Les Hébreux : Si on a pu dire qu’Israël est le peuple choisi, cela voulut dire primitivement le sexe choisi. La maison d’Israël, c’est la puissance féminine, ce sont les fidèles de la gynécocratie. On sait aujourd’hui que ce régime a duré jusqu’au VIIIème siècle avant notre ère et que c’est pendant sa longue durée que régna la vérité dans la religion et la justice dans la vie sociale (1). Mais l’homme s’est révolté contre la Femme et contre sa loi, il l’a attaquée, et la lutte, une fois commencée, a grandi, elle est devenue formidable, et nous allons voir, dans l’histoire qui va suivre, les grandes femmes d’Israël soutenir de longues guerres dans l’agonie de leur puissance. C’est ce grand événement qui fait le fond de la Bible, et ainsi elle apparaît comme un livre du plus grand intérêt, digne du grand respect qu’on lui accorde ; l’histoire qu’elle renferme est bien réellement l’Histoire sainte. Les Juifs : C’est au VIème siècle avant notre ère, pendant le séjour des Judéens à Babylone que les hommes, enhardis par ce qu’ils voyaient faire autour d’eux, se perdirent tout à fait. Sous l’influence démoralisatrice des Babyloniens, ils acquirent de nouveaux défauts. Jusque-là, ils avaient été turbulents, envahisseurs par moments, cruels quelquefois, mais ils avaient cependant gardé au fond de l’âme le respect de Hevah, l’Esprit féminin, ils avaient même respecté la vérité, n’osant pas encore s’affirmer dans le mensonge et se cacher sous la ruse. Les Babyloniens, maîtres en ces matières, devaient leur en donner l’exemple ; leur ville, qui allait bientôt disparaître de la scène du monde, était entrée en pleine décomposition morale. Les vainqueurs Chaldéens, en attaquant les hébreux, avaient, en plus du souci de détruire leurs institutions gynécocratiques, celui de les asservir ; il n’est donc pas étonnant que, dans ce milieu misogyne, les Juifs se soient affermis dans leur révolte contre Hevah, et que, entraînés par l’exemple, ils aient conçu l’idée d’instituer une religion nouvelle, dans laquelle le Prêtre aurait la première place en même temps que les honneurs et les bénéfices du sacerdoce. C’est donc de cette époque qu’il faut dater la nouvelle période religieuse des Juifs, l’origine du Judaïsme, venant renverser le premier culte, la vraie religion, pour lui en substituer une « qui n’est pas religieuse ». La Terre Promise : « C’est qu’il y a deux terres qui portent le nom d’Israël : Il y a la terre d’Israël d’En Haut, et il y a la terre d’Israël d’en bas. La première est appelée « Adama », la seconde est nommée « Eretz ». La terre Sainte est la Terre Céleste où il y a le Palais divin, d’où se déversent les sources de la Sagesse. C’est cette terre spirituelle qui a été promise et donnée à nos ancêtres, et non la terre matérielle. » (Grand Rabbin Jonathan Eybeschutz) L’État d’Israël : Un début de réponse en rappelant que TOUS les premiers ministres du nouvel Etat surgi en terre palestinienne en 1948 étaient originaires d’Europe orientale et des régions qui correspondent à l’ex-empire Khazar : David Ben Gourion (Pologne), Moshé Sharett (Ukraine), Levi Eshkol (Ukraine), Ygal Allon (famille roumaine), Golda Meir (Ukraine), Yitzhak Rabin (parents ukrainiens), Menahem Begin (Biélorussie), Yitzhak Shamir (Biélorussie), Shimon Peres (Biélorussie), Benyamin Netanyahou (grand-père lituanien), Ehud Barak (parents lituaniens), Ariel Sharon (parents biélorusses), Ehud Olmert (père russe). Les Autres : L’endroit du monde où l’on célébrait les Mystères qui étaient les plus renommés s’appelait « Is » (ou « Ys »). On disait « Is-la-Grande » (situé dans la baie de Douarnenez dans le Finistère). C’était le nom de la Divinité féminine, la « Mère universelle ». De ce nom viendra « Isis », « Isca », « Ichalis », « Isa » (Flavius Josèphe dit que les Hébreux donnent à la Femme le nom de « Issa »), « Isha » (Aïsha) en arabe, « Ischen » en Mexicain, mot qui signifie « jeune fiancée » pour les peuples qui ont perdu la tradition. Le pays des Déesses celtiques était appelé « Is-land » ; il s’étendait dans tout le Nord de l’Europe. Ajoutons à ceci que Cybèle était Matrice des Galates et que son nom mystique est « Rhéa » en grec, « Râ » en égyptien, et de ces deux noms réunis, Is et Râ, on a fait « Isra-el » (el est un article). Lien
