Ex-officier de police, devenu professeur de Lettres Classiques, farouchement opposé à l'idéologie du totalitarisme mercantile.
En dépit de penchants iconoclastes, profondément attaché au principe républicain, et tout particulièrement à la laïcité.
Je suis exactement comme Big Mac. Je n’aime pas la guerre, et c’est même le bellicisme que je reproche à l’Islam. Mais si j’ai le choix entre l’Islam et ses lois et la loi de la guerre, ce sera la guerre. Je préfère mourir que vivre dans la superstition, le contrôle religieux, lmes lois calquées sur les croyances religieuses, le cri des muezzin, les femmes voilées, etc. et tout ça de force « même si ça ne nous plaît pas », et léguer ce monde à ma descendance. je ne crois pas au paradis ou à l’enfer post mortem, mais s’il y a un enfer sur terre, c’’st bien selon moi l’Islam.
Quelle logorrhée ! Et il finit par traiter Onfray de con ... Il est certain qu’Islam et philosophie ne peuvent pas faire bon ménage , puisque l’une des bases de la philosophie est de remettre tout en question - y compris le Bien aimé Mahomet et le Noble Coran, et que l’Islam ne remet nullement en doute Allah et son Mahomet, ni l’ange Gabriel ayant visité icelui, ni les miracles, et ne sait surtout pas historicisme les textes.
Heureusement que l’Islam n’a pas été inventé à l’époque de la philosophie grecque , les persécutions auraient été terribles, et l’humanité aurait encore eu devant elles de bons siècles à vivre dans la pensée magique
Nous avons en réalité un bel aveu , qui nous informe clairement de ce que nous pourrions subir si l’Islam avait du pouvoir chez nous : un projet universel , et même un projet de constitution universelle, le principe d’une constitution étant de s’imposer. Je ne diffame pas, je n’invente, relisez le texte de l’auteur. Bref ; le rêve de l’un étant cauchemar pour les autres, nous nous verrions imposer , tout éveillés, le cauchemar islamique. Quant à citer Lamartine et autres Hugo, il faudrait aussi voir la part de l’orientalisme ambiant au XIXème siècle dans la perception de l’Islam, aisniq eu les propos moins flatteru d’Hugo sur la question. Quant à Voltaire, il montrait manifestement à l’ennemi du moment ( le catholicisme) son ridicule en le narguant , lui présentant l’expansion et le domaine d’influence de l’Islam, mais il trouvait l’Islam aussi ridicule que les autres religions Je cite le Dictionnaire Philosophique , de mémoire : « une tribu de voleurs qui a réussi » « Un savant arabe qui a perdu tout son sens dès qu’il parle de Mahomet ».
et évidemment la pièce Zaïre ou Mahomet ou le fanatisme Si l’on commence à citer hors contexte et hors visée polémique, on peut dire ce qu’on veut . Je peux - et ne suis pas le seul j’espère- vous en sortir d’autres, de Voltaire, d’Hugo, bien moins flatteurs pour la religion de Mahomet.
Merci en tout cas à l’auteur de cette grotesque diatribe d’avoir montré à quel point nous sommes en devoir de résister à cette « universalité ».
Non, sans forcer une interprétation de l’auteur, je me permets de dire qu’il ne confond pas, mais compare semble-t-il implicitement le brevet des collèges avec feu le BEPC, qui comprenait en outre, sans contrôle continu, toutes les matières étudiées pedant le 1er cycle, et dont chacun peut trouver des annales... La comparaison se passe ensuite de tout commentaire.
Ayant eu l’honneur de corriger, c’est la première chose qui m’est venue à l’esprit en découvrant le sujet de rédaction . Un grand bond en arrière vers les années 60 . J’aurais mêm imaginé un sujet du genre : « Après cet incident la maman de Jojo plaide auprès de son mari pour obtenir l’autorisatiojn de détenir un chéquier. Imaginez le dialogue ».
Eh bien, il y a des jeunes qui reconnaissent l’autorité masculine, tou fout pas l’camp. Ils ont sans bronché joué le jeu et j’ai même eu certaines très bonnes copies (chose rarissime, ça faisait longtemps...) , si je tiens compte du respect de la consigne, de la qualité des dialogues, du bon français, chose suffisamment rare pour être relevée. Schéma récurrent : le paterfamilias arrive, épuisé, parce qu’il travaille encore et arrive tard sur le lieu de vacances , mais surmonte sa fatigue et trouve encore la force de faire comparaître tout ce petit monde, qui se justifie. Rassurez-vous, lectrices angoissées en pensant à la conclusion , je n’ai pas trouvé de copies où ça se finit par un châtiment, corporel ou autre, ni pour le fils taquin, ni pour la mère évaporée. C’est plutôt bon enfant, du genre « ego te absolvo ».
Ce qui est tout aussi intéressant , c’est de savoir que les « consignes d’harmonisation » arrivent au fur et à mesure ( en attendant la commission du même nom, qui va en remettre une dose), dans le sens d’une indulgence toujours plus grande, non pas dans l’intérêt des jeunes qui passent cette parodie d’examen, et à qui l’on ment, car les bons élèves n’en ont rien à faire et les mauvais s’illusionnent sur leur capacités, mais dans l’intérêt de ceux qui sapent l’école et peuvent dire : « vous voyez comme ça marche bien, regardez les bons chiffres ».