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  • loph loph 23 janvier 2013 17:18

    @ joletaxi


    Je vous cite : « dont l’issue sera une déglingue économique et un appauvrissement général ». Celui dont vous parlez vaut mieux qu’une déglingue environnementale et un appauvrissement général du tissu vital à mon sens...

    Mais je respecte aussi votre positionnement car que sommes-nous au sein du milieu ambiant ? Juste des artisans d’un système allant en s’accroissant, mais qui ne pourra indéfiniment se perpétuer. Comment le pourrait-il en s’appuyant sur un environnement de plus en plus « entaché » par notre appropriation, ou soumis par nos civilisations envahissantes et sujettes aux aléas ? Tous les commentaires me le confirme : on lutte à l’échelle de nos civilisations, mais celles-ci ne sont que fétu de paille dans le mouvement général.
    Hélas n’entrevoyons-nous que très peu combien sont vaines nos gesticulations, prises de positions idéologiques et autres organisations collectives. À peine sommes-nous nés que quelques décennies plus tard (au mieux) passons-nous le flambeau aux générations suivantes. Le système (ou les) n’y peut rien, il est lui aussi régi par les mêmes lois de complémentarité, d’équilibre et physiques qui agissent sur toute existence...

    Bref, autant trouver la concorde plutôt que de faire de sa vie une arme envers autrui et en premier, envers soi même...

    Je vous souhaite, comme à tout autre et à moi même, un cheminement équilibré (plutôt qu’heureux ou malheureux) au sein de l’Existence, dont la brièveté devrait plus nous faire réfléchir que nos sempiternelles escarmouches.

    Bien à vous joletaxi,

    loph

    P.S. : accessoirement, merci de donner des points de prises contribuant à la richesse des échanges


  • loph loph 23 janvier 2013 13:12

    Ah si ! Certains organismes s’alimentent de fonds, liquidités, rendements spéculatifs... Enfin de pognon en résumé !

    Mais on ne peut pas dire que ça sustente son homme...

    Vous voulez prendre des cours d’informatique ? Pareil ! 
    Et pour leur balancer ce qui alimente leur défiance vis-à-vis des citoyens qui ne rentrent pas dans leurs jeux ?

    À mon avis, on a tout à gagner de les laisser dans leur bulle. En se préoccupant d’eux, j’aurai plutôt tendance à croire qu’on passe à côté de choses plus essentielles. Vous ne pensez pas ?


  • loph loph 23 janvier 2013 11:27

    Bah, c’est pas grave ! Vous avez sûrement d’autres compétences toutes aussi utiles...


    C’est ça qui est bien dans une collectivité, c’est qu’on peut compter sur les richesses de chacun, à partir du moment où elles sont utilisées à bon escient.

    Et en tout état de cause, pas comme les rapaces, pour ne pas dire les charognards, profitent des déséquilibres qu’ils perpétuent avec leurs politiques de croissance.

    Vous dites : « Vivement que l’on manque de pain, là les choses changeront. ». J’abonde dans ce sens, que le retour au naturel ne se fasse pas au détriment des terriens lambda, mais bien au détriment des groupes causant des préjudices majeurs au sein du milieu ambiant, et dont apparemment goldman sachs est un « digne » représentant... Enfin, le pognon ne se mange pas, n’est-ce pas ?

    Bien à vous WeaPon-X, et prospérité à vous aussi...

    loph




  • loph loph 22 janvier 2013 14:49

    Hélas, trois fois hélas, bien qu’intelligentes, nos structures ne nous emmènent pas ailleurs qu’à ce que fixe le cadre réel... Les voilà les conséquences de nos civilisations, à avoir joué avec les réalités et les avoir pliées à nos quatre volontés, nous a amenés à des situations inextricables.


    Qu’allons-nous faire pour nous sortir de l’ornière dans laquelle nous ont plongé ces habitudes de vivre selon des idéaux bien peu en adéquation avec le milieu qui nous héberge ?

    On ne compose pas avec la réalité, dans une certaine mesure peut-on l’influencer. Mais de là à la considérer comme un vulgaire instrument de profit, il me paraît inévitable que cela occasionne des répercussions sur l’équilibre de nos civilisations...