Quel que soit le pays et l’élu (la victoire de K. Harris n’aurait rien changé sur le fond), le divertissement des élections présidentielles sert à continuer de faire croire au peuple, au travers d’un « suffrage universel passionnel », qu’il se gouverne lui-même. Et le peuple se laisse persuader d’autant plus volontiers qu’il en est flatté et que d’ailleurs il est incapable de réfléchir assez pour voir ce qu’il y a là d’impossible. En hâtant le chaos et l’effondrement de l’Empire Américain, Donald Trump (à l’instar de « l’agent » oligarchique, Gorbatchev, en URSS) agit comme un allié objectif des intérêts globalistes de la « City », cet épicentre du séisme instigateur du « Nouvel Ordre Mondial » (Wall Street n’est qu’une succursale de la City et l’a toujours été), car le seul objectif des mondialistes est l’avènement d’un gouvernement mondial. Et ce gouvernement mondial ne pourra voir le jour que sur les décombres des États, tout empires soient-ils. NB : « Pour l’élite qui opère au niveau profond du pouvoir, le monde est un terrain d’affrontement où toutes les formes de guerre sont permises. L’information est une arme aussi cruciale que l’argent pour la lutte contre les opposants politiques, mais aussi pour le contrôle de l’opinion publique et la manipulation de la démocratie. Les acteurs profonds font l’histoire (history) en racontant des histoires (stories) au peuple. L’expression « état profond » pourrait donc aussi désigner le sommeil hypnotique dans lequel les vrais pouvoirs maintiennent la masse des citoyens pour gouverner à leur insu et, surtout, les amener à approuver la guerre. » (L. Guyénot) Lien
Le « Diable » (dé)pose Un et retiens D(i)eux… S’ajoutant à la plénitude du 10, qui symbolise un cycle complet, le 11 est le signe de l’excès, de la démesure, du débordement, dans quelque ordre que ce soit ; ce nombre annonce un conflit virtuel. C’est en ce sens que Saint Augustin pourra dire que « le nombre 11 est l’armoirie du péché ». Son action perturbatrice peut être conçue comme un dédoublement hypertrophique et déséquilibrant d’un des éléments constructifs de l’Univers… Ce caractère est confirmé par le procédé de l’addition théosophique qui, en faisant le total des deux chiffres le composants, donne le résultat 2, c’est-à-dire le nombre néfaste de la lutte et de l’opposition. 11 serait alors le symbole de la rébellion, de la transgression de la loi, du péché humain… de la révolte des anges. NB : Le 11 septembre 1990, le président américain George Bush (père), lors d’un discours prononcé devant le Congrès, disait : « Nous nous trouvons aujourd’hui à un moment exceptionnel et extraordinaire. La crise dans le golfe Persique, malgré sa gravité, offre une occasion rare pour s’orienter vers une période historique de coopération. De cette période difficile, notre cinquième objectif, un nouvel ordre mondial, peut voir le jour : une nouvelle ère, moins menacée par la terreur, plus forte dans la recherche de la justice et plus sûre dans la quête de la paix. » Aussi, constatons que, 11 ans plus tard, jour pour jour, avec Georges Bush « junior », loin d’être une ère de paix, c’est une ère de guerre qui s’était ouverte ; loin d’être le triomphe de la justice, on voyait déjà l’injustice régner partout. Cela ne doit pas nous étonner : la capacité à mentir est l’une des « qualités » requises par l’oligarchie dans le choix de ses « marionnettes »... à l’Ouest comme à l’Est. Blog
La Fance… Fille ainée de l’Église, créée pour Aimer et toujours empêchée de remplir cette fonction sainte ! Vouée par ce monde corrompu, aveugle, à une destinée tourmentée, cherchant toujours ce bonheur promis et légitime, et n’y arrivant jamais. Etrangère, comme égarée, dans un monde « moderne » indigne d’elle, qui a commencé par la méconnaître et par en abuser, et qui ne cherche plus de satisfactions, aujourd’hui, que dans l’erreur, qu’elle abhorre, dans la brutalité qu’elle redoute ou dans la luxure qui lui fait horreur. Que tout cela est loin des joies pures que cette « Jeune fille » rêve encore, dans la corruption qui l’entoure !
