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  • JPL 11 novembre 2009 20:51

    Comme d’habitude ce crétin de Calmos n’a que de l’ironie imbécile à proposer.


    La question n’est pas le nonos jeté du mensonge de l’idole de calmos.

    Que Sarkozy ait l’habitude de mentir on s’en est rendu compte depuis un bon moment. Là même le Figaro, le Point et d’autres ont relevé le mensonge (sans aucune intervention d’Agoravox, des socialistes ou de qui que ce soit).

    Ce qui est grave est ce qu’on peut constater encore une fois, mais cette fois de manière plus caricaturale qu’avant : dès que Sarkozy est en difficulté, une escouade de membres du gouvernement et de cadres du parti unique UMP se précipite pour lui sauver la mise, en mentant s’il le faut évidemment. 
    L’étape d’après, qu’on peut déjà annoncer, est une pseudo grande annonce pour faire diversion.

    Cette organisation de propagande pour bourrer le crâne de citoyens, qui tourne à plein régime depuis 2007, sur fond de vide politique, est digne du système de l’URSS de Staline. Si le grand chef dit une connerie ou un mensonge, ses affidés se précipitent pour enfoncer le clou. 
    Et c’est évidemment dangereux pour la démocratie, pas seulement parce que cela tend à renforcer sa mégalomanie.


  • JPL 11 novembre 2009 20:39

    à PUCK


    A ce niveau d’aveuglement là, il ne reste guère de marge pour l’échange

    Sur le mensonge et la blogosphère que vous incriminez, lorsque des quotidiens nationaux classés à droite relèvent l’incohérence des déclarations en appui au mensonge concerné, vous appelez ça la blogosphère pour déconsidérer les dénonciations...
    Exemples :
    Le Figaro
    Le Point
    L’Express

    Tout cela c’est donc une blogosphère sans intérêt et qui ne sait pas de quoi elle parle ?

    Sur la prétendue connivence entre Sarkozy et Merkel : libre à vous de croire les fadaises des TV et du service d’information gouvernemental. L’avenir le dira, je n’y vois pour ma part que façade. 
    En revanche s’il y en a un qui peut avoir évolué c’est plus Sarkozy que Merkel : alors qu’il n’accordait aucun intérêt à la relation franco-allemande, tout tourné qu’il était vers G.W. Bush, ses échecs l’ont ramené à se soucier plus de la qualité de cette relation là. Si cela vous arrange de croire que c’est elle qui aurait changé et se serait mis à adorer N. Sarkozy, libre à vous de croire à de tels contes.

    Quant au vieil argument qui consiste à dire « il a été élu, circulez » (« La voix des urnes ») c’est misérable. Il est élu et il gouverne, soit. Si on n’est pas d’accord avec sa politique et a fortiori avec ses errements condamnables, on est donc alors supposé avoir le droit de se taire parce « la voix des urnes » ? Cela s’appelle du totalitarisme.

    Donc en conclusion, un responsable qui ment régulièrement et surtout qui a organisé tout un système par lequel les membres du gouvernement et les cadres u parti au pouvoir se précipitent pour mentir et appuyer un mensonge dès qu’il est mis en difficulté sur un mensonge (qu’il soit puéril et secondaire comme pour la chute du mur, plus inquiétant comme pour la tentative de bombarder Jean Sarkozy à la tête de l’EPAD) est un danger à terme pour la démocratie.  Il n’est que de voir les tentations totalitaires de ceux qui le défendent.





  • JPL 11 novembre 2009 16:15

    Je ne sais pas s’il reste une majorité pour croire que ses mensonges (qui ne sont pas tous petits, par exemple le fait qu’il ne soit pas lié à la tentative de bombarder son fils à la Défense, alors que de toute évidence il avait organisé la manoeuvre) n’en seraient pas, seraient des farbications de journalistes.