    Allons-nous continuer longtemps de nous croire sorti de la cuisse de jupiter ? La course à la croissance vaut-elle le coup que nous sacrifiions l’environnement et tout ce qui le touche à nos appétits aussi vains qu’irresponsables à ce qu’il me semble ?

    Je préfère considérer ma longévité ou mon existence comme mon bien le plus digne d’être entretenu, plutôt que ces histoires de civilisations où quelques élus décident en leur âme et conscience ce qui est bon et ce qui ne l’est pas pour l’ensemble du règne humain.

    Quelle finalité à ces programmes ? Couler l’équilibre non seulement des individus à coup de productions industrielles ou d’habitudes sédentaires, mais aussi remettre en cause les équilibres des écosystèmes ? Quand je pense qu’on se croit au dessus du lot commun avec nos organes cérébraux !

    On a parlé de plagiat, mais qu’avons-nous fait d’autre que plagier d’abord la nature, pour enfin nous l’approprier comme un vil instrument assurant une rentabilité premièrement à une élite, et secundo à un système collectif (répartie assez inégalement à la surface du globe, il faut bien le reconnaître) ? Qu’il ne tienne plus qu’à un fil ne m’étonne guère, puisque nous avons toujours cru que la terre était un domaine illimité où nous pouvions faire ce que nous voulions, ce qui n’est plus le cas.

    La déconvenue s’annonce de taille pour nos systèmes, et je ne sais guère ce qu’il en sortira. Mais en tout état de cause, les générations à venir vont avoir du pain sur la planche pour remettre d’aplomb ce que nous avons si bien corrompu, si toutefois elles y parviennent ! Et pendant ce temps, on campe sur nos positions : aux US, c’est reparti pour le crédit, en Afrique, le bordel d’émanation humaine reprend ses droits, en Asie, la production d’instruments voués à la déchetterie ne cesse pas, et enfin les appétits financiers d’un partie de la population ne connaissent pas de fin, il suffit de regarder pour s’en rendre compte...

    Que l’avenir arrive ne fait aucun doute, par contre qu’amènera-t-il ? Une désillusion, un gouffre ou une prise de conscience ? À ma simple échelle, la suite de mon existence, et à terme, ma disparition que je souhaite, autant que faire se peut, naturelle...

    Le reste, en définitive, ça me dépasse et c’est très bien comme ça !


  • loph loph 22 janvier 2013 11:46

    @ Pierre Régnier


    Désolé, même si les rapports que nous entretenons les uns vis-à-vis des autres ont leur place dans la réalité, ils sont en revanche moins influents que par exemple les aléas terrestres.

    J’entends bien votre avis, mais les rapports qui nous lient, qu’ils soient violents, paisibles, fructueux ou autres ne sont que des facettes de la réalité, du moins est-ce ma manière de les considérer. 
    À mes yeux, autant leur accorder l’importance toute relative qu’ils méritent, surtout lorsqu’ils relèvent de quelque chose qui dénote la vanité humaine se croyant investi d’une mission d’ordre religieux, avantageant surtout un courant de pensée apparemment irréaliste, et qui de surcroît veut faire croire à autre chose que la fatalité des changements d’états qui nous font disparaître...

    Je les leur laisse ces conceptions purement spirituelles, et espère que jamais je n’aurai à les vivre, ou plutôt les subir, comme nos ancêtres voués au christianisme et autre inquisition l’ont vécus, ou encore comme ces religions contemporaines voulant soumettre toute population à leur croyance sous prétexte de salut. On voit où elles mènent, et mieux vaut à mon avis recourir au fatalisme qu’aux aspirations religieuses pour bien vivre la réalité.

    On peut aussi voir autre chose que de la violence dans les rapports nous unissant, c’est une question de prisme, de profondeur de champ, de point de vue. Ne vous êtes-vous jamais interrogé sur la multitude de liens existant au sein de la « simple » réalité, tous ne sont pas violents, et peut-être bien que c’est notre manière de voir les choses qui affecte une connotation aux situations qui nous environnent, et finalement les détermine...

    Ceci dit, entre pragmatisme, réalisme, fatalisme, le moins que l’on puisse dire c’est que nous sommes voués au cycle terrestre, et les choix qui sont les nôtres ne peuvent pas grand-chose face à la multitude d’évènements se produisant simultanément !

    Bien à vous Pierre Régnier

    loph
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