Le patrimoine génétique des arbres est différent d’une branche à l’autre. Arco Giant, un Sequoia Sempervirens, ne fait sûrement pas exception, en particulier à cause de son grand âge.
Merci pour votre explication. Cela rejoint d’autres choses que j’ai pu lire. Autant je comprends les trois âges d’Auguste Comte, autant j’ai du mal avec ces degrés de connaissance de Spinoza. En effet, je ne vois pas ce qui différencie qualitativement ces trois degrés de connaissance. Dans ce que vous écrivez, est-ce que dans le deuxième degré, il y a l’idée de « relativité » (observation des choses en les comparant les unes aux autres), alors que dans le troisième degré, il y a l’idée d’« absolu » (compréhension d’une chose sans comparaison à d’autres choses connues) ?
En tout cas, voilà ce qu’écrit l’« atlas de la philosophie », et l’on n’y retrouve pas ce que je viens d’écrire (différence relatif/absolu), mais l’« idée de Dieu » :
<<< Spinoza distingue trois types de connaissance : * l’opinion ou l’imagination qui provient d’affections et peut produire des notions générales confuses et désordonnées. * la raison, dans laquelle on opère déductivement avec des notions communes. * la science intuitive, qui connaît sub specie aeternitatis, c’est-à-dire à partir de l’idée de Dieu. Seul le premier genre de connaissance peut être source d’erreur. >>>
Personnellement, je ne sais pas ce qu’est « l’idée de Dieu ».
Donc personnellement, je préfère me référer aux trois âges d’Auguste Comte, c’est beaucoup plus concret...
Merci pour votre article.J’ai lu un peu Spinoza, et je trouve que la phrase suivante n’est pas forcément bien choisie : l’homme doit refuser les passions
En effet, si je ne me trompe pas, Spinoza dit qu’à un instant donné, on ne peut pas résister aux affects dus à des éléments extérieurs à nous-mêmes. C’est la causalité. Donc il ne sert à rien de les « refuser ». Une chose qu’on peut faire pour guérir est de chercher un affect contraire de même nature (évidemment, cela fonctionne).
Ce qui ne veut pas dire qu’effectivement, on ne puisse prévenir de nouvelles occurrences de cet affect, par la connaissance du monde. Cela va dans le sens de votre article.
Au passage, je n’ai jamais réussi à comprendre ce qu’est le stade ultime de la joie de Spinoza, ce que les traducteurs appellent « science intuitive » ou « connaissance intuitive »...
Internet a permis au contraire de renforcer le scepticisme, ce qui est bon, vu tous les mensonges passées, actuels, et futurs de nos dirigeants corrompus.
La science commence aussi par l’interrogation.
Remarquez bien que je dis tout ça sans nier qu’on ait pu aller sur la Lune. Mais il faut être convaincant, après les atrocités que les uns et les autres ont commis pendant la guerre froide (les USA expérimentant jusqu’à sur leur propre peuple --- et ces mecs là ne sont pas envoyés en tôle). Les photos de la sonde japonaise ont commencé à me convaincre. Mais je maintiens que quelque chose ne colle pas dans le comportement de Aldrin, Armstrong, Collins, à leur retour de mission. Regardez la vidéo et dites-moi s’ils ont l’air de revenir de la Lune. Quand je vois le comportement actuel des gens qui s’occupent des sondes spatiales, je ne vois pas d’anomalie (ils crient leur victoire, trinquent, sourient, etc.). Là, on a des astronautes qui cherchent leurs mots en tirant la gueule. Pour moi la seule explication conventionnelle pour expliquer ça est : la fatigue due aux radiations.
Mais cela ne prouve pas qu’ils n’y soient pas allés.
Maintenant si on regarde la conférence de Aldrin, Armstrong, Collins,
indépendamment de toutes les autres choses relevées ici et là (plus ou
moins pertinentes), quelque chose ne colle pas :
Ils ne sont pas dans leur assiette. Soit c’est la très grande
fatigue due aux radiations (possible), soit c’est autre chose (deux
possibilités pour moi : soit ils ont vu une présence alien et on leur a
interdit d’en parler, soit ils n’ont pas posé le pied sur la Terre).
Donc trois possibilités. Je ne sais laquelle choisir. La plus simple est
la fatigue due aux radiations.
<<< On pourrait même imaginer qu’à une époque très lointaine, la gravité
terrestre aurait pu être bien moindre que celle d’aujourd’hui favorisant
du même coup le « gigantisme » de certaines espèces ?? >>>
Bien sûr, c’est mentionné dans le reportage ARTE, et c’est un des éléments « de nature complètement différente » dont je parlais dans mon précédent mail qui vont dans le sens de la justesse de la théorie de l’expansion. C’est comme pour les très probables visites extraterrestres : aucun élément n’est déterminant en lui-même, mais la somme (documents déclassifiés, témoignages de pilotes, témoignagnes de madame Michu, radars, etc.) est convaincante. Ainsi, on pourrait expliquer la taille de certains dinosaures soit-disant volant du fait de la densité de l’air ou/et taux d’oxygène plus élevés :
Mais bon, il y a aussi les plaques qu’on arrive à coller dans le pacifique sur une Terre plus petite, les failles sur Europe, les couches géologiques qui correspondent, etc. C’est multidisciplinaire. Même en restant sur le plan de la physique, on peut pousser le raisonnement assez loin. La théorie de l’accrétion est précisément proposée par Hurrell, qui est aussi intrigué par la taille des dinosaures :
En 1918, indépendamment de toute considération géologique, William Duncan MacMillan intuitait déjà des planètes qui prennent de la masse (article lisible par n’importe qui lisant l’anglais --- article qui ne fait que soumettre des hypothèses) :
Bien sûr tout cela n’est qu’hypothèse, il faut essayer de recoller les morceaux avec les théories actuelles qu’il faut alors connaître et qu’on ne peut pas rejeter d’un revers de manche.