un échantillon aléatoire est plus sûr (contre les biais du statisticien) s’il est assez important. Mais il faut alors tester des gens qui ne se seraient pas spontanément testés.
Si on a un échantillon plus restreint, ou des tests uniquement effectués par des gens qui l’ont décidé eux-mêmes, il vaut mieux un échantillon représentatif (avec quelques risques de biais dans la définition de représentatif).
Le plus significatif serait de tester chaque semaine un échantillon représentatif de 2000 personnes
Depuis le tout début (mars 2020) je ne comprend pas que l’on ne fasse pas chaque semaine des tests standardisés (identiques sur la méthode) sur des échantillons aléatoires, afin de pouvoir faire des comparaisons valables entre 2 instants. *** Si on ne peut pas avoir un échantillon représentatif, il est toujours possible de redresser un échantillon déséquilibré en donnant un poids plus élevé dans la moyenne aux catégories sous-représentées dans l’échantillon (et réciproquement).
Met-on le secret défense sur les conséquence du tabac, de l’alcool, de l’obésité, du manque d’exercice physique, de la pollution, ainsi que de la grippe et des autres maladies infectieuses ? La réponse est non, car cela semblerait totalement idiot et priverait les médecins de ’thermomètre’ (de données) pour juger des dangers associés. Les journalistes, la supposée opposition politique et les parlementaires acceptent la dissimulation des faits comme un mode normal de fonctionnement de l’état. Ceci n’est pas sans rappeler la gestion du 11 septembre 2001 aux USA, quand le mensonge politique a été rendu légal : ce qui a conduit à la guerre d’Irak et à des centaines de milliers de morts à court terme, et plus à long terme. Il y a souvent un prix terrible à payer pour le renoncement au fonctionnement démocratique d’un état.
@perlseb La bien-pensance a effectivement accompli un saut ’qualitatif’ avec le Covid. Auparavant la dénonciation du pauvre et du mal-pensant (qui pollue, qui est réac, égoïste, etc...) se limitait à une propagande auto-valorisatrice des bourgeois qui ne se privaient de rien de tout cela. Dorénavant, celui qui ne soutient pas l’oligarchie est qualifié d’extrême-droite et mérite de subir le sort que cette même extrême-droite (et quelques régimes communistes) infligeaient à leurs peuples : exclusion, enfermement, élimination. Remarque : j’ai du mal à qualifier d’extrême-gauche un régime centralisateur, autoritaire et policier, qui oeuvre non pas pour la suprématie d’un parti politique (comme le PC soviétique par exemple) mais dans l’intérêt exclusif - et financier - des multinationales et de leurs principaux actionnaires. Dans cette société fondée sur un idéal de violence généralisée, les personnes âgées et pauvres sont en pratique les premières victimes : mises à l’écart et privées de soins (liquidation des hôpitaux publiques et de la SECU).
@REMY Ronald Pour l’anecdote, vue sur BFMTV sans doute, un gars qui sortait de sa 3ème piqure et qui se disait prêt à revenir dès qu’on lui en proposerait une 4ème : mis en évidence comme un citoyen-héros par le journaliste (alors même que ce traitement à 4 piqures n’est pas plus homologué que la tisane de paquerettes !). Un vaccin est une médication chimique, il y a forcément un dosage/mois qui finit par être visiblement et rapidement toxique. Ce seuil de toxicité n’a pas été défini à ce que je sache (contrairement à n’importe quel médicament comme l’aspirine). Au milieu de ce délire, rien n’interdit pour le moment de piquer les gens — y compris les jeunes enfants — tous les mois, ou plus... jusqu’à ce que le réel nous rattrape.