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Patrick Adam

Patrick Adam

55 ans - Résident dans l’ex Rio de Oro, aujourd’hui Sahara marocain. Chercheur autodidacte intéressé à l’histoire de l’Ouest saharien et du Maghreb. Spécialiste du raid de Michel Vieuchange, jeune Français mort en 1930 à son retour de Smara, cité interdite du désert, et dont les Carnets de route, préfacés par P. Claudel, ont connu leur heure de gloire avant de sombrer dans l’oubli. Auteur de différents articles sur le sujet et d’un ouvrage paru en février 2006, aux éditions L’Harmattan, intitulé : "De Smara à Smara".
 [décédé début décembre 2006]
 

Tableau de bord

  • Premier article le 07/02/2006
  • Modérateur depuis le 27/02/2006
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Derniers commentaires



  • Patrick Adam Patrick Adam 29 juillet 2006 20:38

    @ Cambronne qui a toujours le mot juste surtout sur les champs de bataille

    Merci d’avoir remis les pendules à l’heure du côté de Akad. J’avoue que parfois j’abandonne, tant ses propos me semblent dénués d’intérêt. Il mélange tout, l’Algérie, Al Qaida, le PJD marocain. Tout y passe n’importe comment. Et je n’ai pas envie de passer mon temps à le reprendre.

    Amicalement à toi, à Françoise qui intervient judicieusement, et à quelques autres, sans oublier Ka, bien sûr, qui s’est débinée aujourd’hui mais dont la présence flotte toujours au dessus de nos délires verbaux.

    Patrick Adam



  • Patrick Adam Patrick Adam 29 juillet 2006 19:27

    @ Akad-déroussel-a-trois-défauts : bouché, bouchonné, mal embouché

    Pour ce qui est des attentats qui ont frappé la France en 1995, s’ils ont cessé c’est que le gouvernement français a pu obtenir du gouvernement algérien des renseignements qui, jusqu’alors, ne lui avaient pas été communiqués. Pour quelle raison ? L’Algérie ne croyait sans doute pas devoir faire un quelconque cadeau à la France à l’époque. Mais j’imagine que Pasqua s’est déplacé avec des arguments de poids pour en arracher quelques-uns. Lesquels ? Mystère... Une chose est sûre, ils devaient valoir quelque chose.

    Vous ignores peut-être (ou vous faites semblant d’oublier) que les services de renseignements français et notamment Ch. Pasqua lui-même, ancien membre du SAC, connaissaient dans les moindres détails le parcours souvent des plus troubles et des plus sinueux de tous les dirigeants algériens. Vous ne pensez pas que la France avait des munitions en réserve pour en faire parler quelques-uns ? Et puis il ne faudrait pas passer par pertes et profits la position des USA, pas fâchés de voir la France payer cash sa politique arabe, pas plus que l’Angleterre soucieuse avant toute autre préoccupation de pouvoir continuer d’acheter tranquillement sa paix en multipliant les compromis avec les terroristes qui pullulaient chez elle et qui ourdissaient des attentats destinés aux voisins.

    A la suite de cette série d’attentats, la plupart des services de renseignements des pays occidentaux reconnaissent à la France un savoir faire qui, s’il ne sera jamais totalement efficace, est cité en exemple pour sa connaissance du terrain.

    Vous avez la complotite aiguë M. Akad. Mais si vous croyez pouvoir déchiffrer à vous seul le dessous des cartes de la terrible partie qui s’est jouée sur le sol français à ce moment-là, vous me semblez bien présomptueux. Ce n’est du reste pas la première fois que l’on peut déceler une telle tendance dans vos affirmations.

    Patrick Adam



  • Patrick Adam Patrick Adam 29 juillet 2006 17:13

    @ Akad-dy sans consigne parce que désespérément vide

    Je ne vous ai pas mal compris. Mon propos sur la religion n’avait pas de rapport avec votre intervention et s’adressait à « désolé - désolant » à qui j’ai répondu.

