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Philippe VERGNES

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Tableau de bord

  • Premier article le 27/04/2012
  • Modérateur depuis le 17/12/2012
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Philippe VERGNES 12 janvier 2013 21:10

    @ Gaspard Delanuit,

    Je n’ai jamais prétendu la tâche facile ni même simple. Je le précise d’ailleurs en introduction de cet article.

    Vos questions et inquiétudes sont légitimes. Je vous ai cependant donné un exemple précis sur la question du bouc émissaire en réponse à votre message où vous y faisiez référence (que vous avez posté le 9 janvier 18:01). Telle est la réalité actuelle !!!

    Le risque est très, très grand effectivement et c’est pour cela que dans notre société le chaos dont la victime se plaint est perçu comme un désordre à l’équilibre social et suscite les réactions qu’il suscite à l’énoncé de cette problématique.

    Vous dîtes : "Et à qui donner l’autorité de distinguer celui est est effectivement monstrueux de celui qui est victime d’un groupe d’accusateurs constitué en meute ? A quel inquisiteur confier la tâche de démasquer le malin sous les sourires et les larmes ?« 

    Encore une fois, je vais vous répondre que vos questions sont pertinentes et que malheureusement, en l’état actuel de notre société rares, très rares même, sont les personnes capables de comprendre les interactions en jeu dans ce genre de relation. Mais les connaissances existent, il suffit seulement de les enseigner ce qui se fait petit à petit actuellement. Toutefois, il y a des solutions et refuser de les voir en invoquant le principe de précaution que vous soulevez, c’est se rendre complice du phénomène de bouc émissaire qui est en court de nos jours.

    Je comprends vos craintes, mais l’aveuglement auquel elles nous exposent est en train de faire dériver notre société vers ce à quoi vous cherchez à la protéger.

    Je proposerais demain un autre article exposant les outils précis de reconnaissance du »malin« . Il est loin de faire un état exhaustif de toutes les possibilités dont nous disposons de nos jours. S’il passe la modération, vous pourrez peut-être vous rendre compte qu’une certaine »science avec conscience« a bien fait son boulot. Pourquoi n’était-ce pas cette science-là qui est prodiguée de nos jours ???

    Par ailleurs, je précise également que des solutions existent aussi pour les »disciples du malin« et même si c’est très compliqué pour eux, ils s’en sentiraient beaucoup mieux (ceux qui ont été identifiée et pris en charge de façon rigoureuse, ce qui n’est pas encore possible en France à l’heure actuelle, et se sont délivrés de leur propres »démons« témoignent tous de leur immense soulagement à s’en être »sortis".

    Mais bon, je me répète : c’est tout un programme !



  • Philippe VERGNES 12 janvier 2013 20:36

    @ emmanuel muller,

     smiley smiley smiley

    Message reçu cinq sur cinq. Aucune interférence dans la communication.

    Parfaitement d’accord pour les coups de stabylo, mais alors ce n’est plus un article qu’il faut écrire... d’où je crois la grande difficulté de parler « hors » clinique de cette théorie qui, comble de malheur, n’est même pas accessible à la plupart des professionnels eux-mêmes puisque certains font même parfois pire que les pires des commentateurs ici. smiley

    C’est surtout ça que je trouve grave, après, même si je parais insister, ce n’est que pour « tester » à quel point comment ce genre de texte peut être lu et mésinterpréter, d’autant plus que ce que l’on me reproche est objecté dans mes articles. Il suffit « simplement » (je crois que je vais toutefois « bannir » ce terme ici) de pourvoir les lire en contexte (cf. votre déclaration à laquelle j’adhère à 2000 % : « J’entends par là une recherche parmi les sens multiples plausible pour ré-indexer au fur et a mesure »).

    RACAMIER a exactement été abordé comme vous le décrivez. Par contre, pour photographier distinctement les différents puzzles... sur un dictionnaire entier... vous imaginez le boulot : c’est un bouquin qu’il faut écrie pas des articles. smiley !

    Vous dîtes : "C’est déjà ce que vous faites en faisant plusieurs articles transversaux d’ailleurs, mais c’est pas son puzzle a lui que ça réorganise ... enfin je crois, dites moi si je doit relire mieux".

    Je suis franchement MDR lorsque j’entends de tel propos : pas besoin d’expliquer. Tout est net clair et précis : vous n’avez pas à relire mieux ce qui m’apporte beaucoup de plaisir à pouvoir causer de tout ça, j’imagine que vous devez parfaitement comprendre. smiley !

    En matière de transversalité, je proposerais demain à la modération d’Agoravox, un quatrième article qui aborde le sujet sous un tout autre angle (plus connu du grand public, mais que l’on différencie de la perversion narcissique, nous verrons qu’en fait, cette conception est totalement complémentaire à celle de RACAMIER).

    Autrement dit : ces deux théories s’enrichissent l’une, l’autre (Ha émergence, émergence !!!).

    En tout état de cause, ravi de ces quelques échanges, vous n’imaginez pas à quel point vos réflexions et vos interrogations me permettent de préciser (re-lier) les différents concepts entre eux (le problème lorsque une chose est évidente pour quelqu’un : c’est de comprendre pourquoi ça ne l’est pas pour les autres, mais ça aussi, je pense que vous connaissez très bien).

    Cordialement,



  • Philippe VERGNES 10 janvier 2013 11:43

    @ bonjour easy,

    Vous dîtes : « Puis-je au moins savoir qui vous ordonne de m’électrocuter ? »

    Votre imagination easy, uniquement et seulement votre imagination.

