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  • Étirév 3 décembre 2024 10:28

    C’est dans l’histoire de l’évolution physiologique de l’homme que nous trouvons l’origine et la cause de la guerre.
    La lutte est d’instinct masculin.
    Si l’homme aime les combats c’est parce qu’il possède des facultés motrices qui ont besoin d’emploi. C’est pour avoir le plaisir de batailler, bien plus que pour défendre telle ou telle cause, pour venger tel ou tel affront. Le motif de la bataille lui importe peu. C’est la bataille elle-même qu’il aime et qu’il cherche. Et ce qui le prouve c’est que le pugilat (et le MMA en est la version la plus moderne ») est, pour lui, un jeu amusant et distrayant.
    Et ne voyons-nous pas, à chaque instant, les jeunes garçons se livrer sous nos yeux à des combats qui ont les motifs les plus futiles ou qui n’ont même pas de motif du tout ? L’instinct qui les pousse est le même que celui qui pousse les animaux à se poursuivre et à se battre, sans que leurs combats, qui sont leurs jeux, aient aucun motif. Du reste, les jeux du cirque, les combats de taureaux, les anciens tournois, simulacres de guerre, et tous les jeux qui simulent une bataille, prouvent bien que, pour l’homme, la lutte est un plaisir, presqu’un besoin.
    Donc la guerre a eu, pour principe, la satisfaction de l’instinct masculin.
    C’est lorsque les hommes vieillissent et perdent leurs facultés motrices, si exubérantes dans la jeunesse, qu’ils changent de manière de voir. Ils reviennent alors à des idées plus pacifiques, l’expérience leur a montré les conséquences désastreuses de la guerre à l’âge où la lutte n’est plus, pour eux, un besoin physiologique. Alors, seulement, ils s’aperçoivent que les batailles n’ont jamais conclu aucun différend mais en ont, au contraire, créé de nouveaux, qui restent à l’état de menace dans les nations, attendant l’occasion qui doit faire naître de nouvelles guerres.
    Supposons deux nations, ou deux hommes, se battant pour prouver, chacun, qu’ils ont raison. Après la bataille si c’est le vaincu qui avait raison ce n’est pas parce qu’il aura été terrassé qu’il aura moins raison. La victoire ne fait qu’affirmer la Force et lui donner le pouvoir en condamnant la raison même, le droit même.
    Donc, la puissance qui se base sur la Force est toujours une autorité illégitime.
    Nous ne voulons pas dire, cependant, que l’homme n’est jamais raisonnable, mais il y a des moments dans la vie de tout homme où la raison est obscurcie. C’est la conséquence de ses conditions sexuelles, la passion le domine, l’instinct triomphe de la raison.
    NB : « Les guerres extérieures, dit Vimala Thakar, ne sont que des projections et des extensions de ces guerres intérieures » (L’énergie du silence)
    Cette « lutte » de l’homme contre les ennemis qu’il porte en lui-même, c’est-à-dire contre tous les éléments qui, en lui, sont contraires à l’ordre et à l’unité, se retrouve dans la conception islamique de la « grande guerre sainte » (El-jihâdul-akbar) qui, contrairement à la « petite guerre sainte » (El-jihâdul-açghar) d’ordre extérieur et social, est de nature purement intérieure et spirituelle.
    Notons encore que le mot « guérison » a la même racine que le mot « guerre », car la guérison peut s’entendre, d’une part, comme la lutte et la victoire sur le désordre corporel qu’est la maladie, et, d’autre part, comme la lutte et la victoire sur les tendances désordonnées et inférieures que l’homme porte en lui-même.
    LIEN



  • Étirév 29 novembre 2024 11:23

    Si on a pu dire qu’Israël est le peuple choisi, cela voulut dire primitivement le sexe choisi.
    La maison d’Israël, c’est la puissance féminine, ce sont les fidèles de la gynécocratie.
    On sait aujourd’hui que ce régime a duré jusqu’au VIIIème siècle avant notre ère et que c’est pendant sa longue durée que régna la vérité dans la religion et la justice dans la vie sociale.
    Mais l’homme s’est révolté contre la Femme et contre sa loi, il l’a attaquée, et la lutte, une fois commencée, a grandi, elle est devenue formidable, et nous allons voir, dans l’histoire qui va suivre, les grandes femmes d’Israël soutenir de longues guerres dans l’agonie de leur puissance. C’est ce grand événement qui fait le fond de la Bible, et ainsi elle apparaît comme un livre du plus grand intérêt, digne du grand respect qu’on lui accorde ; l’histoire qu’elle renferme est bien réellement l’Histoire sainte.
    ORIGINE SECRÈTE DE LA BIBLE



