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Qui sont les Hyksos ?
Les premières phases de l’histoire des Hyksos se déroulent en Chaldée ; les origines qu’elles nous racontent sont celles que la tradition babylonienne a conservées. Leurs tribus matriarcales existaient en Assyrie. C’est cette forme de gouvernement qui fut établie en Palestine, « cette terre qui sera un jour la possession d’un peuple qui sortira des tribus gynécocratiques ».
A l’époque où les féministes fuyaient devant l’oppression masculine, on vit entrer en Egypte, par le nord-est, un peuple de « Pasteurs » nomades. C’étaient des Chananéens qui, après avoir habité la région de l’Arabie qui touche au Golfe Persique, avaient émigré en Syrie. Cela se passait 2.000 ans avant notre ère. Ces féministes allaient vers la Palestine en vertu de cette tendance singulière qui pousse les femmes qui émigrent à se diriger vers le nord-ouest ; fait, du reste, qui a une cause psychologique : les races du Midi, ayant commencé plus tôt leur évolution, sont arrivées plus tôt au déchaînement des passions qui engendre la révolte de l’homme contre la femme (1). Pour fuir les dominateurs, il faut se diriger vers les pays où l’évolution plus tardivement commencée n’a pas encore amené les hommes au même degré de révolte contre les contraintes qui leur sont imposées par la loi morale. C’est pourquoi le mouvement d’émigration féministe, véhicule de la civilisation, marche de l’Orient à l’Occident, du sud au nord.
Il faut se rappeler que la « Tribu » est la forme du régime matriarcal et que ce sont les femmes qui sont « Pasteurs » ou plutôt « Pastourelles », c’est-à-dire Sédentaires.
Quand on parle de « Rois Pasteurs », on met au masculin le titre que l’on donnait à la souveraine féminine.
Suivant Flavius Josèphe, « Hyk » dans le dialecte sacré veut dire chef, et « sos » dans la langue populaire signifie pasteur (Contre Apion, 1.4). Or le langage sacré à cette époque reculée, c’est la primitive langue des Déesses.
M. Chabas rappelle que le nom hiéroglyphique des Pasteurs, trouvé dans l’inscription d’Ahmès, est exprimé par un groupe qu’il lit : Menaou. Dans le papyrus Sallier, ils sont désignés par une épithète flétrissante : Aatou (fléau) (Mélanges égyptologiques, pp. 32 à 35).
Nous voyons dans cette flétrissure une preuve psychologique de l’origine gynécocratique des Hyksos. C’est toujours ainsi qu’au milieu des luttes de sexes on parle des féministes.
Ces tribus s’établirent au nord de l’Egypte, dans le Delta (2).
L’historien Josèphe les avait identifiées avec les Israélites, par erreur, disent les modernes, qui ne comprennent pas qu’il ne s’agit pas de groupement par similitude de race, mais par similitude de gouvernement.
Mariette a découvert des monuments qui ont fait constater que les Pasteurs sont une race d’origine sémitique dont les chefs, après avoir conquis la partie septentrionale de l’Egypte, choisirent pour résidence la ville de Sâm qu’ils appelèrent Tanis (Tanis ne viendrait-il pas de Tanit, la Déesse phénicienne ?) à l’ouest du lac Menzaleh, et établirent leur place d’armes à Haouar ou Avaris à l’est du même lac.
Ces tribus adoptèrent, peu à peu, les habitudes et même la langue du pays, mais gardèrent intacte leur religion. Elles élevèrent des temples à leur Divinité dans les villes de Tanis et d’Avaris. Quelques monuments des « Reines » Hyksos portant les noms de leurs constructeurs subsistent encore.
Les « Pasteurs » devinrent maîtres du nord de l’Egypte et firent de Memphis leur capitale. La personne qui les gouvernait, Salaris, y régna. Nous ignorons si ce personnage était un homme ou une femme.
La fondation de Memphis, à l’entrée du Delta, remonte donc à cette époque. Cette ville s’appela d’abord Men-Nefer (la bonne demeure).
Pendant que les Hyksos régnaient dans le nord, la partie méridionale de l’Egypte était dominée par les Hak, que les historiens appelèrent des « Rois » (3). Or il n’y avait pas encore de royauté constituée, puisque nous savons que le régime gynécocratique dura, sans partage, jusqu’au Xème siècle avant notre ère. Ces Hak (ou Ack) sont des hommes qui se sont séparés des tribus matriarcales et se sont mis à la tête d’un parti opposant.
C’est en comptant ces Hak comme des rois légitimes qu’on arrive à établir un si grand nombre de dynasties qui auraient été, si elles avaient existé, une série parallèle à celle que formaient les Mères (Matriarches) des Tribus.
C’est surtout en Egypte que la gynécocratie fut solide et durable. Cependant, il y avait des contestations entre les Reines et les Hak. C’est ainsi que nous apprenons par un fragment de papyrus que l’un de ces « Rois », appelé Rashenen, reçut un message inquiétant de la part d’Apapi qui régnait chez les Hyksos, sans qu’il soit possible de découvrir à quel sujet, ni quelles furent les suites de ce message (4).
Un de ces Hak appelé Ahmès (Amosis) résidait à Thèbes. C’est lui qui parvint à vaincre les Hyksos et à les obliger à sortir du pays. On en fait le fondateur de la XVIIIème dynastie, une de celles que les historiens de la vieille école considèrent comme les plus brillantes parce qu’elle aurait remporté des victoires sur le régime féministe.
(1) À la naissance de l’empire Perse, les nomades, suivant un mouvement d’est en ouest, sillonnent le monde des civilisations fixes. Ils sont craints, tolérés ou persécutés, ce qui ne fait que renforcer leur particularisme. Comme l’écrit Michel Bernard (Zanko : Chef tribal chez les Chalderash, la tradition des Tsiganes conservée par l’aristocratie de ce peuple) : « Leur accroissement numérique et le fait que des sédentaires usurpent des professions que la coutume leur réservait les incitent à partir toujours plus loin. »
(2) Manéthon parle d’un peuple d’émigrants qui arrivèrent tout à coup aux bouches du Nil et se rendirent maîtres du pays. Il les appelle Hyksos, et dit qu’ils avaient pour roi (?) Boïkos et pour capitale Abaris.
(3) René Guénon mentionne « la racine hébraïque et arabe Haq qui signifie à la fois « justice » et « vérité » et qui, ajoute t-il, chez divers peuples anciens, a servi précisément à désigner la royauté ».
« Ce mot Haq a pour valeur numérique 108, qui est un des nombres cycliques fondamentaux. Dans l’Inde, le chapelet shivaïte est composé de 108 grains ; et la signification première du chapelet symbolise la « chaîne des mondes », c’est-à-dire l’enchaînement causal des cycles ou des états d’existence. » (René Guénon, Le Roi du Monde)
(4) C’est sous le règne de cette Apapi, qu’on appelle un Pharaon, que l’on place le jeune Hébreu Joseph vendu par ses frères. Cette légende a été, comme toutes les autres, arrangée d’après les idées les plus modernes.
(5) Renan dit dans l’Histoire du peuple d’Israël (T. Ier, p. 17) : « Le mot patriarche ne se trouve pas avant le premier siècle de notre ère, mais il est bien fait ; nous l’employons », et il l’applique aux chefs des tribus matriarcales qui étaient des « Mères ».
SUITE
Il serait peut être temps d’apprendre à se réconcilier plutôt que de continuer à entretenir la discorde « ad vitam » avec de veilles querelles ?
Que celui qui n’a jamais fait de mal nous jette la première pierre.
« Donc force de dire que l’homme, l’humain est relié à « Ce qui le transcende ». Que tous les êtres sur la terre ont une même origine, Dieu. Que nous y croyons ou non, c’est la réalité. Et toutes les religions se valent ; le judaïsme, le christianisme et l’Islam sont une même religion, et le Coran cite tous les prophètes Jésus-Christ, Moïse, Noé, et tant d’autres prophètes. Qu’elles n’ont été que des révélations et des rappels pour pacifier, pour orienter l’homme, qui était plus ou moins païen les temps passés. »
Tierno Bokar disait : « On est tous dans le même arbre. On est assis sur des branches différentes, mais nos racines sont les mêmes. »
Dans son ouvrage « Études sur la Franc-Maçonnerie et le Compagnonnage » (tome 2), et au sujet du rapport entre les Templiers et les trois grandes religions monothéistes, René Guénon écrit : « Il ne paraît pas douteux que les Templiers aient possédé un « grand secret de réconciliation » entre le Judaïsme, le Christianisme et l’Islamisme ; comme nous l’avons déjà dit nous-même en une autre occasion, ne buvaient-ils pas le même « vin » que les Kabbalistes et les Soufis, et Boccace, leur héritier en tant que « Fidèle d’Amour », ne fait-il pas affirmer par Melchissédec que la vérité des trois religions est indiscutable… parce qu’elles ne sont qu’une en leur essence profonde ? »
NB : Certains auteurs d’ouvrages sur les Templiers ouvrent certaines perspectives sur le rôle que les rivalités financières du capitalisme naissant ont pu jouer dans la destruction de l’Ordre du Temple au XIVème siècle. Les Templiers étaient, à certains égards, des sortes de rivaux des banquiers italiens qui, de ce fait, les voyaient d’un mauvais œil. Régine Pernoud, dans son ouvrage « Les Templiers », souligne le fait que, déjà, en Palestine, les Templiers avaient eu affaire avec les intrigues des banquiers de Venise, de Gênes et de Pise. En effet, le pouvoir des Templiers contrebalançait celui de Rome, ils avaient avec eux des rois et des puissants. Les Templiers cherchaient à centraliser, dans le Temple de Londres, les annates (taxe « papale »). Ils auraient aussi centralisé les encaisses métalliques qui constituaient la richesse mobilière de la France ; s’ils avaient atteint ce but, la puissance de Rome aurait été remplacée par celle de Londres, et le « Catholicisme Jésuiste » aurait sombré devant le « Christianisme Johannite ». Ce furent les hauts barons anglais qui firent échouer ce projet.
Depuis la fin du Moyen Âge, un changement considérable s’est produit dans la direction donnée à l’activité humaine.
Ce changement est le résultat direct de la mentalité des peuples Anglo-Saxons. Celle-ci se confond avec l’esprit antitraditionnel, en lequel se résument toutes les tendances spécifiquement modernes.
Ce n’est pas que cet « état d’esprit » antitraditionnel soit entièrement nouveau ; il a déjà eu, par le passé, des manifestations plus ou moins accentuées, mais toujours limitées, bien qu’aberrantes, et qui ne s’étaient donc jamais étendues à tout l’ensemble d’une civilisation comme elles l’ont fait en Occident au cours de ces derniers siècles.
Par conséquent, ce qui ne s’était jamais vu jusqu’ici, c’est une civilisation édifiée tout entière sur quelque chose de purement négatif, sur ce qu’on pourrait appeler une absence de principe ; c’est là, précisément, ce qui donne au monde moderne son caractère anormal, ce qui en fait une sorte de monstruosité.
Précisons avec l’« Encyclopédie de l’Histoire du Monde », que le terme d’« Anglo-Saxon » n’a, à l’origine, rien à voir avec une quelconque appartenance ethnique, et ne désigne que ceux qui avaient émigré des territoires germaniques vers l’île de Bretagne ; il semble (d’après cette encyclopédie) n’avoir été utilisé principalement qu’après 1066 et la conquête normande de l’Angleterre par Guillaume le Conquérant et ses « compagnons », dont les futurs hauts barons anglais.
LES TEMPLIERS
Avant de pouvoir dire : Voilà ce qu’il faut, il faut pouvoir dire : Voilà ce qui est.
Partout dans le monde occidental, la bourgeoisie est parvenue à s’emparer du pouvoir, auquel la royauté l’avait tout d’abord fait participer indûment ; peu importe d’ailleurs qu’elle ait alors aboli la royauté comme en France, ou qu’elle l’ait laissée subsister nominalement comme en Angleterre ou ailleurs ; le résultat est le même dans tous les cas, et c’est le triomphe de l’« économique », sa suprématie proclamée ouvertement. Mais, à mesure qu’on s’enfonce dans la matérialité, l’instabilité s’accroît, les changements se produisent de plus en plus rapidement ; aussi le règne de la bourgeoisie ne pourra-t-il avoir qu’une assez courte durée, en comparaison de celle du régime auquel il a succédé ; et, comme l’usurpation appelle l’usurpation, après les Vaishyas (caste dont les fonctions propres étaient celles de l’ordre économique), ce sont maintenant les Shûdras (caste la plus inférieure) qui, à leur tour, aspirent à la domination : c’est là, très exactement, la signification du bolchevisme.
Les pays se sont ruinés sans s’en apercevoir. Comme personne n’apporte de solution miracle (c’est impossible au niveau actuel du Plan), les hommes qui sont au pouvoir visible tentent de créer l’illusion que tout va bien. C’est la raison pour laquelle tout a été fait pour corrompre la classe politicienne. Et les peuples continuent de flatter, pour le temps qui leur reste, ceux qui donnent l’impression d’écarter d’eux toutes les calamités. Inutile de vous dire que cette espérance est et sera trompée. Tous les accords de paix dont vous avez entendu parler depuis la « guerre du Golfe », tous les évènements de Russie faisant croire à une nouvelle ère où le Communisme serait renvoyé au cimetière sont des « composantes » du Plan. Pensez-vous réellement que cette « Organisation » qui a financé Lénine, qui a donné la moitié du monde à Staline avec la complicité des dirigeants de l’époque accepterait de tout arrêter alors qu’elle est si proche du but ? Croyez-vous sérieusement que tous les montages secrets qui ont permis au Socialisme d’être planétaire vont s’arrêter là ?
Comprenez que le Communisme ne sera réellement mort que le jour où son « père nourricier », à savoir le Capitalisme ultra libéral de la Haute Finance, ne sera, lui-même, plus de ce monde !
