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kasko

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  • kasko 2 octobre 2007 23:03

    Et le chômeur ?

    L’article décrit une réaction de rejet classique dans toutes les formes de fusion ou de rapprochement : chacun se recroqueville sur lui-même, en mettant en avant ses différences et ses spécificités pour bien occulter les points communs et les opportunités de synergie. Je n’ai pas été visiter une maison de l’emploi mais j’imagine aisément ce que l’auteur décrit. Pour réussir une telle opération, il y a 2 principes de base à respecter :

    1 - Fédérer toutes les équipes autour d’un seul objectif commun : LE CHOMEUR. Tout doit être fait pour lui faciliter la vie, l’aider à retrouver un travail, à garder le moral, à conserver sa dignité, à ne pas se sentir seul et exclu. Je suis sidéré de constater dans tous les articles et reportages que je vois sur le sujet d’entendre si peu parler du chômeur. A titre d’exemple, faisant partie d’une association de bénévoles, je suis frappé et attristé de voir que l’on n’arrête pas de faire raconter, répéter, écrire sur un formulaire et puis sur un autre, la carrière et les malheurs de ces gens, car chaque structure, chaque association (et elles sont nombreuses !!) a sa procédure, son questionnaire, son formulaire,...Personne ne se met à la place du pauvre malheureux qui, en plus de bien d’autres difficultés, doit affronter ce maquis de structures et de formalités. Personne ne propose d’échanger les informations entre structures, de faire converger les questionnaires et formulaires.

    2- Il faut UN patron, ayant autorité sur toutes ces structures, présent physiquement sur les lieux et évalué, en premier lieu, par les chômeurs.

    Sans application de ces deux principes, c’est la brillante technocratie française qui se gargarise de belles intentions et de raisonnements soi-disant savants et subtils, mais qui se ridiculise par son inefficacité et, in fine, son conservatisme.

    Kasko.



  • kasko 28 juin 2007 23:42

    Les défenseurs de la pub expliquent que les produits, les fabricants et les auteurs ont besoin de se faire connaitre du public, sinon ils ne sont pas achetés, louès, lus, visionnés,...C’est évident et il faut des moyens pour qu’un fabricant fasse connaitre son nouveau produit, un écrivain son dernier livre, un éditeur de logiciel son nouvel outil,... La vraie question est donc : jusqu’où considère-t-on que l’on est dans l’information et à partir d’où dans la pub au sens péjoratif du terme c’est-à-dire dans la manipulation, le matraquage, le recours aux instincts primaires. Cette limite est, et sera toujours, difficile à définir de manière indiscutable.

    Devant cet état de fait, ne pourrait-on pas commencer par écarter (en pénalisant ou en stigmatisant) quelques excès patents ? Par exemple le recours à de belles femmes ou des chanteurs célèbres pour des produits n’ayant rien à voir avec l’esthétique de la femme ou la musique. Que vient faire Laetitia Casta dans la promotion d’une automobile ? que vient faire Johnny Halliday dans la promotion des lunettes ? Je n’ai rien contre les « stars », elles ont leur mérite mais ceux qui veulent les admirer n’ont qu’à acheter leurs photos ou leurs disques. Concrètement je verrais bien quelques règles du type : pas de recours à des personnes qui n’ont aucun rapport avec le produit promu. Celles-ci serviraient de base à l’attribution du label « No Pub ». Bien sûr ces règles ne seraient pas complètes mais on pourrait les enrichir au fil du temps et elles limiteraient déjà les plus gros excès. Ce système laisserait notamment toute sa place à l’information sur le produit lui-même. Il aurait le mérite d’éviter de grever le cout des produits par des primes énormes à la notoriété de certaines personnes déjà fort bien payées par ailleurs : acteurs, actrices, sportifs, journalistes,...Il conduirait les fabricants à soit réduire les prix soit investir plus sur une information liée au produit. Autant de gagné pour le consommateur dans les deux cas.

    A creuser.



  • kasko 19 avril 2007 23:09

    Le Monde crédibilise Bayrou en appelant à ne pas voter pour lui. Ceci montre à quel point Bayrou est décalé par rapport aux milieux politico-médiatiques parisiens qui ne peuvent envisager de sortir du clivage droite-gauche dans lequel ils baignent depuis des décennies. Analyser les propositions uniquement pour savoir si elles sont de droite ou de gauche, ils savent faire, ils ne savent même ne faire que cela ! Mais analyser pour savoir si ça va marcher, si ça va donner les résultats escomptés, s’il n’y a pas des effets pervers, ils ne savent pas et ils s’en fichent, trop trivial ! Les Français sont plus perspicaces, plus concrets, plus subtils, ils veulent que l’on mette en place des choses qui marchent, qui donnent des résultats, des choses qui sont de droite, d’autres de gauche, d’autres de droite mâtinées de gauche, d’autres de gauche avec un infléchissement à droite, ils se moquent des étiquettes, des discussions de salon, des grands « classificateurs » de nos médias,...Attention, le bon sens revient, donc les intellos, les journalistes, les vieux politicards vont devoir se recycler.

    Voter Bayrou c’est la révolution du bon sens paysan contre l’intellectualisme parisien.

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