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Manu

Manu

37 ans, terrien.

Tableau de bord

  • Premier article le 16/08/2005
  • Modérateur depuis le 12/10/2005
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Ses articles classés par : ordre chronologique









Derniers commentaires



  • Manu Manu 16 août 2008 19:30

    Je pense qu’en lieu et place de tolérance, il vaut mieux placer le débat sur le respect. Respect de soi (entretenir et ménager son corps), respect des autres (ne fait pas subir à autrui ce que l’on ne souhaiterai pas devoir subir).

    La simple application des deux préceptes précédents rendrait notre société bien moins agressive.



  • Manu Manu 16 août 2008 19:13

    Comme toujours, je demanderai ceci à l’auteur : si, je cite "Sur un plan philosophique et moral (non, ne partez pas tout de suite, je parle de politique plus bas), je n’ai jamais compris au nom de quoi l’Etat devait décider à notre place si, en cas de maladie incurable, on pouvait mourir ou pas. Le choix de la mort étant par essence une question personnelle, en quoi cette super structure est elle concernée  ?", alors que doit faire un médecin face à une tentative de suicide ?

    La réponse est toujours la même : ça n’aurait rien à voir ? Ah bon reponds-je ! Car pourquoi seul le malade aurait droit de décider d’abréger sa vie ? J’invite le lecteur à réfléchir à l’accidenté de la route qui devient paraplégique : il est bien connu qu’il passera par une phase suicidaire. Pourquoi lutterait-on contre cette volonté ?

    Je suis profondément incroyant, mais l’euthanasie, me pose un problème de principe : comment la société décide-t-elle de qui peut légitimement se supprimer ?

    Je dirais aujourd’hui que la société, quoiqu’on en dise, se base sur l’utilité : un malade mourant est "inutile", alors qu’un paraplégique pourra toujours "rendre service".

    Si vous avez d’autres réponses, n’hésitez pas !



  • Manu Manu 7 juillet 2008 10:38

    J’avoue que plusieurs choses m’étonne. Il y a tout juste 10 ans, j’avais la joie de faire mon service militaire en tant qu’instructeur ; j’ai donc quelque connaissance sur le maniement du FAMAS.
    Ce qui me surprend le plus, c’est qu’un professionnel puisse se tromper à ce point sur les modalités d’utilisation de l’arme ! 10 ans après, je m’en souviens encore : il y existe 3 mode d’utilisation (en utilisant le sélecteur de tir) :

    • coup par coup ;
    • rafale 3 coups ;
    • rafale illimitée.
    Or, pour tirer en rafale avec des balles à blanc, il faut placer un « bouchon de tir à blanc » (communément appelé BTB) au bout du canon, sinon, l’arme ne se réarme pas automatiquement.
    Ce qui semble invraisemblable, c’est de s’être à la fois trompé de munition et d’intention : si celle-ci était de tirer à blanc en rafale, pourquoi ne pas avoir installé de BTB ?
    C’est vraiment surprenant !
    J’ajouterai qu’il est presque impossible de confondre balles « réelles » et balles « à blanc » : l’embout ainsi que le poids n’ont rien à voir.

    Je ne suis loin d’être un admirateur des armes, et les premiers tirs à balles « réelles » ont presque été un « traumatisme » ; d’ailleurs, durant les exercices, il y avait une tension palpable ( le directeur de tir, responsable de l’exercice, détenait durant tout l’exercice un pistolet chargé « au cas où »), et la minutie patente (contrôle des munitions avant le tir, comptage des étuis après, etc.).
    Par ailleurs, les munitions du FAMAS sont prévues pour être létales (en tout cas c’est ce qu’on appris) et pour l’avoir testé, l’arme est extraordinairement précise (en gros, n’importe qui - ce qui était notre cas du temps du service militaire - peut faire mouche à 300 m, une fois l’arme convenablement réglée). Tant mieux d’ailleurs, mais l’état des malheureuses victimes est surpenant (ou alors, on m’a menti...).
    J’espère que l’enquête élucidera toute ces zones d’ombres.

    Pour finir, il faut peut être ce genre de drame pour rappeler que l’armée, ce n’est pas juste pour rigoler, et les armes, c’est d’abord fait pour tuer (il faudrait aussi le rappeler à ceux qui s’extasient - parfois moi le premier - devant la « beauté » d’un avion de chasse).



  • Manu Manu 27 juin 2008 19:58

    Merci pour cet article : je partage tout à fait son point de vue.

    Il ne faut pas oublier que la position des dominants d’aujourd’hui est basé sur l’exploitation des masses, dont il faut maintenir la servilité.

    J’essaye de diffuser également l’importance de la différence entre l’éducation (qui doit préparer des citoyens, comme il est souligné dans l’article) et la formation, qui permet d’accéder à un métier.

    Ainsi, pour moi, il est normal que l’université n’assure pas un emploi en fin de cursus, car ce n’est pas sa vocation.

    Mais les entreprises n’ont visiblement pas envie d’assumer le coût de la formation. D’où pléthore de réformes de l’éducation nationale pour assurer l’employabilité.



  • Manu Manu 7 juin 2008 19:51

    Même si je ne partage pas toutes les affirmations de cet article, il y en a une que je soutiens et que j’essaye régulièrement de diffuser autour de moi. Je n’aime pas la notion de lutte contre le réchauffement climatique. S’il s’agissait d’un refroidissement, ne faudrait-il rien faire ?

    En fait, il me semble qu’il faut surtout lutter contre la pollution (ou tout au moins faire notre possible pour la minimiser, car n’oublions pas qu’il n’est pas possible de ne pas produire de déchets). Ça me semble bien plus pertinent !

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