    Dons, après avoir tenté de mettre en doute mes références sans vraiment savoir où vous mettiez les pieds... voilà que vous avez battu en retraite et qu’il ne vous reste plus maintenant qu’à tenter de prendre le futur en otage en proclamant que la réalité vous donne ou va vous donner raison.

    Vous n’avez donc pas conscience de la vanité et de la vacuité d’un tel propos ? Vous cherchez à vous affirmer, et je trouve cette démarche plutôt sympathique. Mais elle nécessite un minimum de cohérence. Je me demande si vous n’êtes pas le « Citadelle » qui me tenait exactement ce genre de propos il y a quelques mois. A croire que les islamistes sont en train de fabriquer des tas de clones.

    Que l’intégrisme gagne du terrain ne signifie pas qu’il ait raison !!!!!!!!!!!!! Que vous vous en réjouissiez est une chose, que cela soit bon pour le futur de l’humanité en est une autre. Tant de monstruosités se sont répandues sur la terre, à la manière d’Attila, avant de se voir refluer et disparaître quand l’humanité s’est décidée de les combattre à la racine et pas simplement de tenter de les circonvenir.

    Aujourd’hui, l’Occident croit pouvoir contrôler les islamistes. Il se plante. C’est sûr. Les méthodes employées ne sont pas les bonnes, c’est le moins que l’on puisse dire. Ni en Irak, ni en palestine, ni en Egypte, ni en Turquie... En un mot nulle part.

    Mais il arrivera un moment où le combat va changer d’orientation. Soyez-en sûr. Et le retour de bâton risque d’être terrible.

    Moi, j’aimerais bien ne pas avoir à connaître le Big Clash de civilisations qui se profile à l’horizon si nous ne faisons rien pour le prévenir. Je préfère le combat des mots au combat du sang que vous magnifiez pour vous et vos amis, en vous gardant cependant bien d’aller les rejoindre pour participer à leurs exploits.

    Ah ! Les beaux combattants lointains... Plus ils sont loin et plus ils sont beaux... et mieux vous vous portez...

    Je ne peux m’empêcher encore une fois de citer in extenso une de vos vraies-fausses perles : « Quand à votre prétention de combattre l’intégrisme islamiste, je suis désolé de vous dire que votre fausse vision ne vous permettra pas d’aller dans ce sens, car j’imagine que pour vous, elle est floue même la différence entre Al Quaida et le Hezbollah par exemple. »

    Qu’est-ce qui vous fait dire que je ne sais pas faire de différence entre ces deux groupes de terrorismes. Croyez-vous que je sois à ce point stupide pour mettre tous les barbus dans le même sac ? Bon, vous avez écrit « j’imagine » mais soyez quand même un peu plus sérieux. Je n’ai pas souvenance d’avoir jamais parlé d’Al Quaïda dns ce débat. Alors, d’où vous vient l’impression que je ne peux que confondre cette organisation avec le Hezbollah ? Décidément, si toutes vos impressions (sans mêmes parler de vos certitudes) ont cette valeur, je pense que même auprès des vôtres, vous finirez par être la risée de tout le monde.

    Patrick Adam



  • Patrick Adam Patrick Adam 29 juillet 2006 15:19

    @ désolé désolant

    Remettons les pieds sur terre voulez-vous ?

    En premier lieu, si vous décelez une démarche religieuse dans mes propos, j’aimerais bien savoir où vous avez bien pu la dénicher. Je suis viscéralement agnostique, areligieux, déicide. Je m’intéresse à l’histoire des religions, du moins de certaines - car pour ce qui est du bouddhisme (religion ou philosophie, allez savoir), je n’ai jamais cherché à comprendre - mais je n’adhère au message d’aucune d’entre elles, même si comme tout un chacun je me dis « tu ne tueras pas » ou « tu ne voleras pas » mais ça ne va pas plus loin. Si je m’intéresse aux « textes fondateurs » des religions dites du Livre, mais pas seulement à elles car je suis tout aussi intéressé par leurs connotations avec la religion égyptienne, je le fais d’un point de vue historique et sociologique et non pas religieux. J’aime y déceler tout autant les points de divergences que ceux qui les rapprochent. J’aime les travaux des exégèses qui ont traqué le moindre ajout, la moindre manipulation.

