlez plutôt de croyance, mais non de vérité. Mais ne vous méprenez pas sur mon propos, il y a des croyances parfaitement respectables, même si les faits sur lesquels elles sont bâties sont contestables.



  • Jason Nicolas 23 janvier 2007 12:32

    Bonjour M. Reboul,

    Je vous cite : "Votre article, juste dans ce qu’il rapporte, fait à mon sens l’impasse sur une divergence principielle entre la démarche politique de NS et celle de SR qui explique du reste qu’elle n’ait pas encore précisé son projet,... Cette différence réside dans le projet de SR de démocratie participative en cours, partie prenante de sa campagne..."

    Dans votre commentaire vous avez le grand mérite de mettre l’accent sur le phénomène de ce que l’on pourrait appeler « l’avant et l’après » élections. C’est une différence « principielle » qui est à l’œuvre.

    On peut voir que SR fait une campagne non conventionnelle, beaucoup plus libre quant à la forme et au discours invitant d’emblée à la participation, puis promettant de la continuer après son élection. Cela restera à voir, vu nos institutions et les pratiques et procédures de gouvernement, dont on ne nous dit pas qu’elles changeront, jusque-là.

    La campagne de NS est basée sur un discours plus autoritaire et engagé dans le cadre des procédures existantes, des lois et règlements. Sans doute plus rassurant pour l’électorat qu’il courtise. Il ne faut pas oublier que c’est le ministre de l’intérieur qui parle et qui doit ménager sa droite ainsi que garder une certaine ligne sur l’insécurité, l’immigration et d’autres thèmes. Il apparaît beaucoup plus légitimiste que SR, plus près du « système » existant. Et ce malgré son désir de rupture qui laisse dans le flou les changements espérés (mais nous ne sommes pas encore en Avril).

    Il est bon de rappeler que dans les deux cas, et quelle que soit la méthode employée pour attirer les suffrages à soi, le fonctionnement du gouvernement ne changera pas. Les procédures fonctionneront comme aujourd’hui car elles sont inscrites dans les textes.

    Il existe, et votre propos me permet d‘y venir, un temps, un moment de grâce dans cette campagne (cette différence), où il est permis de promettre beaucoup. Et cela influe sur les contrastes de style des candidats dont nous parlons. Quant à « l’après » élections, il faudra faire face aux institutions existantes et aux contraintes socio-économiques, qui, elles, n’auront pas changé. L’avant élections : un pause, un instant de rêve, de débats très ouverts./ l’après élections : le retour aux dures réalités. Mais il sera trop tard, le mandat sera donné, la volonté générale transmise... C’est le point faible de nos démocraties.

    Deux mots pour ceux qui se plaignent ici que l’auteur de l’article ne parle pas des électeurs de M. Le Pen. Le nombre ne fait rien à l’affaire. Même s’ils sont 50 millions, et qu’ils se sont trompés (pour ne pas dire pire), l’auteur a le bon droit de les ignorer.

    PS. Je ne voterai pour aucun des ci-dessus nommés.



  • Jason Nicolas 22 janvier 2007 11:34

    Cher Monsieur,

    Nous vivons dans des sociétés où la phagocytose des idées, des symboles ou encore des allégories est une chose courante. Qui veut la fin veut les moyens. Et que M. Sarkozy ratisse à gauche, rien de moins surprenant, cela fait partie du réalisme politique dont chacun sait qu’il ne s’embarrasse pas de principes. Il n’y a pas de quoi faire un esclandre. Le lecteur aura rectifié de lui-même, ou comme vous dîtes ailleurs, triera le bon grain de l’ivraie.



  • Jason Nicolas 20 janvier 2007 09:56

    Très bon propos, M. Reboul. Il y a souvent sur Avox un effet « poubelle » où les propos les plus vulgaires, les idées les plus éculées voisinnent avec des analyses claires et enrichissantes.

    Or, je n’aime pas faire les poubelles. On y perd trop de temps à lire des âneries. Pour l’avenir d’Avox, il faut se demander si les chiffonniers et les polllueurs triompheront.



  • Jason Nicolas 20 janvier 2007 09:37

    Oui, je suis tout à fait d’accord avec vous Forest Ent sur l’équation économie = religion. J’ajouterai la doxa, les textes « sacrés », les idoles, l’excommunication, les anathèmes, les Panthéons, les temples avec leurs messes (bourses, bâtiments consacrés au dieu Capital), etc... et les prières incantatoires.

    J’ajouterai, pour rebondir sur un des propos de l’article : l’écologique est-il commercialisable (ou peut-on faire du « business » avec ce nouveau concept ?). Oui, bien sûr. Nous entrons dans le paradigme de la « destruction créatrice », à savoir qu’on détruit d’un côté pour refaire de l’autre, créer des produits nouveaux et de nouveaux marchés... C’est le vieux combat du vice et de la vertu. L’écologique a déjà revêtu son aspect commercial, c’est évident et inévitable.

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