Il y a un moment où il faut aborder frontalement la question. Les 68.000 décès supposés du Covid ne peuvent pas entrer dans les 669.000 décès de 2020, les 30.000 décès Covid du premier trimestre 2021 peuvent encore moins entrer dans les 182.000 décès de ce trimestre, et les 46.000 décès Covid du premier semestre 2021 peuvent encore, encore, moins entrer dans les 339.000 décès de ce semestre. Les chiffres décès Covid/décès totaux sont de moins en moins cohérents.
Les analyses de l’INSEE font la remarque que d’une année à la suivante la population augmente et vieillit, pourtant ils ne prennent jamais en compte cette réalité (admise par eux) dans les comparaisons qu’ils font de 2019 avec 2020 et 2021. Il semblerait qu’ils ne produisent jamais de taux de mortalité par âge, tout juste, quelquefois, un taux global qui ne prend en compte que le facteur augmentation de la population, lequel est nettement inférieur au facteur vieillissement. (le taux global n’est même jamais utilisé comme correction d’échelle afin de comparer les courbes de deux années différentes, or 90% des gens se contentent de regarder les courbes de décès total, c’est à dire la mortalité globale brute)
Quelle justification se trouvent-ils à l’éxagération massive des décès du Covid : pensent-ils qu’éxagérer une menace, et donc mentir, peut se faire au nom de l’intérêt général, afin d’obtenir une meilleure obéissance face aux injonctions sanitaires ? Mais ce faisant ils trahissent leur mission qui est de faire des analyses pertinentes vis à vis de la réalité, et ils entrent dans un jeu de manipulation du public qui n’est pas de leur ressort.
A noter que l’INSEE semble se tenir prudemment à distance du décompte des décès Covid. Ils se ménagent donc une porte de sortie. (ourworldindata.org qui donne ces décès s’appuie essentiellement sur des média et universités anglo-américaines d’après leur page de garde, par contre la recherche ’INSEE décès covid’ ne donne aucun résultat pertinent)
@BA La règle de base de ce genre de virus est qu’il doit évoluer vers plus de transmissibilité (c’est dans l’intérêt du virus) et moins de létalité (rendre très malade ou tuer son hôte est contraire à l’intérêt d’un virus ou d’un parasite). Ce processus peut prendre un peu de temps, mais ce faisant les vaccins deviendront de moins en moins efficaces et de moins en moins nécessaires. Les courbes de contamination et décès devaient se dé-corréler, autrement dit la létalité diminuer. On pourra toujours attribuer ce phénomène naturel au miracle des vaccins pour ne pas mettre en péril les intérêts qui vont avec, et permettre de les écouler jusqu’à la dernière dose produite. Ceci dit, vacciner ceux qui n’en ont pas besoin augmente la pression sur le virus pour être plus transmissible (et échapper au vaccin) mais pas la pression pour être moins létal (pression qui aurait lieu si on laissait les malades asymptômatiques/faiblement symptômatiques se promener et que l’on isolait ceux ayant des symptômes sérieux : l’isolation indiscriminée basée sur un test PCR et non sur la gravité des symptômes ne permet pas cela, donc il ne reste que le temps pour faire ce travail).
@perlseb Pour éviter les biais d’analyse, j’ai lu (je ne sais plus si c’est dans cet article ou ailleurs) qu’après un traitement ou vaccin on préférait dorénavant évaluer ses risques en mesurant l’excès de symptômes ou décès *tous types/causes confondus*, entre une population traitée et une population de même composition non-traitée. (Ensuite il y a la durée d’observation : pour le Kreutzfel-Jacob de l’hormone de croissance la durée était de l’ordre de 20 ans)
D’après l’auteur :
On déplore toujours qu’il n’ait pas été réalisé d’étude de décès toutes
causes à la suite des injections anti Covid-19. Les seules études
disponibles concernent soit uniquement les décès marqués comme « Covid-19 » (dont certaines comportent de nombreux biais méthodologiques), ou des études concernant uniquement certains aspects des effets secondaires avec des suivis limités.
Je ne considère pas que des gens manipulés par la propagande H24 soient
des abrutis. Ce sont des victimes de la manipulation de masse.
Je ne sais pas si la propagande Covid est efficace sur le long terme (elle a été efficace pendant un an pour propager la terreur), mais en tout cas elle a la plus massive depuis les sinistres dictatures dont on se souvient. Cela a représenté des centaines de milliers de spots de pub, les 3/4 du temps d’information TV, des affiches à tous les coins de rues, un concert permanent de sirènes de policiers et de pompiers pendant l’hiver 2020-2021 (dix fois plus que d’habitude, donc sans rapport avec la mortalité réelle), et encore cet été des gendarmes et des hélicoptères sur et au-dessus des plages pour effrayer la population. Je pense que beaucoup de gens ont fini par comprendre que l’on essayait de les manipuler par la peur.
En général je ne me range pas aux prévisions les plus noires, mais depuis deux ans le pire de ce qui pouvait être fait a été systématiquement accompli par nos dirigeants. La seule limite qu’ils ont trouvé a été la résistance de la population : les non-vaccinés, les vaccinés de force, les vaccinés volontaires ou même désireux de l’être mais qui n’acceptent pas la dictature (au prétexte) ’sanitaire’ qui vient avec.
Ce qui est à craindre est qu’un régime tyrannique ne trouve en général que la fuite en avant comme moyen de survivre. Cela conduit à la guerre civile, ou à la guerre tout court (qui dans ce cas risque d’être vraiment la der des der).