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knail

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Microscopiques, macroscopiques, les questions qui grattent là où ça démange m'intéressent au plus haut point. Je me réjouis de la découverte de la valeur des choses qui en principe n'en ont pas et m'agace des revendications de celles qui pensent en avoir. Un peu compliqué je recherche une simplicité surtout pas trop frontale.

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  • Premier article le 17/05/2016
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Derniers commentaires



  • knail knail 4 juin 2016 15:18

    @Montagnais
    Effectivement et vous avez bien raison de le rappeler, c’est primordial. Nos regards, nos paroles, nos rêves, nos désirs, fussent ils de concorde et de partage sont contaminés...Il y a bien de quoi faire appel à tous les Saints du Paradis, le combat est de taille. Ceci dit, quand je vois la diversité de ceux auxquels vous faites appel, je me dis que l’accord nécessaire n’est peut être pas impossible à trouver avant, pendant ou après l’Apocalypse dont parle Luc-Laurent-Salvador. L’Apocalypse n’est ce pas chaque jour, aujourd’hui, comme chaque jour la Résurrection ?



  • knail knail 4 juin 2016 14:31

    @tf1Groupie

    J’aime assez votre humour en admettant qu’il s’agisse d’humour.
    Quand je songe à l’inépuisable source de rêve, d’astuce, d’obstination qu’ont représenté durant une part de ma jeunesse l’élaboration dans les arbres de ’ma’ cabane et de la ’charrette’, constituée d’un vieux châssis de landau et d’une vielle boîte de compteur électrique en bois, j’avoue que je pleins un peu les enfants dont je vois dans les jardins des villas d’aujourd’hui alignées les cabanes rutilantes (véritable palais en comparaison de la mienne) du brico-marché et les petit tracteurs en plastique qu’on aurait bien peine à traîner des après midi entières sur les chemins des quartiers et campagnes. Et je n’aurais à l’époque échangé pour rien au monde le cerf-volant que mon père m’avait appris à réaliser avec deux bout de bois, un vieux sac, à l’époque en papier, de grande surface et des papillotes pour sa traîne.

    Il y a effectivement donc bien dans certains excès une destruction de socialisation, j’en suis absolument convaincu.



  • knail knail 3 juin 2016 15:00

    @escoe

    Ce que vous racontez est toujours bien réel. De la poésie française récitée comme cela spontanément, mais aussi les émissions de radio sur le cinéma français, la chanson française omniprésente (j’y révise mes classiques), et sur les chaînes culturelles les mélodies de Poulenc, Satie, Debussy, les opérettes d’Offenbach, etc. que l’on entend quasiment plus qu’en France. Je découvre même certaines oeuvres contemporaines : dernièrement un opéra néo baroque assez bien foutu.
    Et pour finir le plus touchant, la vielle dame au chapeau de paille, qui vous a observé parler, rentrant du marché, entourée de ses paniers de légumes, qui vous accroche la manche à votre sortie de l’autobus pour vous dire quelques mots gentils et vous caresser la joue. Elle vous relâche ensuite délicatement comme un oiseau auquel on rendrait la liberté. Les anecdotes de ce types sont légions.

    Dommage seulement que nous ne renvoyons pas plus souvent l’ascenseur.
    Tout ceci me fait cruellement penser à un amour donné sans retour. Cela peut occasionner de terribles brûlures, et je ne comprend donc que trop bien les sentiments de Kasia de trouver fort peu de compréhension et d’écoute autour d’elle à propos de son pays d’origine.

    Qu’on se le dise donc Français et francophones, il y a dans ce coin là d’Europe Centrale des amis qui vous attendent comme vous n’imaginez pas que cela soit possible.

    PS : J’ai rencontré des Ukrainiens et des Bielorusses, et de la part de ceux ci c’était le même type d’élan de sympathie pour la France et la langue française.



  • knail knail 3 juin 2016 14:31

    @simplesanstete
    Espérons que cela porte ses fruits rapidement sur le terrain. Je vois les villages traditionnels autours de chez moi massacrés à grande vitesse. Les jeunes, en dépits de la crise du logement, et du prix extrêmement bas d’une maison traditionnelle en bois (on en trouve à partir de 1500 euros sans le terrain dans mon coin !), refusent d’y vivre. Si la tendance ne se renverse pas rapidement, le témoignage que je laisse dans mon article ne sera bientôt plus celui que d’un passé englouti. Ce que le communisme n’avait pas réussi à détruire en un demi siècle (et dieu sait qu’il en a détruit lui aussi dans sa tentative d’éradiquer l’identité polonaise) le capitalisme est capable de l’abattre en quelques années. 
    Le seul vrai menuisier de mon coin selon moi, doué d’un talent hors norme, et disposant d’un atelier fantastique, d’outils à profusions, noie son désespoir dans l’alcool. Ses collègues ont compris eux : ils font au village du mobilier de type Ikea. Lui refuse de s’y résoudre , mais son atelier est à peu près déserté.

    Ca urge donc l’affirmation de souveraineté comme vous voyez !



  • knail knail 3 juin 2016 13:55

    @MILLA

    Vous êtes vraisemblablement un robot.
    Dans le cas contraire, puis je vous suggérer, utilement, de limiter vos interventions. Peut être leur contenu est il intéressant, mais ces assauts répétés découragent d’en prendre connaissance, et sont ignorés comme des parasites sur la ligne.

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