LIEN
Dans « La France contre les Robots », Georges Bernanos disait que « La tragédie de l’Europe au XIXème siècle et d’abord, sans doute, la tragédie de la France, c’est précisément l’inadaptation de l’homme et du rythme de la vie qui ne se mesure plus au battement du cœur, mais à la rotation vertigineuse des turbines, et qui d’ailleurs s’accélère sans cesse. L’homme du XIXème siècle ne s’est pas adapté à la civilisation des machines et l’homme du XXème siècle pas davantage… J’irai plus loin, je dirai que cette adaptation me paraît de moins en moins possible. Car les machines ne s’arrêtent pas de tourner, elles tournent de plus en plus vite et l’homme moderne, même au prix de grimaces et de contorsions effroyables, ne réussit plus à garder l’équilibre. »
La Civilisation des Machines est « La civilisation des techniciens », et dans l’ordre de la Technique, un imbécile peut parvenir aux plus hauts grades sans cesser d’être imbécile, à cela près qu’il est plus ou moins décoré. La Civilisation des Machines est la civilisation de la quantité opposée à celle de la qualité. Les imbéciles y dominent donc par le nombre, ils y sont le nombre. Cependant, la malfaisance n’est pas dans les imbéciles, elle est dans le mystère qui les favorise et les exploite, qui ne les favorise, d’ailleurs, que pour mieux les exploiter.
Aussi, c’est l’occasion de rappeler ici les mots de Charles Baudelaire : « La suprême habilité du diable, quelle que soit sa nature, c’est d’obtenir au bout du compte qu’on nie son existence. ».
Convenons, aujourd’hui, qu’il y est assez bien parvenu, avec de surcroit l’aide de ses « prêtres » (théologiens ou pas) et l’adhésion satisfaite d’une myriade de « fidèles », soi-disant « libérés », puis « branchés » et « câblés », aujourd’hui « connectés » et, demain, probablement « transhumanisés ».
Les hommes de la Tradition qui ne sont ni folkloristes, ni rêveurs ou nostalgiques, ont pris définitivement conscience que « le monde moderne danse avec le diable » et que notre civilisation est devenue le support planétaire ouvert aux entreprises des « puissances d’en-bas ».
Aussi, à la lumière des principes et doctrines traditionnels qui fondent la Sagesse commune à toutes les formes traditionnelles, initiatiques ou religieuses, le monde actuel, malgré, ou en raison, de ses indéniables réussites matérielles et techniques, apparaît pour ce qu’il est vraiment : parodie, caricature, illusion, poudre aux yeux, travestissement, en un mot : mensonge.
Ayant épuisé ou presque les « virtualités » du « matérialisme », « l’Adversaire » recourt dorénavant aux « virtualités » d’un « néo-spiritualisme ».
À ce sujet, rappelons les propos de l’un des prosélytes du transhumanisme en France, Laurent Alexandre, propos parus dans « Le Monde » du 03/11/2015 : « Dieu n’existe pas encore : il sera l’homme de demain, doté de pouvoirs quasi infinis grâce aux nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. L’homme va réaliser ce que seuls les dieux étaient supposés pouvoir faire : créer la vie, modifier notre génome, reprogrammer notre cerveau et euthanasier la mort. »
On le voit ici, le cerveau de l’imbécile n’est pas un cerveau vide, c’est un cerveau encombré où les idées fermentent au lieu de s’assimiler, comme les résidus alimentaires dans un côlon envahi par les toxines.
En parallèle des propos délirants tenus par le chantre du transhumanisme, néanmoins soutenus par le « brainwashing » hollywoodien habituel, organisé, notamment ces dernières années, autour des univers « Marvel » et « DC Comics », rappelons ces sages paroles de Louis Pauwels, tirées de son ouvrage « Les dernières chaînes » : « La qualité suprême de l’homme est dans son être. Nous sommes dans une période où tout se conjugue pour nier notre authentique liberté intérieure… En fait, c’est toujours la même vieille tentation : convaincre les hommes de renoncer à leur autonomie, à leur singularité, à leur différence. À l’ère des machines et de l’informatique, beaucoup se prennent pour des robots. Or, les robots ne vivent pas. Ils n’ont pas d’intériorité. Ils ne connaissent qu’une loi, celle des tyrans qui les manipulent. ».
Concluons avec Georges Bernanos qui, en 1946, écrit, toujours, dans « La France contre les Robots » : « Nous n’assistons pas à la fin naturelle d’une grande civilisation humaine, mais à la naissance d’une civilisation inhumaine qui ne saurait s’établir que grâce à une vaste, à une immense, à une universelle stérilisation des hautes valeurs de la vie. (…) Ce n’est pas mon désespoir qui refuse le monde moderne. Je le refuse de toute mon espérance. Oui, j’espère que le monde moderne n’aura pas raison de l’homme ! »
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