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kasko

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Derniers commentaires



  • kasko 9 février 2011 20:05

    Non à l’augmentation des effectifs de la Justice !

    Je suis totalement opposé à toute augmentation des effectifs de la Justice. Le vrai problème peut se résumer en 2 points :

    - les ressources sont très mal réparties, trop sont affectées aux affaires mineures (conflits entre voisins, vols sans agression, différents propriétaires-locataires,...). Trop de magistrats sur ces affaires, pas assez sur les affaires graves.

    - trop de jeux de procédure, aussi bien sur les affaires mineures que graves. Ces subtilités de procédure sont le délice des spécialistes mais s’opposent souvent à l’esprit de la loi et au bon sens. D’où une incompréhension du public, un grave discrédit de la justice et une charge énorme !
     
     Le jour où les magistrats, notamment leurs syndicats, feront des propositions pour mieux répartir les effectifs et simplifier leur fonctionnement en rendant leurs travaux moins lourds et, donc, leurs arrêtés plus lisibles, je soutiendrai leurs revendications. Tant qu’ils ne feront pas cela, je considère leur agitation comme un caprice de gamins égocentriques, suffisants, manipulateurs et irresponsables ! 

    Un justiciable responsable.



  • kasko 4 décembre 2010 12:20

    Encore une logique négative stupide !

    Supposons que Cantona réussisse son coup : les banques sont en difficultés, certaines même en situation de faillite, quelles sont les conséquences ? le plaisir d’avoir claqué les banquiers, de s’être « vengé » de leurs agissements irresponsables qui nous ont conduit à la crise, oui ça fait du bien. Mais limitation, voire arrêt, des crédits, mise en difficultés de milliers de particuliers peu fortunés et de petites entreprises, donc baisse du pouvoir d’achat des plus vulnérables, donc plus de chômeurs, plus de misère,.... Bravo Cantona et tous ceux qui lui emboitent la pas, notamment les journalistes qui trouvent un sujet facile d’articles racoleurs !

    Faut-il ne rien faire ? Est-on impuissant devant ces banquiers ? Non, mais il ne faut pas faire n’importe quoi. Il faut des actions qui tapent sur les profits des banques sans toucher l’économie réelle. Ne serait-il pas plus judicieux de refuser les cartes de crédit revolving à taux prohibitifs ? d’exiger la rémunération des comptes courant des particuliers ? d’exiger qu’un établissement financier qui accorde un crédit à une personne manifestement insolvable assume seul le risque de non remboursement total du crédit ? Mais tout cela est plus compliqué, moins spectaculaire, moins médiatique. L« important ce n’est pas la pertinence des actions, c’est le ’ » bruit".

    Kasko



  • kasko 2 décembre 2010 16:45

    Bravo pour cet article.

    Oui Mélenchon se complait dans la facilité, facilité de critiquer tout et tout le monde, facilité de jouer au rebelle, facilité de s’apitoyer sur tous les malheurs du monde, facilité d’exploiter la tendance des Français à rejeter toute proposition dès qu’elle comporte un aspect négatif, facilité de faire des propositions totalement irréalistes (à part une ou deux exceptions), facilité de faire croire à des Français, pour une grande partie nuls en économie, que 60 millions de Français peuvent faire changer 6 milliards d’hommes et de femmes, facilité de jouer les Zorros sur les plateaux télé, facilité d’amuser le public par des plaisanteries de gamin,....

    Ce n’est certainement pas avec des gens comme Mélenchon que la France va avancer et qu’elle va améliorer le sort des malheureux de notre pays.

    Kasko.



  • kasko 7 novembre 2010 00:20

    Article stupide

    Les chiffres absolus n’ont pas grande importance. La vraie question est de savoir quel candidat a le plus de voix. Si on attend d’avoir un candidat recueillant 50 % des voix de tous les électeurs inscrits, on n’arriverait jamais à élire un Président ! Surtout en France.
    Du coté des « opposants », le total de leurs votes aurait un sens si tous ces opposants se rassemblaient sur une seule et même autre candidature. Or c’est loin d’être le cas. Concrètement, mettre dans un même sac (qualifié de « majoritaire ») les votes pour le Front National et pour le Nouveau Parti Anticapitaliste n’apporte rien ! C’est avec des âneries pareilles que l’on s’épuise sur des chimères et que l’on fait croire à des gens qu’ils sont « majoritaires » alors que leur seul point de ralliement est d’être « contre » mais qu’ils sont incapables de bâtir un projet cohérent alternatif. Les leaders de l’opposition politique et syndicale feraient mieux de s’activer pour converger sur une solution alternative plutôt que de se répandre partout en arguant que le camp du NON est majoritaire. C’est le cas pour les élections présidentielles, mais aussi pour la réforme des retraites, pour l’Europe et la plupart des sujets difficiles.

    Un citoyen écoeuré par le niveau du débat politique et syndical en France



  • kasko 31 octobre 2010 15:33

    Débat très intéressant dans l’ensemble. Merci à vous, Olivier Bach, d’avoir déclenché une telle discussion.

    Je voudrais apporter ma petite contribution en faisant remarquer que les problèmes auxquels nous sommes confrontés sont de plus en plus complexes et que nous nous battons sur les solutions avant d’avoir complètement posé les problèmes. Notre éducation nous « formate » à trouver des solutions à des questions parfaitement posées, claires et, la plupart du temps, unidimensionnelles. Ceci jusqu’aux études dites « supérieures » : problème de physique, problème de géométrie, problème de droit constitutionnel, problème économique, problème financier, problème psychologique ou problème thérapeutique, mais pas de mélange ! Or beaucoup de nos problèmes comportent de nombreux volets, de nombreuses interactions et de nombreuses dimensions. Poser de tels problèmes est la condition première pour trouver la bonne solution et obtenir le minimum de consensus. Il faudrait commencer par se mettre d’accord sur la problématique avant de chercher à converger sur une solution. Or c’est l’inverse que nous faisons, aussi bien côté gouvernement et majorité qu’oppositions et syndicats. Je pense que c’est la principale raison à notre incapacité à faire des réformes en France sans dégénérer dans des conflits stériles.

    Si nous posions sereinement et cmplètement les problèmes comme celui des retraites ou celui de la couverture sociale, nous prendrions conscience que ces questions comportent des aspects moraux, sociaux, psychologiques, économiques, financiers, nationaux, internationaux, inter-générationnels, écologiques,... et qu’il s’agit de trouver une solution permettant de répondre au mieux à toutes ces exigences. Ceci ferait comprendre à plus de personnes qu’il n’y a pas de solution parfaite et que l’attitude consistant à tout reporter sur les autres (les riches, les entreprises, les banquiers, les fonctionnaires, l’Europe, les étrangers, les vieux, les jeunes,...) est stupide - même si une partie de la solution peut provenir de certaines de ces sources. Ce n’est pas très agréable et c’est difficile à admettre mais c’est la seule voie pérenne. C’est cela un comportement d’adulte responsable.

    Malheureusement pour nous, les dirigeants politiques et syndicaux de tout bord, les intellectuels et les journalistes sont, pour leur grande majorité, loin d’une telle démarche. Ils préfèrent l’affrontement sur les solutions car plus violent, plus spectaculaire, donc plus racoleur !

    A quand une pédagogie sur la problématique ? des émissions de télé ou de radio dans lesquelles on ne parlerait que de problématique, en s’interdisant d’avancer des solutions ?
    Cela apaiserait le débat et conduirait à de meilleures solutions. Mais je rêve...

    Kasko.    

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