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  • loph loph 11 février 2013 00:43

    À la lectures des commentaires, il va bien falloir se faire à l’idée que ce système est à bout de souffle. Je ne suis pas un initié comme on dit, mais je me dis logiquement qu’après avoir amassé des profits records, avoir monté de toutes pièces des civilisations démesurées par leur taille démographique et leur influence désastreuse sur l’environnement, la sortie ou l’issue va ressembler à la fin de la guerre des tranchées...

    Seulement, ce sont des millions d’individus qui vont se retrouver livrés à eux même, habitués à un mode de vie qui ne nous prépare en rien à changer de comportement... Ce qui pourrait être une libération va tourner à quoi ? Un sursaut pour s’accrocher à des privilèges illégitimes ? Ou instaurer un mode de vie faisant fi d’idéologies qui toutes portent aux extrêmes : ultra libéralisme, totalitarisme, consumérisme...

    Bref, grâce à nos contributions menant aux grandes œuvres civilisatrices, on se retrouve dans une impasse. Je ne suis pas loin de penser que la cocotte minute va bientôt nous péter à la gueule, et que le tsunami que cela occasionnera aura plus d’effets que la crise boursière de 2008.

    Ce n’est plus aux armes citoyens, c’est à vos mouchoirs !



  • loph loph 8 février 2013 16:42

    Vraisemblablement... La réalité se dicte elle même, et elle est rarement en phase avec nos états d’âmes.

    Autant le prendre pour argent comptant, et se satisfaire de nos simples existences ou passages sur terre. Là au moins, nous y trouverons gain de cause.

    Considérer la vie, et la sienne en particulier comme seul confort, voilà bien un devoir plus cohérent que les liens (voir les chaînes) dont nous pare le rouleau compresseur dit civilisateur...

    Humainement vôtre,

    loph



  • loph loph 8 février 2013 16:28

    Merci Lionel,

    Ce qui serait étonnant, c’est que les « fâcheux » reviennent à des préoccupations tenant plus compte des réalités terrestres.

    J’entends par contre parler de ci de là de mouvances ou de dynamiques initiés par les milieux dits professionnels tendant à se remettre en phase avec le contexte naturel. Tant mieux.

    Mais j’assiste toujours à des prises de contrôles qui ne lassent pas de m’agacer (ressources énergétiques, appropriation territoriale, conglomérats supra national à la monsanto ou à la gazprom). J’en prends ombrage, mais essaye de tourner mon attention vers d’autres points clés.

    En revanche, ces patrons du cac 40, ou d’autres, les « fâcheux », font preuve de certitudes qui enferment tout le milieu dit civilisé dans une vision des choses aberrante. Pour qu’au final, on atteigne tous le même terme physique, que cette emprise est vaine...il est vain d’attendre autre chose de la vie que cette issue finale.

    Et c’est là où votre commentaire tombe bien, il montre que tout n’est pas acquis à la cause défendue (voir imposée) par ce courant de pensée voyant tout à l’aune du profit qui peut en être retiré.

    En sus, la réalité (et toutes ses facettes) ne pourra elle pas être niée, et mieux vaut maintenant savoir s’en contenter que tomber dans des excès que l’humain a entretenu de tout temps, jusqu’à ce que les réalités le rattrapent... et continuent leur mouvement bien indépendamment de sa volonté !

    Oui, cette vie là vaut la peine d’être vécue...



  • loph loph 7 février 2013 12:07

    Hélas Alberto, on accorde plus d’importance à des trucs accessoires comme le pognon qu’à un rapport aux choses réelles que sont par exemple la subsistance par des moyens purement naturels, mesurer son influence sur soi même plutôt que d’un point de vue social, et cætera.

    Ces commissaires, et bien d’autres de cet acabit, se sont largement détournés des questions purement vitales pour ne plus se préoccuper que d’accumulation d’influence et de pérennité d’un système dit civilisateur, ou progressiste, ou capitaliste ou collectif selon le point de vue qu’on en a. Mais jamais ne le remettons-nous en question. Trop préoccupés que nous sommes de nous même, on s’enferme dans nos propres impasses...

    Il n’empêche, ma réalité ne fait qu’un temps, et là dedans, mon capital est moi même, loin des considérations monétaires et sociales prenant le pas sur pas mal de choses !

    Bien à vous Alberto, la vie mérite d’être vécue même si elle est avilie par notre propension à la saloper...



  • loph loph 6 février 2013 23:59

    Bien. À la lecture de cet article très fouillé me semble-t-il, j’en conclu qu’il reste le choix entre les diktats naturels, et l’émergence d’une classe opérante qu’on peut assimiler à un gouvernement totalitaire.

    Ça ne m’étonne guère, puisque nous poursuivons en tant que collectivité des idéaux qui n’ont pas grand chose à voir avec le réalisme. À mes yeux, investir dans le développement d’un type d’organisation supplantant au fur et à mesure les équilibres initiaux nécessaires à l’existence de la vie, ne pouvait conduire qu’à des excès, manifestes depuis belle lurette (amoco cadiz, tchernobyl, déforestation de masse...).

    Ce qu’annonce cet article, c’est que maintenant, il existe des gestionnaires dépassant les cadres nationaux, qui n’ayant plus de compte à rendre puisque les systèmes sont bien installés (tels des parasites sur un corps vivant) s’arrogent les rênes.

    En poussant un peu plus loin le raisonnement, vu l’automatisation industrielle, la mise en coupe de l’agroalimentaire par quelques acteurs comme unilever, ou les acteurs tel monsanto pour ne citer que celui là, l’activité peut très bien se passer de la majorité des actifs.

    Il ne resterait plus qu’à attendre que cette humanité débarrasse le plancher naturellement, pour mettre en coupe le reste selon un schéma directeur qui instrumentaliserait la surface du globe au profit de cette élite rentrant alors en possession Du pouvoir.

    Ce qui ne serait que la suite logique de l’accumulation à laquelle nous participons activement en œuvrant dans une certaine mesure pour notre bien être, mais surtout pour la pérennité de cette civilisation phagocytant le milieu terrestre et accessoirement ses équilibres vitaux.

    Prochain épisode : l’extinction de masse de la biosphère ? Car l’humain ne peut commander aux éléments et à leur imbrication les uns avec les autres...

    Ah que mon terme me paraît doux et accueillant, parfois. Quant au cycle naturel, il y a belle lurette que nous nous essuyons les pieds dessus, emportés que nous sommes par la course éternelle (ou peu s’en faut à notre échelle) du globe dans sa rotation sur lui même.

    Merci en tout cas à Les Bulles d’avoir fait ce point, maintenant je vais aller me mettre la chanson Champagne d’Higelin, et apprécier quelques bulles tant que c’est encore possible !

    Cordialement,

    loph

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