Abracada...BRICS ! C’est un ancien employé de Goldman Sachs, Jim O’Neill, qui a inventé le terme acronyme BRIC en 2001. Jim O’Neill est maintenant conseiller au Trésor britannique car, assurément, il est clair pour lui, mais pas que, que la prospérité économique doit être cherchée dans la région asiatique. L’acronyme anglais BRIC est apparue en 2001 en référence à quatre pays : Brésil, Russie, Inde et Chine. BRIC s’est transformé en BRICS en 2011 avec l’intégration de l’Afrique du Sud. En 2014, les BRICS ont créé leur propre banque de développement (New Development Bank) dont le siège est à Shanghai. Remarquons que les années 2001, 2011 et 2014 ont, sur le plan international, connu d’autres évènements, bien plus important et, surtout, dramatiques, qui allaient bouleverser le monde. « La Chine adoubée par la City de Londres… ce qui confirme bien que Wall Street n’est en fait qu’une succursale de la City et l’a toujours été », est le titre d’un article de Ariel Noyola Rodríguez, paru sur Russia Today le 30/10/2015. Dans cet article, nous pouvons lire que « Pékin, après des années de tractations en coulisse est entré dans les petits papiers de la City de Londres. La visite que le président Xi Jinping a effectuée à Londres, entre le 19 et le 23 octobre 2015, a posé les bases de la fondation d’une époque dorée entre la Chine et le Royaume-Uni, bases sur lesquels les deux pays s’appuieront pour donner une impulsion au yuan comme monnaie de l’économie mondiale. Pékin désire que le yuan devienne une monnaie de réserve mondiale. Bien que le chemin pour parvenir à la pleine convertibilité soit encore très long, la Chine a vu augmenter la présence de sa monnaie plus que tout autre pays au cours des dernières années. Le yuan est aujourd’hui la deuxième monnaie la plus utilisée pour le financement du commerce, et la quatrième la plus sollicitée pour effectuer des paiements transfrontaliers, selon les données de la Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication (SWIFT, pour son sigle en anglais). Dans un deuxième temps, le gouvernement chinois tourne son regard vers l’Europe du Nord. Pour positionner sa monnaie dans le groupe des opérateurs majeurs, la clé est l’assistance technique des pays occidentaux. La Chine a commencé à relever le niveau de son partenariat stratégique avec le Royaume-Uni, qui malgré le déclin de son économie, est toujours chef de file dans la gestion de la finance internationale. » En 2015, dans le numéro 138 du magazine « Vers la Tradition », Yves le Cadre terminait ainsi son article intitulé « Les colonnes d’Hercule » : « Nous voilà parvenus à l’époque contemporaine et à la prédominance de la culture occidentale, plus précisément anglo-saxonne, portée à l’extrême dans son expression américaine et au règne du dollar voué à la production effrénée et au négoce des quantités. D’abord, à la suite de la première guerre mondiale, où beaucoup de pays n’ont plus d’or, puis suite au krach boursier de 1929, le système monétaire qui était basé sur l’or s’effondre. Survient la deuxième guerre mondiale, avec la même conséquence que précédemment, et, au sortir de la guerre, les États-Unis, qui occupent une position de supériorité incontestable, imposent le dollar qui, seul, est convertible en or. Puis, à la suite de diverses péripéties impliquant de nombreuses banques et banquiers occidentaux, la convertibilité du dollar en or est abandonnée en 1971 et la disparition du système monétaire international engagée. Le dollar « $ » règne en maître, et il va progressivement intégrer sous sa bannière toutes les autres monnaies et leur imprimer consciemment ou inconsciemment les symboles inversés de la contre-tradition, à savoir 2 barres, parfois simplifiées en un seul trait, au travers des monnaies modernes. Tout d’abord, la livre sterling « £ », qui au milieu de son sigle L, fut dès avant la première guerre mondiale, la première à introduire une barre en travers du L. Puis, dans un espace de temps relativement court, l’euro « € », qui inscrit deux barres dans son travers, le yen japonais deux barres sous le Y (¥), le yuan chinois une barre sous son Y (¥), sans oublier le Rouble russe (₽), et pour finir, en 2009, à notre grande stupeur, la roupie indienne, une barre sous le R (₹) de roupie en dévanagari. Ainsi, le pays dernier refuge de la tradition, s’abandonne officiellement aux démons du monde moderne. Citons la déclaration que fit M. Ambikar Soni, ministre indien de l’époque : « le nouveau symbole donnera à la monnaie indienne son identité propre. Il distinguera la roupie des autres monnaies et mettra en lumière la force et la mondialisation de l’économie indienne ». Maintenant, il faut bien comprendre que tous ces sigles et symboles monétaires internationaux ne sont que des signes d’allégeance et de soumission au roi dollar, nouveau roi du monde inversé. » Le symbole du dollar, disent certains, est le résultat de la composition d’un bâton et d’un serpent qui s’enroule sur lui : le bâton signifie le commandement et le pouvoir, tandis que le serpent qui monte en ondulant signifie le progrès accompli à travers la puissance de l’argent (progrès entendu dans l’acception de chemin vers la Gouvernance mondiale). Suite