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Jason

Jason

80 ans, retraité. Du temps pour continuer à découvrir le monde. Vie active passée dans le technique, l’enseignement supérieur et l’industrie. Le tout (près de 40 ans) dans deux pays étrangers. Je redécouvre l’Hexagone.
 Sceptique et éclectique j'apprécie ce qui est écrit clairement et me soucie peu des fautes d'orthographe pourvu que la compréhension n'en souffre pas. J'aime l'humour, le badinage, bref une certaine élégance dans l'expression, mais attention aux précieux et aux pédants. Ecrire pour tous reste un exercice difficile.

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  • Premier article le 08/11/2006
  • Modérateur depuis le 03/09/2011
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Derniers commentaires



  • Jason Nicolas 16 novembre 2006 16:17

    Plus on fait de lois, et plus on crée d’infracteurs, disait-on au temps de Montesquieu. Il serait plus sage de créer des conditions telles que les citoyens n’aient aucun intérêt à les enfreindre. Le problème dans la plupart des gouvernements, c’est qu’on crée des lois et on les oublie. Pire même, on oublie de les appliquer ou de les supprimer. Trop de lois et trop peu de moeurs et d’honnêteté politiques. Un suivi sérieux serait un bon début pour faire le ménage.



  • Jason Nicolas 14 novembre 2006 18:21

    Vous oubliez le méthane, produit lors de la digestion de certains aliments. Très polluant, le méthane. Pensez aux flatulences, Monsieur, pensez-y ! Un impôt supplémentaire ici aussi !



  • Jason Nicolas 14 novembre 2006 18:10

    Qu’en des termes cinglants ces choses-là sont dites. Vous avez un art de pourfendre la cuistrerie ambiante qui force l’admiration. Vous avez mille fois raison sur le fond comme dans la forme.



  • Jason Nicolas 14 novembre 2006 13:27

    Bonjour, Anaxagore, je suis d’accord. La privatisation est à la mode, comme la fusion des entreprises. Il n’y aura rien à faire contre ce vent malsain qui nous souffle de Bruxelles et contre les écoles de commerce qui sortent des cadres aux vues étroites, le tout relayé par la presse aux ordres du grand capital. Car au gré de chacune de ces modes économiques et du respect des vaches sacrées il faut se poser la question : cui bono ? Qui profite ?

    Si l’on se base sur les effets connus des privatisations outre Atlantique et en Allemagne, le bilan est plutôt mitigé. Cela a résulté inévitablement en augmentations de tarifs, en diminutions du pouvoir d’achat des populations concernées, en perte de qualité des services, et, last but not least, en facteur d’inflation. De plus, la valeur pour l’actionnaire étant une priorité, et non le service public, il est très envisageable que les financiers laissent tomber une société qui ne devient plus rentable en raison des réglementations imposées, ou de cahiers des charges trop coûteux à exécuter. Si le service est vital pour le pays, l’état (le contribuable) pompe de l’argent pour renflouer la chose, et se dessine alors le modèle bien connu : Profits privés, pertes publiques. Et le tour est joué.

    La formule qui serait jouable serait une participation forte de l’état qui veillerait à la bonne conduite des sociétés privatisées et à préserver les intérêts du public. Je pense que cela existe déjà dans certains secteurs, mais je ne sais pas lesquels.

    Si ça tournait mal, la question des responsabilités se posera alors, mais les responsable ne seront alors plus au gouvernement. C’est merveilleux. D’où la nécessité d’un contrôle dans le temps de ce genre de chose. Mais par qui et comment ? Jury citoyen ? Je vois mal l’homme de la rue statuer sur les effets de la privatisation...

    Quant à la privatisation de l’Éducation Nationale, l’idée ne me déplairait pas de voir ce mammouth avec ses syndicats finir empaillé au muséum d’histoire naturelle. En France, comme en Europe d’ailleurs, on n’expérimente pas assez de nouveaux services au niveau d’une ville, d’une région, etc. Un peu d’émulation se produit en Allemagne puisque les Länder sont indépendants quant aux programmes d‘enseignement. Mais les syndicats sont encore plus corporatistes et égoïstes qu’en France.

    Merci d’avoir mis le sujet sur le tapis. Mais je suis pessimiste. Si nous n’avons pas le pouvoir, nous ne changerons rien.

    P.S. Jetez un coup d’œil sur les passages du livre de Bernard Maris, antimanuel d’économie, Ed. Bréal, p. 110 et sq.



  • Jason Nicolas 13 novembre 2006 10:47

    Merci pour votre article, équilibré, bien informé, clair ; c’est un plaisir de vous lire. Je suis surpris de ne voir que cinq commentaires face à une situation aussi vieille que l’humanité, ou peut-être à cause de cela ? En espérant avoir le plaisir de vous lire.

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