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micnet

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Tableau de bord

  • Premier article le 30/08/2013
  • Modérateur depuis le 12/03/2014
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • micnet 30 août 2013 19:56

    @TOUSENSEMBLE


    C’est précisément pour ne plus avoir de « malades mentaux » que j’estime indispensable de repenser ce régime.


  • micnet 30 août 2013 19:54

    @lg


    Bonsoir et merci pour votre commentaire !

    Pour tout vous dire, je pense également que notre constitution de 1958 fondée par le général De Gaulle est tout à fait valable....pour des gens comme De Gaulle !
    Ce dernier, après les instabilités des différents gouvernements sous la 4è république, avait à coeur de renforcer les prérogatives du chef de l’état. Pour que celui-ci soit vraiment un ’chef’, non plus oint par Dieu comme sous l’ancien régime mais par le peuple !
    Nous vivons donc en quelque sorte sous une « monarchie républicaine ».
    La problème, c’est que ce régime a été pensé précisément pour des dirigeants incarnant une certaine grandeur et force est de constater que cet « esprit de grandeur » est mort en même temps que son fondateur. Des De Gaulle, il y en a un par siècle, malheureusement (et encore...)
    C’est la raison pour laquelle j’estime qu’il est nécessaire de repenser un régime qui permettrait d’une part de faire émerger les « meilleurs » et d’autre part de permettre à tout ’citoyen’ de bonne volonté de choisir parmi lesdits meilleurs.


  • micnet 20 août 2013 14:08

    @Eric Gueguen


    Tout à fait ! Cette nouvelle formulation me semble parfaitement adéquate ! 

    Et encore bravo pour cet article smiley


  • micnet 20 août 2013 11:31

    Bonjour à tous et tout d’abord, un grand bravo pour cet article de qualité. En préambule, j’espère que le talent de « philosophe politique » de notre ami Eric finira par être reconnu de ses congénères. Pour ma part et comme indiqué dans l’article, je me sens donc dépositaire de ce talent par procuration smiley)


    Première remarque de pure forme par rapport à la phrase suivante :

    « Comme nous le disions ailleurs (livre III, chapitre 1), le niveau atteint par l’homme empirique dans quelque domaine salutaire que ce soit rejaillit sur l’ensemble de l’humanité générique »

    ---> N’est-ce pas l’inverse ? J’ai l’impression que les mots ’empirique’ et ’générique’ ont été intervertis dans cette phrase (simple détail, chaque lecteur aura rectifié de lui-même mais c’est juste pour signaler)

    Concernant le fond, je partage entièrement le point de vue de cet article et remercie encore Eric d’avoir choisi le prisme (ou le marche-pied) du sport comme modèle à mettre en exergue vis-à-vis de la politique. Je trouve que le problème est très bien posé et que la question de fond est celle-ci (que Machiavel1983 pose également) : comment pourrait-on définir un régime politique qui permettrait que ce soit le ’nombre’ (donc le peuple) qui puisse tendre vers la qualité, dans la désignation de ses représentants, et non plus vers des critères de sélection de pure ’mode’.
    Pour ma part, et c’est un peu souligné dans cet article, j’estime que l’une des réponses se situe dans la remise en question de l’égalitarisme en politique (j’en reviens à l’un de mes grands ’dadas’). Cette notion d’égalitarisme n’existant pas plus dans le sport que dans la politique, le fait est que notre société moderne accepte parfaitement cette affirmation dans le premier cas et la rejette complètement dans le second. Par conséquent, je suis, là aussi, à peu près sur la même ligne qu’ Eric quant à la volonté de définir un régime politique ’mixte’ qui ferait place « à la fois à la plus grande ouverture horizontale et à la plus grande ouverture verticale ».
    Une sorte se synthèse qu’on appellerait ’démocratie de type aristocratique’ smiley
    Enfin, ma fibre patriotique n’est pas restée insensible à cette remarque :
    « à mi-chemin entre l’individu et l’humanité, il se trouve un lieu où puissent converger les entités tutrices, et pour l’exposer à la vue de tous, nous y planterons un drapeau ; la communion des affects est la plus belle preuve de l’évidence d’une nation. »
    ---> L’importance de la transcendance est effectivement fondamentale et je pense qu’elle pourrait servir de catalyseur à une agrégation de nos atomes isolés (les individus) pour un retour à la molécule originelle (la société)

    Voilà, je n’ai rien trouvé à me mettre sous la dent car je suis à peu près d’accord sur tout mais j’aurai peut-être plus à dire pour les prochains articles ?

