• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Jason

Jason

80 ans, retraité. Du temps pour continuer à découvrir le monde. Vie active passée dans le technique, l’enseignement supérieur et l’industrie. Le tout (près de 40 ans) dans deux pays étrangers. Je redécouvre l’Hexagone.
 Sceptique et éclectique j'apprécie ce qui est écrit clairement et me soucie peu des fautes d'orthographe pourvu que la compréhension n'en souffre pas. J'aime l'humour, le badinage, bref une certaine élégance dans l'expression, mais attention aux précieux et aux pédants. Ecrire pour tous reste un exercice difficile.

Tableau de bord

  • Premier article le 08/11/2006
  • Modérateur depuis le 03/09/2011
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 13 3218 265
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 441 238 203
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Jason Nicolas 19 janvier 2007 16:20

    Vous jetez le bébé avec l’eau du bain. Si j’en crois les chiffres que vous avancez, il s’agirait d’un coût pour l’industrie d’un maximum de 70 milliards d’€ sur 10 ans. Or vous avancez un chiffre d’affaires de l’industrie chimique européenne de 600 milliards d’€ ; sur 1 an ou sur 10 ans ? S’agit-il de 1% environ ou de 1O% environ de coûts du contrôle rapporté au CA ? Si c’est 1%, c’est pafaitement supportable, si c’est plus, il faudra faire des amendements.

    De toutes façons, l’industrie chimique intégrera les frais supplémentaires causés par les nouveaux contrôles dans ses prix de revient.

    Il ne faut en aucun cas rejeter cette très importante initiative parce qu’elle coûte cher. A titre indicatif, dans les congrès internationaux sur le cancer, les spécialistes parlaient, dès les années 70, des causes humaines de cette redoutable maladie. Combien de vies, pour ne pas parler d’argent, aurait-on épargné si la combinaison de molécules absorbées sur le long terme avaient été repérées à temps... De plus, il semble que nombre de pathologies mal diagnostiquées aujourd’hui seraient causées par des combinaisons moléculaires aux effets peu connus. Egalement, voyez, à titre indicatif, les progrès dans la médecine du travail.

    A mon avis, le projet REACH représente une modeste percée dans un domaine où il reste encore beaucoup à faire. Et cela va coûter d’autant plus cher qu’on est en retard dans ce domaine, même si l’Europe est pionnière en la matière.

    Corollaire : une sérieuse restriction en matière d’importation de produits en provenance de l’espace hors Union Européenne... Dans ce cas, les chimistes européens n’ont rien dit.



  • Jason Nicolas 10 janvier 2007 23:13

    @ Panama,

    Oui,, il y a quelque chose qui s’appelle « Medicare » pour les plus faibles revenus. Voir le site Internet sur ce sujet.



  • Jason Nicolas 10 janvier 2007 19:45

    Merci Zénon pour cet excellent article que quelques esprits chagrins n’ont pas manqué de qualifier de passéiste ou d’usé. Mais, « ne vous chaille ». Continuez à marteler vos croyances et à parler librement dans une région du globe où la parole peut s’exercer sans risques.

    Parole d’autant plus libre qu’elle a peu d’effets,hélas ! Si un « J’accuse » ou les pamphlets pouvaient inquiéter le pouvoir autrefois, il n’en est plus de même aujourd’hui.

    Je donnerais cette définition de nos démocraties : régimes où l’on peut dire tout ce que l’on veut, pourvu que l’on ne change rien. Car le pouvoir ne craint plus la parole. Et il ne la craint pas parce que la parole ne peut pas le trouver. Ce pouvoir est caché, diffus, éclaté en une myriade de micro-responsabilités dont personne ne peut contrôler les interactions. Tout le monde pense l’avoir trouvé et il n’est jamais là où on l’imagine, et ce malgré les théoriciens de la « conspiration générale » ou les théologiens de la politique à image diabolique ou machiavélique.

    Mais où sont passés les pouvoirs ? Ils ne se trouvent certainement pas au fond des urnes. La politique est à l’image de la météorologie : insaisissable, nébuleuse colportée (si tant est qu’on puisse porter des nuages) par les marchands d’espoir dont on ne sait pas, au fond, ce qu’ils croient.

    Vous avez un bel et noble élan que je souhaiterais voir se tourner vers les mécanismes, les pratiques (au sens où les entendaient Michel Foucault) et les points névralgiques de ces pouvoirs multiples mais dissimulés.

    Le vieux pessimiste que je suis vous donnerait (si vous le permettez) cependant ce conseil :« il n’est pas besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer »

    Bon courage



  • Jason Nicolas 9 janvier 2007 16:50

    Walmart, qui avait tenté de s’implanter en Allemagne a dû revendre ses magasins. L’enseigne existe encore là-bas, mais elle cessera d’exister outre-Rhin d’ici la fin de cette année (date à vérifier). Cela montre que n’ayant pu imposer ses horaires hyper-flexibles à ses personnels allemands, Walmart a sans doute préféré jeter l’éponge. Autre constatation, le phénomène américain observé dans l’article n’est possible que parce que le droit du travail est (quasi-) inexistant dans ce pays, et le droit syndical tellement bridé que les syndicats sont moribonds dans la plupart des secteurs. Pas de lois pour les protéger : pas de syndicats, pas d’arbitration de l’Etat, et le tour est joué. « Money speaks » !

    Par ailleurs, Walmart tente de s’implanter en Inde et fait faire pression au niveau diplomatique et de la finance internationale auprès du gouvernement indien pour briser sur tout le continent indien le petit commerce de détail qui lui porte ombrage.

    La machine est en route et les chacals sont en chasse...



  • Jason Nicolas 8 janvier 2007 14:19

    @ T.B. 12h46

    Merci de ces propositions annonçant ou souhaitant, « sur le pont », un ménage très salutaire.

    Je me permettrais d’ajouter une petite visite dans la « salle des machines », en l’occurence de faire une refonte sérieuse des Codes et Réglements (voir le site Légifrance). En effet, le pouls de la vie française est rythmé par ces codes et lois. La révision de ces codes pourrait constituer un cahier des charges ou feuille de route efficaces, débouchant très rapidement sur des effets concrets. Ce sera devant ces textes que les élus devront se prononcer et prouver leurs allégeances. Un parfait appareil porteur de transparence à l’usage des citoyens.

    Une seule ombre au tableau, la somme de travail et de connaissances nécessaires. Mais les ressouces existent. Il faudra se mobiliser et remettre à plat un système passablement vétuste.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité