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Il ne faut pas confondre les Juifs (Charles Maurras parlait de « convoi de bateleurs et d’agitateurs sans patries ») et les Israélites, comme sans doute le faisaient les Romains, et comme le font encore presque tous les historiens modernes. Les Sémites formaient deux partis en lutte. Les Israélites restèrent toujours séparés du monde juif, qui représentait pour eux l’usurpation du pouvoir religieux ; ils gardaient fidèlement leurs principes théogoniques et leur grande loi morale.
Rappelons que le Coran utilise deux expressions différentes pour désigner les juifs : soit « fils d’Israël » (banû Isrâ’îl) quand il s’agit des authentiques dépositaires de la tradition hébraïque, soit proprement « juifs » (yahûd) quand il s’agit des représentants de ses formes déviées.
La confusion qui s’établit entre les Juifs et les Israélites commence au premier siècle.
Les Juifs, qui sont partout méprisés, se font appeler « fils d’Israël », croyant par cette supercherie reconquérir l’estime perdue. C’est ceux-là que Voltaire prend à parti lorsqu’il écrit : « Les juifs ne sont qu’un peuple ignorant et barbare qui allie depuis longtemps la plus répugnante avarice et la plus abominable superstition à une haine inextinguible pour tous les peuples qui les tolèrent et grâce auxquels ils s’enrichissent. ».
La confusion qui s’établit entre les Juifs et les Israélites commence au premier siècle. Les Juifs, qui sont partout méprisés, se font appeler « fils d’Israël », croyant par cette supercherie reconquérir l’estime perdue. Au commencement du premier Christianisme, ce sont eux que l’on considère comme des pharisiens hypocrites, des « Hommes sans Thorah », des « Sépulcres blanchis » qui imposent aux autres des devoirs qu’ils ne remplissent pas eux-mêmes et créent dans la société une aristocratie factice basée sur les privilèges qu’ils se donnent. D’un « royaume divisé contre lui-même », ils forment des sectes qui se détestent et se méprisent entre elles autant qu’elles détestent et qu’elles méprisent le genre humain.
Pour comprendre la persécution dirigée contre les Sémites, il faut savoir que ce sont les Israélites (féministes) qu’on persécute, et non les Juifs qui les ont renversés pour établir un régime masculiniste. Ces précisions sont susceptibles d’apporter un éclairage nouveau sur certains évènements tragiques de l’histoire, notamment ceux ayant eu lieu au cours de ces trois derniers siècles, et aussi sur l’utilisation abusive, voire la manipulation aujourd’hui, autour de l’argument, devenu l’argutie, de l’« antisémitisme », brandit à tout propos et en toute occasion par l’oligarchie « masculiniste » et toutes ses marionnettes.
De l’Israélisme au Judaïsme
Lorsque Laplace répondait à Napoléon qui lui parlait de Dieu « nous n’avons pas besoin de cette hypothèse », il se trompait étrangement. Nous n’avons pas besoin, certainement, du Dieu-homme des religions modernes, mais nous ne pouvons pas vivre sans le Dieu que la Science antique affirmait (que la Religion naturelle imposait), et M. Laplace, sans ce Dieu-là, sans ce Principe vital qui circulait en lui, n’aurait pas fait cette réponse à Napoléon, car il n’aurait pas été en vie à ce moment.
DIEU ?
« Quelle est l’origine et l’architecture de l’idéologie qui pousse Trump (et les siens) à vouloir dominer le Monde ? »
Réponse : L’Orgueil et l’Égoïsme, conséquences (entre autres) de la « CHUTE ».
Julius Évola disait qu’une des tactiques favorites de la « guerre occulte » est d’attirer « toute l’attention de l’adversaire sur des éléments qui ne sont que partiellement ou secondairement responsables » de la Subversion. « Toute la réaction se décharge alors sur ces éléments, devenus des boucs émissaires », ou, comme il l’écrit ailleurs, des « faux objectifs ». C’est notamment sous cet angle, conclu-t-il, qu’il faut analyser l’erreur tenace de ceux qu’obsède un prétendu « complot judéo-maçonnique ». Nuançons tout de même ces propos avec ceux de René Guénon, qui écrit (dans « La Franc-Maçonnerie et le Compagnonnage ») : « On a parfois reproché à certains de vouloir trouver partout l’influence des Juifs ; il ne faudrait peut-être pas la voir d’une façon exclusive, mais il y en a d’autres qui, tombant dans un excès contraire, ne veulent la voir nulle part. Il y aurait, du reste, ajoute-t-il, une étude bien curieuse à faire sur les raisons pour lesquelles le juif, quand il est infidèle à sa tradition, devient plus facilement qu’un autre l’instrument des « influences » qui président à la déviation moderne ; ce serait là, en quelque sorte, l’envers de la « mission des juifs », et cela pourrait peut-être mener assez loin… ».
Rappelons que le Coran utilise deux expressions différentes pour désigner les juifs : soit « fils d’Israël » (banû Isrâ’îl) quand il s’agit des authentiques dépositaires de la tradition hébraïque, soit proprement « juifs » (yahûd) quand il s’agit des représentants de ses formes déviées.
Remarque : Pendant 516 ans, c’est-à-dire depuis la mort de Myriam (Déesse glorifiée en Égypte et surnommée « Hathor », de Ha-thorah, « la Loi » en hébreu) jusqu’à la mort de Salomon (975 ans avant notre ère), le peuple d’Israël ne forma qu’une nation. C’est sous le régime gynécocratique que le peuple d’Israël avait existé jusque-là, et c’est sur ces fondements que nous allons voir Salomon étayer sa puissance et régner en homme, c’est-à-dire en conquérant cherchant à agrandir son royaume et en ambitieux cherchant à augmenter sa fortune. C’est après la mort de Salomon que la nation se divisa en deux Royaumes. C’est ce qu’on appelle « le schisme de Juda ». Le pouvoir ainsi divisé amena la division de toutes les institutions qui régissent la vie morale. C’est à partir de ce moment que la tribu de Juda prend de l’importance et que le nom qu’elle se donne, « Iehoudim » ou « Yehudim », figure dans l’histoire. Dans le « Livre des Rois », on trouve ce nom pour la première fois pour désigner les révoltés de Juda. C’est de ce nom qu’on fera « Judæi », et de Judæus, qui signifie « de la Judée », on fera « Juif ». Aussi, la première tribu révoltée, Juda, laissera dans l’histoire un nom synonyme de trahison.
L’exil ou la captivité de Babylone... En réalité, il y eut plusieurs déportations : la première sous Joyakim, en 599 ; la seconde lors de la destruction définitive de Jérusalem et du Temple, en 588. C’est pendant le séjour des Judéens à Babylone que les hommes, enhardis par ce qu’ils voyaient faire autour d’eux, se perdirent tout à fait. Sous l’influence démoralisatrice des Babyloniens, ils acquirent de nouveaux défauts. Jusque-là, ils avaient été turbulents, envahisseurs par moments, cruels quelquefois, mais ils avaient cependant gardé au fond de l’âme le respect de HeVaH, l’Esprit féminin, ils avaient même respecté la vérité, n’osant pas encore s’affirmer dans le mensonge et se cacher sous la ruse. Les Babyloniens, maîtres en ces matières, devaient leur en donner l’exemple ; leur ville, qui allait bientôt disparaître de la scène du monde, était entrée en pleine décomposition morale. Les vainqueurs Chaldéens, en attaquant les hébreux, avaient, en plus du souci de détruire leurs institutions gynécocratiques, celui de les asservir ; il n’est donc pas étonnant que, dans ce milieu misogyne, les Juifs se soient affermis dans leur révolte contre HeVaH, et que, entraînés par l’exemple, ils aient conçu l’idée d’instituer une religion nouvelle, dans laquelle le Prêtre aurait la première place en même temps que les honneurs et les bénéfices du sacerdoce. C’est donc de cette époque qu’il faut dater la nouvelle période religieuse des Juifs, l’origine du Judaïsme, venant renverser le premier culte, la vraie religion, pour lui en substituer une « qui n’est pas religieuse ».
La dissolution religieuse et morale des Juifs engendra une littérature exubérante dans laquelle les scribes et les docteurs, pétris d’orgueil, épuisèrent leur science en de vaines et puériles subtilités. Ils étaient fanatisés par les idées nouvelles que la mauvaise traduction du Sépher (devenu la Genèse, une « Père » version) avait fait naître et, sur ces traditions faussées, édifièrent une nouvelle Loi.
Au commencement du Moyen Âge, les Israélites dispersés s’étaient répandus sur toute l’Europe. On les appelait Juifs, quoique les vrais Juifs eussent presque tous passé au Catholicisme, et fussent devenus les plus ardents adversaires des anciens représentants des tribus d’Israël. Ce sont les Juifs christianisés, par ironie sans doute qui donnaient aux Israélites leur nom de Juifs qui était discrédité et détesté partout. Aussi, il ne faut pas confondre les Juifs et les Israélites, comme sans doute le faisaient les Romains, et comme le font encore presque tous les historiens modernes. Les Sémites formaient deux partis en lutte. Les Israélites restèrent toujours séparés du monde juif, qui représentait pour eux l’usurpation du pouvoir religieux ; ils gardaient fidèlement leurs principes théogoniques et leur grande loi morale.
La confusion qui s’établit entre les Juifs et les Israélites commence au premier siècle. Les Juifs, qui sont partout méprisés, se font appeler « fils d’Israël », croyant par cette supercherie reconquérir l’estime perdue. Au commencement du premier Christianisme, ce sont eux que l’on considère comme des pharisiens hypocrites, des « Hommes sans Thorah », des « Sépulcres blanchis » qui imposent aux autres des devoirs qu’ils ne remplissent pas eux-mêmes et créent dans la société une aristocratie factice basée sur les privilèges qu’ils se donnent. D’un « royaume divisé contre lui-même », ils forment des sectes qui se détestent et se méprisent entre elles autant qu’elles détestent et qu’elles méprisent le genre humain. À la médiocrité, ces fanatiques ajoutent la violence. Après avoir fait eux-mêmes une « nouvelle Loi », on verra surgir des zélotes (zélateurs de la Loi) qui, armés du fer sacré, tueront pour la moindre infraction aux prescriptions dites mosaïques. Derrière eux viendront les Sicaires (en latin « sicarii », les hommes à couteaux) qui feront couler des flots de sang. Cette nouvelle Loi (la Loi de l’homme qui est destinée à remplacer celle de la Femme) est surtout exprimée dans le Talmud et le Deutéronome (le mot Deutéronome veut dire « deuxième Loi »). Mais tous les livres publiés à ce moment sont imbus du même esprit. Ce sont : l’Esdras grec, le Prêtre et III Esdras, publiés après la chute de Jérusalem (en 70). Sous, le règne d’Agrippa Ier, vers 40, parut le « Livre de la Sagesse », appelé en grec « Sagesse de Salomon », livre écrit dans le but de justifier Salomon, le fondateur de la royauté masculine et le véritable promoteur de la révolte des Juifs contre Israël. C’est à ce moment où toutes les idées sont perverties et où l’on veut justifier l’homme et le glorifier, qu’on crée la légendaire sagesse de ce roi, alors qu’il fut débauché (le chapitre 11 du premier livre des Rois lui donne 700 femmes et 300 concubines). Des monarques de l’Orient prirent également le nom de Salomon ou Soliman, on en compte jusqu’à 72. Pendant plus de 1.000 ans, une foule de livres contenant des règles de sagesse pratique et même d’art manuel ont été mis sous le nom de Salomon. Aussi, précisons que le mot « Salomon » ou « Soliman » est un nom générique et symbolique : il est le nom des vainqueurs de la femme, et il indique une ère nouvelle : le règne de « l’homme seul » ! On veut lui faire signifier la Paix, alors qu’il inaugure le règne de la guerre.
À ce sujet, disons deux mots à propos de la récente guerre d’Irak menée sous l’impulsion de l’Amérique de G.W. Bush et de la Grande-Bretagne du « Labour » Tony Blair , et souvenons-nous des opérations de pillages et du saccage intégral du musée de Bagdad, organisés « professionnellement », sous la passivité totale des forces américaines (sous leur protection même affirment certains), et de la destruction systématique de tous ses ordinateurs et archives dans lesquels étaient recensées et photographiées toutes les pièces de l’inventaire, ainsi que du vol de la majeure partie des 40 000 manuscrits et de la totalité des quelques 80 000 tablettes de terre cuite recouvertes d’inscriptions cunéiformes… des tablettes sumériennes dont le décryptage commençait à s’avérer fort instructif en ce qui concerne les influences babyloniennes chez les rédacteurs de l’Ancien Testament…
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« À vous les femmes, il revient d’être sentinelles de l’invisible » (Jean-Paul II, Lourdes, 15/08/2004)
Marie (Magda) et l’origine de l’Immaculée Conception :
Marie fut appelée pure et immaculée bien longtemps avant l’introduction de ce dogme dans l’Église. En cela, elle ne fit que bénéficier de la loi qui s’étendait à tout le sexe féminin. Mais il fallut une circonstance pour que l’on affirmât avec tant d’exagération et de louanges inusitées une qualité que toutes les femmes possèdent dans l’ancienne religion.
Cette circonstance, c’est l’offense que lui firent les prêtres de la Synagogue en la déclarant pécheresse ou impure et en l’empêchant sous ce prétexte de pénétrer dans leur Temple. C’est cette accusation que le second Christianisme mettra dans la légende de Marie Magda, devenue Marie-Madeleine, la pécheresse repentante.
L’indignation causée parmi les premiers Chrétiens, qui avaient fait refleurir l’enseignement de la loi des sexes, base de la morale naturelle, détermina un entraînement dans une voie de réaction contre les outrageurs.
Un auteur fort ancien, Chrysippe, dont on fait un prêtre de Jérusalem, mais sans doute du premier Christianisme, après avoir donné à Marie le titre d’immaculée, ajoute qu’ « elle n’a rien de commun avec son peuple pervers, elle qui, de sa nature sans reproche et sans péché, ressemble à la rose plantée sur un sol hérissé d’épines ».
Ce qui prouve que cette question était discutée, c’est cette phrase de saint Jean Chrysostome, à propos de la conception de Marie : « Ne poussons pas plus avant dans ce mystère et ne demandons pas comment le Saint-Esprit a pu opérer cette merveille dans la Vierge ; cette génération divine est un abîme très profond, que nul regard Curieux ne peut sonder » (Serm. IV). Il appelle Marie « Vierge Très Sainte, immaculée, bénie par-dessus toutes les créatures ». Il affirme que tout a été sauvé dans la Vierge : Merito ergo Virgini. Une fois cette voie ouverte, tous les autres Pères de l’Église ne firent plus qu’amplifier l’idée qui leur était suggérée ; c’est toujours ce qui arrive.
L’abbé de Celles dit : « Tu es toute belle en ta conception, ayant été créée le temple de Dieu. La tache du péché, soit mortel, soit véniel, soit originel, n’a jamais infecté ton âme. »
Saint Jérôme la compare à la nuée du jour qui n’a jamais connu les ténèbres.
Saint Ambroise (IVème siècle) la compare à une tige droite et luisante où il ne s’est jamais trouvé ni le nœud du péché originel ni l’écorce du péché actuel : Virgo in quâ nec nodus originalis, nec cortex actualis culpae fuit.
« Par quel éloge pourrais-je exalter ta virginité sainte et sans tache ? », dit l’Église dans un cantique.
La conception immaculée de la Femme était une croyance universelle, elle se retrouve chez tous les peuples, elle est partie intégrante de toutes les religions ; bien plus, on ne peut pas faire de religion sans elle, puisqu’elle implique la connaissance du divin et le sacrifice de l’orgueil de l’homme. Mais cette connaissance était déjà en partie perdue, altérée, malgré tous les enseignements donnés pour en conserver le souvenir, malgré les précautions prises pour éviter les équivoques. Ainsi, les premiers Chrétiens représentaient les Vierges enceintes, et même aussi les chérubins qui les accompagnaient, pour faire bien comprendre que la Virginité de la Femme n’est pas dans le sexe, mais dans l’Esprit, et que toutes ont en elles la sagesse incréée qui est le Verbe.
On sait ce que les Catholiques ont fait de ce dogme, un fait surnaturel, alors qu’il n’y avait là qu’un fait naturel concernant toutes les femmes.
Une question se pose ici : où le Catholicisme a-t-il pris le culte de Marie, puisqu’il n’est pas indiqué dans les Évangiles qu’il a acceptés ?
Il a tout simplement continué le culte de Myriam et a pris dans l’histoire de cette grande femme des données qu’il a introduites dans l’histoire de la Vierge Marie. C’est le prestige qui s’attachait au nom de la grande Myriam (voir l’article sur l’Israélisme) qui donna tout de suite de l’autorité et de la sainteté à la nouvelle Marie qu’elle allait représenter. Les souvenirs de Marie l’Égyptienne, ses légendes, furent introduits dans l’histoire de la Vierge Marie.
L’abbé Orsini dit (dans l’Histoire de la Vierge Marie, t. I, p. 288) : « Marie fut la colonne lumineuse qui guida les premiers pas de l’Église naissante. L’Étoile des mers réfléchissait encore ses plus doux rayons sur le monde renouvelé et versait de bénignes influences sur le berceau du Christianisme. »
Or le Christianisme qui s’est occupé d’une Marie, c’est celui de Johanna ; ce n’est pas, celui de Paul, qui était venu combattre la Femme et qui, loin de glorifier Myriam la grande, en fit la Magdeleine pécheresse et repentante, suivant la tradition haineuse de la Synagogue.
Marie de Magdala, c’est Myriam calomniée, avilie, outragée ; on la fait repentie et humiliée. Quelle profanation !...
L’histoire de Jésus ayant été copiée sur celle de Jean, la mère de Jésus fut d’abord la copie d’Elisabeth, mère de Jean.
Les Arabes et les Musulmans donnent comme père à Marie Amram, qui fut père de la Myriam dont on fait la sœur de Moïse. Sa mère se nommait Hannah, qui veut dire gracieuse, et aussi louange.
Ce nom Hannah devint Anna, Anne. Il semble être la moitié de lo-hanna.
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