« Cette année on a vacciné de manière obligatoire (1) dès le 1er octobre tous nos canards métropolitains d’élevage, hors Corse, contre l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP). Car officiellement, c’est bon pour tous les intervenants de la filière. »
@alinea Tu m’en diras tant par mail si tu veux... en prenant ton temps, moi aussi je ne crois pas que cela ne pourrait changer les choses du moins dans l’immédiat... à moins que cela servirait d’élément déclencheur d’une prise de conscience dont le « système » semble vouloir s’ingénier à nous en priver en pensant à notre place, avec l’IA peut-être (?) L’une ou l’autre option de résultat, peu importe au fond, on sait que cela sera vert chou ou chou vert... mais si ça peut éjecter Macron, qui s’est discrédité tout seul avec sa dissolution que c’est pas DIX solutions, ce serait une victoire pour tout le monde je crois... il est temps que cet individu malfaisant, arrogant, pervers,... aille retrouver le caniveau pour lui apprendre à vivre....
@alinea Bonjour, le choix est entre deux sortes de fascisme, le premier en place depuis déjà quelques décennies, d’apparence soft, « corporatiste eugéniste originel », et l’autre putatif, encore fantasmatique sous les lueurs de vieilles lunes, n’ayant pour l’heure jamais existé sous la V ème république, sauf dans les discours, les médias, les peurs, chez certains esprits... Les explications de Jeanne traduction (7’34) https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/MacronLepen:b même si cette petite vidéo date du 16 avril 2022 elle n’a pas pris une ride vu que l’on nous présente à chaque élection la même recette électorale ripoublicaine, réchauffée, faire barraaaage à l’extrêêêême drouâââttteeee autre lien https://crowdbunker.com/v/xQ879n81Ze En 2002, les gens de gauche sont allés voter contre JM Le Pen avec une pince à linge sur le nez ce qui donna un score digne d’une république bananière, ici je pense que beaucoup d’électeurs de droite ne voteront jamais — quoi qu’il en coûte ! — pour le Nouveau Front Populaire, ils voteront blanc, ou peut-être RN (?). Donc pronostics impossibles... avec en plus un weekend de départ en vacances qui exclue mécaniquement un petit % de voix « Le 7 juillet, les blédards seront partis et ne voteront pas LFI » selon Darmanin Huffingtonpost.fr 05/07/2024
QUAND LA HAINE DU COMMUNISME ALIMENTAIT L’ANTISÉMITISME
En Ukraine, des pogroms dont l’Occident se lavait les mains par Jean-Jacques Marie, Le Monde Diplomatique, décembre 2019
Le 21 janvier 2019, à Kiev, le vice-premier ministre et le ministre de la culture ont inauguré, devant le n° 2-4 de la rue qui porte son nom, un bas-relief représentant Simon Petlioura, commandant en chef, en 1918-1920, des troupes nationalistes ukrainiennes. Considéré par les autorités comme un héros national, Petlioura, déjà honoré par une statue inaugurée en octobre 2017 à Vinnytsia, au sud-ouest de Kiev, porte pourtant la responsabilité de pogroms dans lesquels périrent des dizaines de milliers de Juifs.
Ces massacres ont eu lieu au cours de la guerre civile qui opposa principalement les bolcheviks aux armées « blanches » (contre-révolutionnaires) sur les terres de l’ancien empire tsariste. Aux yeux de ses ennemis, la révolution bolchevique était un complot juif ; par extension, derrière tout Juif se dissimulait un communiste. Au total, quelque 1 500 pogroms dévastèrent la Russie, la Biélorussie et surtout l’Ukraine (1), où ce stéréotype exprimait toute sa puissance dévastatrice, alors que la dislocation de l’empire russe avivait les aspirations à l’indépendance.
Ces affrontements débridèrent un antisémitisme séculaire. Au milieu des tirs croisés, les pogroms firent en Ukraine cent mille morts et autant de blessés. Ils saccagèrent les demeures d’un demi-million de personnes, transformées en mendiants et en vagabonds. La majorité d’entre eux ressemblèrent à celui qui, les 15 et 16 février 1919, ravagea la bourgade de Proskourov (aujourd’hui Khmelnytsky). Selon le responsable du département d’aide aux victimes des pogroms de la Croix-Rouge russe en Ukraine, les soldats d’une unité de l’armée nationaliste de Petlioura « forçaient les portes des maisons, sortaient leur sabre et commençaient à tuer tous les Juifs qui leur tombaient sous la main, sans distinction d’âge ou de sexe. Ils tuaient les vieillards, les hommes, les femmes et les enfants. (…) Ceux qui étaient dans les caves étaient tués à la grenade (2) ». La veille, rapporte le journaliste Albert Londres, leur chef avait menacé les habitants par voie d’affichage : « J’engage la population à cesser ses manifestations anarchiques. J’attire là-dessus l’attention des youpins (3). »