    Ce qui est clair en revanche est qu’il y a un système que l’on pourrait qualifier de quasi-stalinien, une organisation de propagande visant à faire qu’en cas de souci un ensemble de déclarations « spontanées » émergent au sein du gouvernement et dans les rangs de l’UMP, pour corroborer censément la véracité de mensonges éhontés.

    Et ça c’est franchement très inquiétant quant au personnage et quant au fonctionnement du politique.

    Pour ce qui est de l’estime que vous croyez déceler de la part de Merckel pour Sarkozy, on est encore clairement là dans la propagande qui nous est servie régulièrement.
    Quelque éclairage autre , ce papier paru très récemment (il y a deux semaines) dans Bild, le tabloïd populaire en Allemagne, lu par des millions d’allemands, journal le plus lu outre-Rhin :
    il illustre bien le fait que les alemands n’ont rien oublié des déclarations imbéciles de notre président en 2008. Le « la France travaille pendant que les allemands réfléchissent » n’est pas oublié...
    Que Merckel fasse preuve de bonne volonté montre qu’elle a l’intelligence de la situation et sait que l’UE ne fonctionne que si Allemagne et France élabore des compromis et les promeuvent. Mais cela ne va sans doute pas plus loin. 
    Realpolitik est un mot allemand, n’est-ce pas ?





  • JPL 11 novembre 2009 10:24

    De nombreux commentateurs réagissent pour dire en substance, c’est sans importance, on ne devrait même pas en parler, mais s’occuper des vrais problèmes du pays.

    Il est vrai que savoir si N. Sarkozy était bien devant le mur dans la nuit du 9 au 10 novembre 1989 et non le 16 comme tout le montre est assez dérisoire et bien moins important que la montée du chômage, l’explosion du déficit de l’état et de la dette etc.

    Cependant cet épisode met en lumière deux choses réitérées ces derniers temps :
    - N. Sarkozy ment comme un arracheur de dent lorsque cela l’arrange, que ce soit pour embellir, comme ici, pour nier qu’il ait joué le moindre rôle dans la tentative de bombarder son fils à la Défense, etc. C’est constant depuis des années.

    - une fois qu’il a menti, et si des indices du mensonge sont discutés, une sorte de campagne visiblement organisée de déclarations en contre-feu est mise en place, ce qui a minima crée un doute en sa faveur

    Ces deux dérives, parce que c’en est, sont inquiétantes et inacceptables. Aux Etats-Unis elles suffiraient largement à discréditer un homme politique et à l’acculer à la démission. La raison : les citoyens doivent pouvoir compter au moins un peu sur la sincérité de la parole publique, a fortiori pour ceux qui ont les plus hautes responsabilités. Davantage, ces mensonges auraient conduit là-bas au délit de parjure.

    En France, entre ceux qui soutiennent quoiqu’il arrive, ceux qui défendent sur le mode « c’est sans importance », les autres aussi, etc., la mollesse des médias etc., ça passe et il pourra être candidat à sa réélection en 2012 sans que cela soit un souci...



  • JPL 20 octobre 2009 12:16

    Au sujet de la fameuse élection, qui forcément devrait conduire à choisir le meilleur maintenant que le gouverment de M Sarkozy a « déminé » en promettant que les représentants de l’Etat ne voteront pas :


    Si les fonctionnaires représentant l’Etat s’abstiennent de voter, comme l’a suggéré Luc Chatel lors de son interview dominicale sur Europe 1, celui qui fera la différence entre les 4 élus et la majorité et les 4 élus de l’opposition sera le Président de la Chambre de Commerce des Hauts de Seine, un certain Claude Leroi, ancien conseiller Municipal à Neuilly du temps où le maire s’appelait Nicolas Sarkozy. Toute cette histoire est décidément nauséabonde. 

    Note de la rédaction du Post, ce lundi, à 15h :
    Claude Leroi, dont le vote sera déterminant dans l’élection du président de l’Epad, a fait ce lundi l’éloge du fils du chef de l’Etat, déclarant notamment :« Jean Sarkozy est un garçon de qualité, sympathique, que je connais depuis très longtemps. »

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