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  • loph loph 11 janvier 2013 16:08

    J’espère que mon terme arrivera naturellement avant que mon existence devienne réellement une charge se rajoutant à cet accroissement « civilisateur » que je considère contre nature.


    Effectivement, du moment où nous naissons, apparaît forcément son corollaire, nous disparaîtrons. J’ose juste espérer d’une, que ce ne soit pas dans un bain de sang comme sait si bien le concocter le genre humain (Afrique, Syrie... 1939-45, Yougoslavie, fusillade meurtrière aux États-Unis d’Amérique n’en sont que quelques exemples), de deux, que cela sera individuel et surtout naturel. Pour que le milieu ambiant n’en soit pas plus parasité par notre mainmise aveugle et dépourvu d’intelligence collective autant qu’écologique.

    Hélas, je doute que mon terme arrive sereinement, sensible comme je le suis au développement anarchique de « nos » civilisations, j’en conçois une profonde défiance. Tempérée certes par mes efforts à sortir un peu des sentiers battus que nous tracent nos modes de vies si dénaturés et inconséquents. Peut-être cela me précipitera-t-il plus rapidement à mon terme ? Qu’en sais-je ?

    Bien à vous eau-du-robinet


  • loph loph 11 janvier 2013 15:23

    Ils n’ont pas vu un seul animal sauvage de leur vie ?

    Alors qu’eux même sont des prédateurs ? smiley

    Plus sérieusement, c’est cet antagonisme entre membre d’une même espèce qui conduit à des déséquilibres nous impactant nous dans une certaine mesure, mais impactant surtout le milieu où nous vivons.

    Comme le disait Yves Paccalet : « l’humanité disparaîtra, bon débarras ».
    Mais selon mon sens des valeurs, ça n’a pas grande importance. Je me demande même si quoi que ce soit en a une, pris à l’aune des dimensions nous environnant de toute part.

    D’ailleurs, à part nous doués d’une certaine conscience durant le temps de nos courtes vies et donnant une valeur ou un sens à tout ce qui tombe sous nos yeux, qui pourrait dire si le soleil poursuit un but, si l’univers a une visée, bref si quoi que ce soit existe pour satisfaire un dessein ? Et à notre échelle, si les buts que nous poursuivons instinctivement en édifiant un monde dit civilisé ne sont pas complètement vains en définitive ?

    Qui échappera à sa disparition ? Voilà bien pourquoi je trouve qu’à force de se retrancher derrière d’insignifiantes querelles, des idéologies, des civilisations imparfaites, nous perdons la mesure du monde où nous vivons. Alors que lui ne nous a jamais pris en défaut, il est là, point barre. Et peu importe ce qui s’y passe, tout atteint le même terme... Heureusement ou malheureusement ? Ni l’un, ni l’autre !


  • loph loph 11 janvier 2013 12:01

    « Il nous manque l’intelligence collective ». Partant de là, et dans le cas où elle nous parviendrait, qu’en ferions-nous ? Ne serait-elle pas en contradiction avec notre caractère profondément individualiste ?


    Pour être en symbiose avec son milieu, ne vaut-il pas mieux le faire en solo ?
    Je pense parfois à ces ermites partis loin du capharnaüm collectif, qui ont choisi de se mettre en symbiose avec le milieu ambiant. Bien sûr, je n’en ai qu’un vague aperçu, mais cela me paraît assez difficile à réaliser dans le monde tel qu’il est devenu. Tant du point de vue géographique, que du point de vue de la collectivité à laquelle tout est sacrifié pour tenter d’améliorer le quotidien.

    Cela me paraît assez désirable, mais je me vois mal rompre toute attache en jetant aux orties tout un pan de mon existence. C’est la vie qui commande, et mes supposés élans à vouloir la plier à mes exigences ne pèsent pas lourd face à elle.

    Vouloir se comporter autrement que comme des sales mioches ne viendra à mon avis pas de cette conscience collective tant désirée par beaucoup, mais si peu concrétisée en ce monde voué au profit et autres rapports de force. C’est bien d’ailleurs la nature qui décide (passivement) de ces rapports.

    Je ne peux que me joindre à vos larmes, en attendant de casser ma pipe, ou en tentant de pondérer mon influence d’être civil au sein d’un système qui ne fait qu’imiter très imparfaitement ce que la nature génère d’elle même... 

    Bien à vous darknighteagle


  • loph loph 11 janvier 2013 10:08

    Inutile ! 


    La nature à elle seule pourvoit à toute chose. Après que nous ayons ou pas la capacité de nous comporter comme des arriérés ou des esprits lumineux ne change rien à l’affaire, notre disparition est juste une question de temps.

    Il faut bien que je m’y fasse, puisque je n’ai de toute façon pas le choix ! En outre le cannibalisme, et sa forme auto-mutilante, c’est pas trop mon style de « vie »... Je préfère que mon terme naturel survienne de lui même.

    Bien à vous Bug Cafard,

    loph


  • loph loph 10 janvier 2013 12:49

    Bonjour Irina,

    J’ai découvert vos propos qui ont éveillé un certain écho en moi, et vu votre photo présentant un charme certain, cela m’a entrainé à découvrir un peu plus votre page. Mais rassurez-vous, je ne viens pas vous draguer !

    Je suis par contre un peu comme vous en cherchant plus à me fier à mon bon sens, qu’à des thèmes récurrants guidant la politique et les hommes qui s’en servent pour parvenir à leur fin. C’est assez difficile selon moi, et pour moi, n’ayant jamais vraiment pris de décision suivie de conséquences lourdes à assumer, sauf concernant mes enfants.

    Par honnêteté, je vous révèlerais que je suis fonctionnaire subalterne, avec pour seule responsabilité le devoir d’accomplir ma mission. Nous sommes donc professionnellement assez éloigné... Pour autant, j’ai bien apprécié votre manière de réagir à la personne désignée sous le nom de JL dans l’article « le FMI s’est trompé ». Je ne verse effectivement pas dans le partisianisme, et le système que nous avons généré a parfois tendance à me rebuter. Je suis donc aussi assez loin des idées qui vous animent (« chaque jour je me bats pour faire gagner mon entreprise et la France »), préférant me satisfaire de ce que la simple nature nous offre, et nous retire en définitive dans le mouvement animant la réalité.

    Mais je tenais à vous faire part de ceci, car toute situation a besoin d’équilibre et d’acteurs éclairés sur leur influence vis-à-vis du milieu ambiant, ainsi que de rapports divers et variés, dont l’échange harmonieux et fructueux. Mon message se place dans ce contexte, et participe à mon implication qui je l’espère ne vous importunera pas.

    Bien à vous Irina,

    loph

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