  • Étirév 29 novembre 2024 08:30

    Imaginez, un instant, non pas l’explosion, mais bien « l’épanouissement » d’une « bombe atomique constructive » !
    Pour tous les psychopathes qui dirigent le monde (et qui ne se réduisent pas tous « ad hitlerum »), la société c’est le malheur, c’est la misère, le néant, la mort ; ils la veulent ainsi.
    Nous, nous la voulons autrement. Nous voulons la vie et tout l’épanouissement de l’être…
    L’Arbre de Vie est la source des miracles de la génération, de la transformation, du rajeunissement, de la guérison et de la libération. Sa participation consciente « ad perpetranda miracula rei unius », comme le dit la Table d’Émeraude, est le Grand-Œuvre de la Magie sacrée.
    On peut comprendre l’idéal du Grand-Œuvre lorsqu’on le compare à l’idéal de la science exacte moderne. Or l’idéal de la science est le pouvoir, le pouvoir technique pratique et le pouvoir technique intellectuel. L’aspect intellectuel de l’idéal scientifique est de réduire la multiplicité des phénomènes à un nombre limité de lois et de les réduire ensuite à une seule formule simple. Il s’agit en fin de compte de mécaniser l’intellect de telle manière qu’il « calcule » le monde au lieu de le comprendre. Alors on aura atteint le pouvoir technique intellectuel.
    L’aspect pratique de l’idéal scientifique se révèle dans le progrès de la science moderne depuis le XVIIIème siècle jusqu’à nos jours. Ses étapes essentielles sont les découvertes successives mises au service de l’homme : la vapeur, l’électricité et l’énergie atomique. Mais toutes différentes qu’elles paraissent être, ces découvertes ne sont basées que sur un seul principe, à savoir le principe de la « destruction de la matière », par laquelle l’énergie est libérée pour être capturée de nouveau par l’homme afin d’être mise à son service. Ce sont les petites explosions régulées de l’essence qui produisent l’énergie qui fait marcher une auto. Et c’est la destruction de l’atome qui produit l’énergie atomique. Qu’il s’agisse du charbon, de l’essence ou de l’atome d’hydrogène, qu’importe, il s’agit toujours de produire de l’énergie en détruisant la matière. L’aspect pratique de l’idéal scientifique est la domination sur la nature au moyen de la mise en jeu du principe de « destruction » ou de « mort ».
    Imaginez-vous des efforts et des découvertes dans la direction opposée, dans la direction de la « construction » ou de la « vie ». Imaginez-vous, non pas l’explosion, mais bien « l’épanouissement » d’une « bombe atomique constructive ». Il n’est pas trop difficile de l’imaginer, car chaque petit gland est une telle « bombe constructive » et le chêne n’est que le résultat visible de « l’explosion » lente, ou l’épanouissement, de cette « bombe ». Imaginez-le, et vous aurez l’idéal du « Grand-Œuvre » ou l’idée de l’« Arbre de Vie ». L’image même de « l’Arbre » comporte la négation de l’élément technique et mécanique. Il est la synthèse vivante de la lumière céleste et des éléments de la terre. Il est la synthèse du ciel et de la terre, il synthétise constamment ce qui descend d’en haut et ce qui monte d’en bas.
    Le « Grand-Œuvre, comme idéal, est l’état de l’être humain qui est en paix, alliance, harmonie et collaboration avec la Vie. C’est là « le fruit de l’Arbre de Vie ».
    LIEN