    A vous lire
    micnet



  • micnet 2 novembre 2012 19:23

    Bonsoir Morpheus


    C’est moi qui vous remercie et sachez que ces échanges sont aussi une grande source d’enrichissement pour moi. (J’ai d’ailleurs pas mal de lectures à rattraper smiley)

    a) Je note avec satisfaction que vous ne rejetez donc pas le principe de sélection par rapport aux compétences attendues en matière de gestion de la Cité. Toute la problématique se pose sur le COMMENT de cette sélection. Il y aurait tout un article à faire là-dessus. Vous parlez de critères scientifiques or, qu’on le veuille ou non, il y a aussi beaucoup d’aspects subjectifs liés à la personnalité des gouvernants souhaités. Grand débat en perspective là aussi !

    b) Vous parlez de la problématique liée au pouvoir pour dénoncer le fait qu’il y a bel et bien une supériorité des gouvernants sur le peuple. Non puisqu’en démocratie, quelle qu’elle soit, c’est le ’peuple’ qui est souverain justement ! Donc les gouvernants n’ont un pouvoir QUE parce c’est le peuple dans sa majorité qui en a décidé ainsi. Pour ce qui nous concerne en France, notre cher président ’normal’ a bel et bien été élu démocratiquement mais tout le problème vient du fait qu’il est tellement ’normal’ et a donc tellement peu de pouvoir qu’il est incapable d’agir sur ceux qui ont REELLEMENT le pouvoir comme les ploutocrates mondialistes évoqués. C’est pour ça que dans ma vision idéalisée, je parlais ’d’alliance’ entre le Peuple et le dirigeant choisi par lui mais avec de REELS pouvoirs sur son territoire pour qu’il ait les coudées franches afin d’agir librement sur l’économie. Mais ce dirigeant aurait à rendre des comptes régulièrement au peuple et SEULEMENT au peuple via le référendum ou toute autre forme de processus démocratique. Pas à une quelconque association de type communautaire ou autres...

    c) Pas grand chose à ajouter sur ce que vous dites de l’intégrité. Il est clair que tout dirigeant se doit d’être intègre. Je réagissais juste au fait que vous sembliez considérez dans votre réponse précédente que le régime représentatif donnait l’impression au peuple de se sentir ’moins’ intègre que ses dirigeants.

    d) Sur Mai 68 vous dites «  Mais ’68 est à la société occidentale ce que la crise d’adolescence est à l’être humain »
    On ne saurait mieux dire smiley
    Là où nous divergeons, vous l’avez bien noté, c’est lorsque vous considérez que le modèle paternaliste est toujours d’actualité alors que j’estime qu’il est mort et enterré depuis plus de 40 ans. Et là où vous dénoncez l’aspect ’paternaliste’ de nos dirigeants, je dénonce tout au contraire leur impuissance flagrante (cf point b ci-dessus). Le pouvoir politique a été ’émasculé’.

    e) Concernant la rhétorique, j’ai l’impression que vous avez vous aussi une vision péjorative de cette notion et que vous y associez automatiquement un aspect ’roublard’ alors que ça doit être justement tout le contraire. Pour être franc avec vous, je pense que c’est justement la dévalorisation de la ’parole’ politique qui est aussi une cause du désintérêt des citoyens pour la chose publique. Vous opposez la rhétorique à l’importance de la maîtrise technique des sujets alors que justement l’un ne va pas sans l’autre ! Quelqu’un qui parle sans agir concrètement est un mauvais rhétoricien. Ou, comme c’est le cas pour 99.9% de nos politiciens, quelqu’un qui pratique la langue de bois dévalorise et détruit l’importance du logos qui prend tout son sens dès lors qu’il est concrétisé par des actes !

    f) En lisant votre description sur le rôle des banques, je trouve que vous décrivez très bien celui-ci. En fait, si je vous ai bien lu, vous dénoncez, ni plus ni moins, le principe du ’prêt à intérêt’ (ou l’usure) en lui-même. C’est tout un débat. Par contre, il est important d’avoir quand même à l’esprit que le remboursement des banques avec les intérêts ne prend effet que dans 5 ans, dans l’exemple de la voiture. Il faut aussi prendre en compte le facteur ’temps’ pour être complet et savoir si, dans ce principe, la banque est toujours gagnante.
    Concernant la réserve ’fractionnaire’ des banques, comme vous l’indiquez à juste titre, c’est effectivement un principe assez nébuleux et qui semble complètement aberrant...

    Bien, je m’ arrête là. Je vous remercie encore pour la qualité de ces échanges et vous souhaite un très bon week-end.

    Cordialement
    Micnet
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