    Si je n’ai pas d’engagement religieux, je n’en ai pas plus de politique. C’est sans doute pour des raisons d’égoïsme et de style de vie. Et je n’ai pas envie d’en parler.

    Quant à avoir une quelconque aversion pour un groupe d’individus quels qu’ils soient, si tel était mon cas, ce serait essentiellement pour les porteurs de flambeaux de la connerie humaine qui battent le pavé de plus en plus ouvertement.

    Je vous mets au défit de trouver une seule ligne dans tous mes propos qui démontre une quelconque aversion pour l’islam ou pour les musulmans. Des critiques oui. Pas plus que celles qu’on peut trouver dans « Tel Quel » ou « Le journal hebdomadaire », publications derrière lesquelles se réfugie M. Akadémiquementcorrect pour prêcher sa croissantade (excusez le néologisme un peu lourd mais le terme de croisade ne me paraît pas approprié dans ce cas).

    Vous croyez que je cherche à « pourfendre l’ignoble chez mes contemporains ». Rien que ça ? Vous n’avez donc pas compris que ce qui m’intéresse aujourd’hui c’est de combattre l’intégrisme vert (dit aussi fascisme vert) qui en train de nous envahir comme je l’ai vu envahir l’Algérie, puis le Maroc. Et c’est la même chose, paraît-il, en Egypte et dans la plupart des pays musulmans... Vous pensez qu’il est sage de laisser faire ? Moi pas. M’en reconnaissez-vous le droit ?

    Faudrait-il pour cela que je commence d’abord à balayer devant ma porte comme vous le suggérez ? Mais vous n’avez pas encore réalisé que ça fait des siècles maintenant qu’en Europe (et plus particulièrement en France car c’est une spécialité) nous ne faisons plus que cela. Balayer devant notre porte. Et pour quel résultat ? Oui nos sociétés vont mal. Mais de par le monde, il y en a tant qui vont plus mal encore. Le drame que nous allons vivre, c’est que, faute de pouvoir élever le niveau de vie et de culture de ces sociétés dirigées par des despotes d’un autre âge, elles n’auront bientôt d’autre solution que de rabaisser ceux qui leur portent ombrage (tant au plan économique que culturel) et de se réfugier dans une « grandeur passée ». Votre discours, j’ai le regret de vous le dire, ne peut que les conforter dans une telle démarche.

    Alors, excusez-moi si je n’ai pas envie d’intervenir sur les problèmes des baleines, du réchauffement climatique, des bouchons sur les routes, des droits d’auteurs sur Internet, du dopage dans le tour de France, des sourires enjôleurs de Ségo et des dents longues de Sarko (quoique quelques-uns de ces sujets m’intéressent et qui sait peut-être qu’un jour j’en aurais envie de m’en mêler). Permettez-moi seulement de tenter de profiter aujourd’hui de mince (mais solide) expérience pour mettre le doigt sur un problème qui semble devoir secouer pendant longtemps notre société. Je le fais avec mes moyens et mes références que je sais limités. On peut les juger faibles ou hors de propos. Je ne m’en formalise pas tant qu’on est en mesure d’apporter quelques arguments de poids ou de contrepoids. Par contre, si on doute de ma sincérité, je sors les crocs.

    Ce que je « pourfends », ce n’est pas l’ignoble sous quelque forme qu’il soit, comme vous le prétendez, mais le refus viscéral qu’ont certains groupes de populations de toujours rejeter les causes de leurs problèmes (et parfois même leurs problèmes eux-mêmes), sur les autres. Ce qu’on lit au long de ces débats le prouve amplement. Vous pensez que je me pose en témoin, il n’est est rien. Je suis un combattant. Vous-même, par certains des termes que vous avez employés semblez le reconnaître.