  • Étirév 29 novembre 2024 08:24

    « Le rôle de l’historien aujourd’hui, entre tradition et innovation »
    Il est un fait assez étrange qu’on semble n’avoir jamais remarqué comme il mérite de l’être, rappelait en 1946, René Guénon : c’est que la période proprement « historique » (la seule qui soit vraiment accessible à l’histoire ordinaire ou « profane »), remonte exactement au VIème siècle avant l’ère chrétienne, comme s’il y avait là, dans le temps, une barrière qu’il n’est pas possible de franchir à l’aide des moyens d’investigation dont disposent les chercheurs ordinaires.
    À partir de cette époque, en effet, on possède partout une chronologie assez précise et bien établie ; pour tout ce qui est antérieur, au contraire, on n’obtient en général qu’une très vague approximation, et les dates proposées pour les mêmes événements varient souvent de plusieurs siècles.
    L’antiquité dite « classique » n’est donc, à vrai dire, qu’une antiquité toute relative, et même beaucoup plus proche des temps modernes que de la véritable antiquité et l’on pourra suffisamment juger par là jusqu’à quel point les modernes (Jean Parvulesco parlait de « confrérie faisandée des historiens conventionnels ») ont raison d’être fiers de l’étendue de leurs connaissances historiques ! Tout cela, répondraient-ils sans doute encore pour se justifier, ce ne sont que des périodes « légendaires », et c’est pourquoi ils estiment n’avoir pas à en tenir compte ; mais cette réponse n’est précisément que l’aveu de leur ignorance, et d’une incompréhension qui peut seule expliquer leur dédain de la tradition ; l’esprit spécifiquement moderne, ce n’est en effet rien d’autre que l’esprit antitraditionnel.
    NB : VIème siècle avant notre ère
    « La force déchaînée écrasa partout l’esprit et institua le règne des tyrans... une démocratie brutale monte et force toutes les intellectualités à se démettre. Ce sont les masses incultes qui veulent dominer. Toutes les lignes de démarcation disparaissent. On ne distingue plus, parmi les peuples, que des hommes libres et des esclaves selon qu’ils sont vainqueurs ou vaincus. Il semble que l’espèce humaine, emportée par un mouvement général de folie orgueilleuse, venait de perdre tout ce qui avait existé en elle de raison. Tous voulaient commander, aucun ne voulait obéir ; chaque fraction voulait le pouvoir, l’anarchie était partout. » (A. Fabre d’Olivet).
    LIEN



  • Étirév 27 novembre 2024 12:20

    « En effet, l’église catholique serait, de manière surprenante, à la veille, non de son effondrement final mais, au contraire, d’un renouveau… »
    Lady Caithness, duchesse de Medina Pomar, dans son ouvrage « Le Secret du Nouveau Testament », écrit : « Cette éclosion du principe féminin, qui travaille sourdement le monde, et qui est, en vérité, la venue du règne du Saint-Esprit, implique nécessairement une immense révolution morale et sociale, qui remplacera l’idéal de la force et de la puissance par celui de la douceur et de la bonté. Révolution infiniment plus grande que le Christianisme, car le Christianisme a dévié immédiatement de sa voie première, et, sous l’influence du principe masculin, est devenu promptement un instrument de pouvoir et de politique. »
    NB : Les grandes Femmes qui ont plané au-dessus des sociétés humaines et les ont guidées à travers les vicissitudes et les orages vers la Vérité ont toujours été le mystérieux levain qui de temps en temps soulevait les âmes.
    Nous avons restauré sur un plan élargi les croyances de nos aïeules et en avons fait un nouvel esprit religieux que la nouvelle France va instaurer quand elle sera réveillée du cauchemar.
    Alors, la grande victoire spirituelle, incarnée dans la femme future fera renaître la tradition historique et rendra au territoire que nous occupons sa glorieuse suprématie ; elle fera cesser à tout jamais les luttes, elle purifiera la Terre de l’imposture qui en a été le point de départ. Et cet événement providentiel s’accomplira le jour marqué par la destinée suprême des Etats. C’est fatal.
    Ce sera la plus grande révolution morale qui se sera produite depuis trente siècles. En ramenant les esprits vers la grande vérité traditionnelle, on rétablira le seul idéal qui puisse régénérer le monde : Le Bonheur dans la Vérité.

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