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  • loph loph 22 janvier 2013 01:14

    Tiens, c’est marrant. Je cite ceci : "Et plus ils seront nombreux, plus ils feront la loi, leur connerie fait leur force et notre lâcheté quotidienne les fait sourire doucement..." En replaçant ça dans un autre contexte, ça me fait furieusement penser à... nous même !

    Plus nous sommes nombreux, plus on se sent fort, et plus on fait la loi, moins on soupçonne ce que ça apporte, ou plutôt détériore, au niveau du microcosme terrestre.

    Merci cadoudal d’avoir apporté vos lumières à mon obscur esprit ! Ah ah ah !

    Il n’empêche, la nature, grande pourvoyeuse en toute chose et que j’admire dans toute sa magnificence (même si elle me promet une fin certaine), suit son cours avec les lois qui sont les siennes, et égrène aussi sûrement que 2 et 2 font 4 le compte à rebours général.

    Qu’importe donc les mouvements migratoires... Par contre, nous, fixés comme des berniques à nos illusoires possessions, allons un jour bien déchanter, lorsqu’il faudra se résoudre à se rationner puisqu’il n’y aura plus suffisamment de pétrole, et peut-être même plus suffisamment d’eau potable à puiser naturellement... Et là, peut-être que nous aurons nous aussi à chercher un asile dans un pays où les territoires n’auront pas été soumis aux diktats de la croissance mercantile et autres joyeusetés chimiques.

    Au moins, la terre ne s’arrêtera pas de tourner elle...



  • loph loph 21 janvier 2013 12:03

    Irina,


    « en faisant fuir ceux qui sont créateurs d’emploi on arrangera rien au contraire ! »

    Si, on redonnera sa place perdue à la vie sauvage initiale, celle qui entre autre procède de la vitalité terrestre et l’alimente, et à ce qu’il me semble, nous ne rendons pas forcément justice.

    Voir les déséquilibres découlant de nos « œuvres »...

    Ceci dit, un système peut être équilibré, mais ce que j’ai sous les yeux ne me paraît pas très harmonieux... Et même ennemi d’une certaine mécanique vitale. Je me trompe ?

    À mon sens, les idéologies quelles qu’elles soient ne remplacent pas les réalités factuelles... D’ailleurs, comme tout système, elles ne font qu’un temps. D’ici à ce qu’elles disparaissent, il n’y a qu’un pas que je me risque à franchir vu le contexte ambiant.

    Cordialement,

    loph


  • loph loph 21 janvier 2013 11:39

    Bonjour Irina Leroyer,


    Juste au passage, qu’on soit, ou pas, assisté chronique ne remet pas en cause le rôle que nous jouons durant un certain laps de temps, avec ses capacités propres et dont quelques uns tirent de meilleurs avantages.

    Mais pour ma part, j’en ai pris mon parti : inutile de se faire d’illusion quant aux capacités des civilisations futures de contrer une réalité qui les dépasse. Traduction : la collectivité ne réglera pas tout, tout assisté ou pas qu’on soit !

    Et les nombreuses incohérences accompagnant la croissance de nos civilisations donneront plus de flottement (ou troubles ?) aux générations suivantes qui auront à leur charge les conséquences de nos trains de vies révolus, et leur propre subsistance à assumer. Difficile donc de dire ce qu’il vaut mieux choisir. L’assistanat ? Le volontarisme ? Un compromis entre les deux ? Le retour à un mode de vie organisé en clan qui n’atteindrai jamais les 7, 8 ou 9 milliards d’individus, générant forcément des inter-dépendances ? Et en fond, est-ce que le monde où nous vivons nous laissera latitude pour opérer ces choix ? Bien omniscient celui qui pourrait le dire, et d’ailleurs, je crois qu’un individu de ce genre va être dur à trouver !

    Pour finir, je rebondirai sur votre remarque « tout ça, ça le dépasse » en me disant qu’il y a bien d’autres choses qui nous dépassent, comme par exemple l’absence d’alternative quand on est au bout du rouleau ! Ce qui nous pend au nez en dépit de tous les systèmes pour lesquels nous œuvrons... chacun à notre mesure.

    Alors retraite, peut-être, mais disparition bien plus sûrement !

    Bien à vous Irina Leroyer

    loph


  • loph loph 18 janvier 2013 15:25

    J’en vois un beau de thérapeute, c’est le cours du temps !

    En plus, il a l’avantage d’être toujours présent lui...

    Si en revanche, vous évoquez des thérapeutes disons humains, je ne leur accorde qu’une confiance limitée. Qu’y peuvent-ils si le visage de la société a l’aspect que nous lui donnons ? À fortiori les équilibres naturels régulant l’existence ? Peuvent-ils mieux que le cour du temps et de la mécanique physique équilibrer le vital ? Pas à mon sens...

    Je me répète, mais je considère que nous ne sommes là que pour un temps donné. Bien que relativement conscient de moi même, ça ne me donne aucune légitimité à exercer une influence telle que nous le confère notre organisation collective à l’échelle du milieu où je vis. Il est contradictoire à mes yeux de s’arroger un pouvoir donné par nos structures et que nous endossons individuellement, avec les effets réels et complexes que cela implique : je le vois bien que notre mode de vie et nos instincts aboutissent à des répercussions toujours plus préoccupantes.

    Alors, à mon niveau, il me semble plus cohérent de laisser le monde suivre son cours, que de lui trouver des thérapeutes qui pervertiront son « bel » équilibre d’une manière ou d’une autre ! Et accessoirement, voudront en profiter comme tout bon être vivant le fait, seulement ils le feront avec le sentiment d’être dans leur bon droit, et génèreront encore d’autres déséquilibres, environnementaux, démographiques ou autres. Dès l’instant où il y a existence ou conscience, ça implique une incidence sur le milieu environnant. Alors laissons ces thérapeutes s’occuper d’eux, la nature ne s’en portera que mieux, et incidemment, nous aussi.

    Finalement, c’est de démesure que nous souffrons, tout comme l’environnement en pâtit. Ce qui crée bien évidemment des incidences.

    Bien à vous par soi même,

    loph


  • loph loph 18 janvier 2013 15:21

    Le problème, c’est que la merde arrive sur un monde que nous partageons par la force des choses.


    Votre question appelle un tas de réponses dont je ne suis pas sûr de savoir laquelle serait la plus indiquée...

    Là est la complexité de notre monde collectif, toute chose a sa valeur, et est complémentaire des autres. Même certaines choses nous paraissant néfastes sont nécessaires à l’existence, comme par exemple la disparition programmée que nous subissons... Mais je digresse. En toute honnêteté, les laisser dans leur mouise n’amènera pas nécessairement gain de cause.

    Un exemple, ceux qui veulent imposer la charia le font au détriment d’autres personnes, qui elles n’ont rien demandé. Faut-il les laisser dans cet état ? Faut-il donner à ces déséquilibrés, emportés par leur croyance, des moyens de leur démontrer que leur attitude ne leur donneront pas la vie éternelle à laquelle ils aspirent, ou encore d’autres choses qui me paraissent obscures ?

    Laisser la merde en l’état, alors qu’elle est le fruit de nos modes de vies collectifs est quand même difficilement acceptable. Pour autant quel individu a la légitimité à lui seul de résoudre des problèmes collectifs ? Hélas pas moi. Votre question est difficile à résoudre.

    Mais, pour ma part, mieux vaut chercher son équilibre propre que vouloir exercer sur autrui une influence créant plus de complications qu’elle n’en résout. La vie est déjà suffisamment riche d’évènements pour s’en satisfaire !

    Bien à vous parkway
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