    En ce qui concerne la « purification » à laquelle vous faites allusion, je considère comme vous qu’elle ne peut être accomplie qu’au fond du creuset intime de chaque individu. Je ne me sens aucunement l’âme d’un Savonarole. Cependant, j’aime assez mettre le doigt là où ça fait mal. C’est d’ailleurs une méthode qu’au plan individuel je m’applique régulièrement à moi-même. Je n’ai donc pas la prétention d’œuvrer « à améliorer les souffrances qui sont nôtres » comme vous me le suggérez. Je laisse ça à d’autres mieux outillés que moi. Pour le moment, je ne me sens seulement capable de pouvoir lancer un cri d’alarme en m’efforçant d’étayer cet avertissement du mieux que je le peux. Ai-je raison ? Bien sûr, je me poserai toujours la question. Et alors... Est-ce que ça devrait m’empêcher d’avancer ? Il m’a toujours semblé qu’on ne pouvait soigner un mal qu’après l’avoir localisé. Certains maux paraissent aujourd’hui plus urgents à soigner que d’autres. J’imagine que nous n’avons pas tous la même appréciation sur un tel sujet. Quoi de plus naturel ? Argumentons... Argumentons...

    Je sais pour l’avoir vécu au quotidien, que chaque peuple vit avec ses règles de conduite. N’avons-nous le droit d’en parler que pour se pâmer devant leurs aspects folkloriques. Le folklore, à part « les vieux airs d’autrefois » des sardanes qui me faisaient sautiller sur la place de l’église, quelque part au pied du Canigou, ça me fait bien souvent ni chaud ni froid. Non que je dénigre le folklore des autres, mais parce que justement, comme le dîtes vous mêmes à propos de la purification, le folklore, ça doit passer par l’intérieur de soi, et quoi de mieux que l’enfance pour en faire une nécessité.

    Patrick Adam



  • Patrick Adam Patrick Adam 29 juillet 2006 13:53

    @ Akadémiquement ignare

    Relisez un peu vos classiques.

    1 - Quand l’islam est apparu en Arabie, la région n’était pas si arriérée que ça, notamment sur les rives la Mer Rouge où le commerce avec la Corne de l’Afrique et les Indes était des plus florissants. C’est notamment par cette voie que les Romains recevaient nombre des marchandises d’Orient qu’ils consommaient à tour de bras. Les Arabes qui étaient « arriérés » comme vous le dites, c’étaient les tribus de l’intérieur sur lesquelles Mahomet (sans pouvoir politique réel au début de son action) a dû s’appuyer contre les gens des villes (la Mecque et Médine) qui n’avaient aucune envie de voir leurs privilèges entamés. A cette dichotomie entre gens des villes et gens du désert s’ajoute celle des tribus elles-mêmes entre les « chameliers » caste supérieure et les « moutonniers » caste inférieure, qui formaient des groupes sociaux concurrents notamment sur les souks et aux pâturages. Cette distinction serait du reste intéressante à étudier d’un peu plus près pour savoir si la tradition du « sacrifice » du mouton dont nous parlions précédemment ne témoigne pas d’un désir de Mahomet de se mettre les moutonniers dans la poche quand il en a éprouvé le besoin. (à suivre)

    2 - Vous parlez de la Turquie. Et du parti islamiste au pouvoir dans ce pays. Quelle information originale donnez-vous de ses pompes et de ses œuvres ? Quel est son programme pour retenir sa population en terre d’Islam et qu’est-ce que le pousse à vouloir adhérer à l’Europe ?

    3 - Pour ce qui est du PJD marocain. Là aussi qu’elle information nouvelle nous faites vous partager ? Qu’il soit prêt à prendre le pouvoir en 2007 n’est pas bien nouveau. Et si vous avez besoin de lire « Tel quel« ou « le Journal hebdomadaire » pour l’apprendre, c’est que vous n’êtes pas bien au courant de ce qui se passe dans ce pays. Déjà aux dernières élections, ce »parti de Dieu" (Hezbollah local) aurait pu avoir la majorité et c’est un arrangement avec le gouvernement de l’époque qui lui a donné l’occasion de faire le gros dos jusqu’au une occasion qu’il jugerait meilleure.

    Quant à la référence aux deux publications que vous citez, là aussi, c’est à mourir de rire. Ces journaux COMBATTENT durement le PJD (surtout Tel Quel, plus que le Journal qui a d’autres chat à fouetter). Je les achète chaque semaine, et c’est pour les lire de la première à la dernière page, non pas pour caler une commode ou une table de chevet comme vous semblez le faire.

    4 - « Cacher le soleil avec le petit doigt. » Apprenez donc à ne pas parler à tout le monde comme à des enfants. Je sais que c’est une tradition fort répandue dans les pays où l’on enferme le savoir dans des castes. C’est ainsi que les islamistes s’adressent à leurs fidèles, j’ai déjà eu suffisamment l’occasion de donner des tas d’exemples à ce sujet.

    Précédemment je vous conseillais de vous aérer, maintenant il faudrait songer à grandir un peu, tout de même.

    5 - « L’Algérie honte internationale » et les algériens sont des saints ?

    - Personne n’a été arrêté ? Les prisons sont pleines.

    - Personne n’a été jugé ? Fallait-il donner une tribune aux fous de Dieu pour soulever le peuple dans les prétoires au nom d’Allah ?

    - Comment la communauté internationale n’est pas intervenue ? La croyez vous assez débile pour s’offrir une nouvelle guerre dans les Aurès ou la Mitidja et voir ses soldats alignés par terre « les couilles entre les dents » ?

    - Pourquoi pas de blessés ? Pensez vous que les militaires algériens (morts de peur et on les comprend) qui se faisaient égorger et émasculer au bord des routes avaient envie d’amener les terroristes à l’hôpital, même par charité islamiste ?

    - Où vivaient les islamistes ? Mais tout simplement là où l’armée française elle-même s’était cassée les dents. Allez donc faire un tour entre Sétif et Bejaia, dans les environs de Blida ou l’arrière pays de Cherchell pour comprendre. Allez aussi à Souk-Ahras, Ouenza ou Tébessa, près de la frontière tunisienne. Vous comprendrez peut-être et cesserez de proférer des imbécilités. Les Aurès, c’est pas malaussi, surtout du côté de Khenchela. Quant à la région de Laghouat, même au temps de Boumédiene, les gendarmes n’osaient pas trop s’en approcher.

    - Pourquoi la télé algérienne n’a pas montré les massacres ? Pensez-vous que la télé algérienne avait un quelconque intérêt à vendre le salot boulot des bouchers ? Je n’ai aucune sympathie pour le ou les gouvernements algériens qui se sont succédés dans ce pays depuis l’indépendance. J’en ai vu certains à l’œuvre et je sais comme le pays fonctionne. Quoiqu’il en soit, ils m’ont toujours paru avoir des tendances nettement plus sadiques que masochistes.

    Toute guerre M. Akad est un drame humain. Ne trouvez-vous pas ? Pourquoi celle d’Algérie plus qu’une autre ? Bizarre comme raisonnement. Ce qui caractérise celle d’Algérie c’est que c’est une guerre civile des plus sanglantes et des plus cruelles, animée par une poignée d’abrutis qui revenaient d’Afghanistan et qui n’avaient d’autre « formation » intellectuelle que celle que peut donner l’usage de la kalachnikov

    Comment pouvez-vous écrire des propos aussi nuls, aussi creux ? Ils ne sont même pas tendancieux, tant ils démontrent une absence totale de références.

    Vous n’avez donc pas le sens du ridicule ? A croire que vos certitudes préhistoriques vous enferment définitivement dans le monde onirique que prêchait le « Vieux de la Montagne », Hassan Ibn Saba, planqué derrière l’épaisseur des murs de sa forteresse d’Alamut et qui envoyait de jeunes drogués commettre des massacres au nom de Dieu. Ne sentez-vous pas M. Akad que votre rêve, comme le sien, c’est un rêve de sang ?

    Patrick Adam

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