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L.F.

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"Même voter pour la justice, ce n'est rien faire pour elle", Henry David Thoreau

Tableau de bord

  • Premier article le 07/12/2012
  • Modérateur depuis le 04/01/2013
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Derniers commentaires



  • L.F. L.F. 4 juillet 2013 22:07

    @ l’auteur


    1) «  Karl Marx, dans la postface de la deuxième édition allemande, du 24 janvier 1873, écrit : »
    Si vous pouviez juste me donner deux petites précisions : de quel ouvrage de Marx s’agit-il ? Marx part-il de lui à la troisième personne ou bien la post-face n’est-elle pas de lui ? (et dans ce cas de qui est-elle ?)

    2) «  La dualité du « Bien » et du « Mal » est donc une nécessité pour l’existence, elle exprime, à travers la lutte pour le Bien, la raison d’être des hommes. »
    A la place de la dichotomie Bien/Mal, qui est d’une finesse digne d’un film de Walt Disney, pourquoi ne pas préférer celle bon/mauvais ? On évite ainsi tous ces absolus ( le « Bien », le « Mal », la « Justice » ) déconnectés du réel pour se pencher sur des problèmes concrets. Ainsi, plutôt que de se demander si telle ou telle chose est conforme à un hypothétique « Bien » qui serait dégagé par la « raison pure » (c’est à dire une morale comme celle que nous propose Kant dans ses Fondements de la Métaphysique des Moeurs, dans la filiation platonicienne, idéaliste, chrétienne, etc), on pourrait plutôt se pencher sur ses conséquences et les juger à l’aune du but à atteindre : une vision pragmatique bien plus adaptée à la complexité du réel.

    3) Si je perce bien votre vocabulaire (tiré d’Heidegger si je ne me trompe ?), il y aurait une sorte « d’Instance supérieure » qui agirait sur les « étants » via les « contigences » afin de réorienter l’histoire dans le bon sens. 
    Pas la peine de passer par Hegel, Marx, un vocabulaire si technique et une si longue explication pour en arriver là, Saint-Augustin (ou n’importe quel théologien) suffisait : il y a une « Instance supérieure », autrement dit une « Divine Providence », « Dieu », qui veille à ce que l’Histoire se fasse comme il faut. Oui, pas besoin de se parer d’une si longue « démonstration » pour en arriver à une simple profession de foi.
    Juste une petite question : pourquoi donc cette « Instance suprême » a-t-elle permis des « contingences » qui ont mené à des empires coloniaux pour les détruire ensuite en utilisant d’autres « contingences », qui plus est par une guerre et une crise mondiales ? Serait-elle « amateure », cruelle, idiote ou tout simplement inexistante ?


  • L.F. L.F. 17 juin 2013 18:15

    Spartacus : pourquoi « de gauche » ? 



  • L.F. L.F. 13 juin 2013 11:39

    @ ffi


    Sur la famille, Proudhon était on ne peut plus réactionnaire et misogyne (avec par exemple une note de bas de page sidérante dans Qu’est-ce que la propriété ?)
    Et oui je connais le Cercle Proudhon ( groupe de réflexion pro-Vichy qui a récupéré Proudhon, ce qui était facile étant donné qu’il était antisémite ).
    Ces deux points, évidemment indéfendables, ne sont cependant pas du tout au centre de la pensée de Proudhon, qui s’est surtout intéressé à la condition économique des travailleurs ainsi qu’à la possibilité d’un nouvel ordre économique ( avec une sorte de communisme ) et politique ( avec l’anarchisme et le fédéralisme ).


  • L.F. L.F. 13 juin 2013 07:47

    «  L’auteur me semble avoir bien fait de ne pas chercher à entrer dans le détail des diverses doctrines socialistes. Étant donnée qu’il s’agit ici de construction intellectuelles utopiques, consistant à inventer un monde neuf ex-nihilo, il y a à peu près autant de doctrines que d’auteurs distincts.

     Pour ce qui est des confrontations frontales, ce sont des querelles de pouvoir plus que d’idées. »
    Sans vouloir être blessant ( car il est évident que nul ne peut avoir tout lu ), il m’apparaît assez évident que vous n’avez pas lu les auteurs dont nous parlons ici. Qu’est-ce que le propriété ? ou Du Principe Fédératif  de Proudhon sont par exemple des livres des plus pragmatiques (raté donc pour les « constructions intellectuelles utopiques »), et son refus absolu de la violence pour prendre le pouvoir me paraît bel et bien un motif de confrontation frontale avec par exemple un Lénine qui la glorifie.

    « (il était d’ailleurs contre l’indépendance Algérienne, ce que « certains » placeraient à l’extrême-droite) »
    Camus était pour une confédération entre deux Etats indépendants que seraient la France et l’Algérie. Il était pour l’égalité entre colons et indigènes en Algérie et a dénoncé dans sa longue série d’articles Misère en Kabylie les excès du colonialisme. Pas (du tout) une position d’extrême-droite.


  • L.F. L.F. 12 juin 2013 19:05

    @ Nicopol


    « Oui, vous avez raison, il y a des subtilités idéologiques à l’intérieur de ce qu’on appelle communément le »marxisme-communisme », mais dans le cadre de l’analyse globale que je propose, ce n’est pas utile de rentrer dans ces distinctions internes à la gauche révolutionnaire.« 
    => désolé de revenir là-dessus, mais ça me paraît important. Vous parlez dans votre article de »communisme« et vous le raccrochez immédiatement au marxisme : or encore une fois le marxisme n’est qu’une des nombreuses modalités du communisme/socialisme. De même pour le bolchevisme au sein du marxisme. Et il ne s’agissait pas de »subtilité idéologique« , mais d’une opposition frontale : par exemple Lénine a furieusement pourchassé les anarchistes, tandis que Camus, anarchiste, renvoyait dos à dos les »fascismes rouges et bruns".
    Aussi, dire que le rejet du libéralisme au nom de l’égalité mène de fait au totalitarisme et à la violence comme le montre le bolchevisme, c’est juste faux. Pas inexact ou imprécis, mais faux.

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