    Vous trouverez que ma réponse est un raisonnement circulaire, mais vous me renvoyez toujours aux « intentions » que, selon vous, j’aurais eu à votre encontre pour vous manipulez. Et vous insistez plus que lourdement en argumentant autour de cette thèse avec beaucoup d’aisance, je le reconnais. J’ai déjà dis de mon côté que je RESPECTAIS votre position, mais que je ne la partageais pas pour des raisons, entre autres choses, que j’ai développées et précisées ce matin dans mes réponses à Gaspard Delanuit, mais que j’avais déjà exposées dès mes premiers commentaires lors de mon premier article. Raisons qui aurait dû faire l’objet du débat en lieu et place de sophismes « ad hominem » qu ne constituent qu’un moyen de détourner l’attention du fond du sujet vers les « qualités » de celui qui l’expose afin d’empoisonner le puits. Telles sont les finalités de tels procédés auxquels vous vous êtes prêtés.

    Ce RESPECT que vous n’avait pas su me rendre dans votre dernier message, malgré une profonde marque de sollicitude de ma part à votre encontre allant même jusqu’à m’excusez alors que vous m’accuser de vous caresser dans le sens du poil pour mieux vous poignarder dans le dos par la suite (tel est du moins ce que j’en déduis de votre prose).

    Mais cela, ce n’est que dans votre tête, dans votre « imagination ».

    A la vue de vos réactions, il est très facile de comprendre ce qui vous choque et dès lors d’activer chez vous cette « imagination » qui doit faire probablement « échos » à votre propre vécu. Personnellement, je ne veux pas savoir, je ne veux pas m’immiscer dans votre intimité, c’est votre histoire et dans ma vision des choses, c’est même impudique d’insister à le faire. Je ne vous imagine absolument pas « électrocuté », je ne fais que réactivé chez vous ce que vous percevez comme étant des tentatives de manipulation pour tenter de vous faire prendre conscience qu’en fin de compte vous vous comportez exactement de la même manière que celle que vous me reprochez : vous faîtes là de la lecture de pensée. C’est de la « pensée magique » digne du temps des sorciers que vous rejetez.

    Je dis bien « tenter ». Prenant acte de mon échec, j’en resterais là ! Et non, je n’ai jamais « tenter » de vous manipuler, c’est vraiment mal me connaître que d’affirmer une telle chose, et l’on est encore là dans les interprétations « fallacieuses » (? ??), perverses (? ??), (ce dont vous m’accusez également), paranoïaques (? ??). En tout état de cause de FAUSSES allégations. Je n’ai que simplement chercher à développer un dialogue avec quelqu’un qui me semblait suffisamment intelligent pour exprimer ses idées sans tomber dans l’agression verbale avec quelqu’un qui comprenait vos réserves, mais ne les partager pas toutes. Pour les raisons déjà citées plus haut, mais là je ne fait que me répéter. Encore et encore. Je prends également acte de cette impossibilité de dialogue c’est la raisons pour laquelle, je vous ai déjà dit que j’en resterais là. Ce que je ne fais pas en répondant à la question à laquelle vous m’invitez à répondre... Mais bon, de mon point de vue, c’est une marque de respect. Du votre je n’en sais rien et je n’ai aucune prétention à le savoir. Contrairement à certains, je ne suis pas dans le jugement et si vous lisez bien l’ensemble de ces trois articles, vous verrez bien qu’il y plus chez moi une recherche de vérité qu’une réelle volonté de stigmatisation de tel ou tel autre type d’individu. Là encore, au contraire de ce dont vous m’accusez encore.



  • Philippe VERGNES 10 janvier 2013 10:09

    @ Bonjour JL,

    "Article 29
    • Créé par Loi 1881-07-29 Bulletin Lois n° 637 p. 125

    Toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation. La publication directe ou par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommés, mais dont l’identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits ou imprimés, placards ou affiches incriminés.

    Toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l’imputation d’aucun fait est une injure.« 

    Vous allez pouvoir exposer vos »preuves" devant des gens aptes à en juger.

    A très bientôt !!!



  • Philippe VERGNES 10 janvier 2013 09:22

    @ Gaspar Delanuit,

    Je suis également bien aise que vous y songiez : je cite l’œuvre complète (et non pas le seul livre sur les « boucs émissaires ») de René GIRARD en référence dans mon article.

    Pour l’heure, et cela convient très bien à notre société actuelle, les seuls « boucs émissaires » qu’il existe sont les victimes de ce fléau (qu’il soit « humain » ou « systémique »). Ce que vous dîtes en prévenant de l’inquisition, je l’entends très bien et même très, très bien. Je suis très lion d’être sourd à vos remarques, par contre certains sont plus ou moins sourd aux miennes et si vous avez des solutions pour rompre cette différence, n’hésitez pas à partager je suis preneur. Je cherche même la façon de pouvoir contourner le problème SANS AVOIR à le renverser. C’est-à-dire à faire du p.n. un bouc émissaire à la place de sa (ses) victimes.

    Maintenant, je vais vous poser un problème : si vous aviez connaissance d’un cas (qui est très loin d’être unique, mais que l’on préfère dénier totalement) d’une personne qui a conduit trois de ces conjoints au suicide (à la mort, on est bien d’accord la-dessus... hein ???) qui en a poussé une quatrième au suicide (heureusement « manqué ») et qui de part la relation qu’il a instauré avec ses enfants les a conduit tout trois en résidence asilaire permanente (pas en hôpital de jour comme j’ai pu l’indiquer en échangeant avec emmanuel muller) que feriez-vous ??? Laisseriez-vous les choses se dérouler comme elles se déroulent « normalement », c’est-à-dire en continuant à sacrifier des « bouc émissaires » comme cela se fait tout les jours sous nos yeux sans que nous bougions le petit doigt, ou agiriez-vous autrement en tentant d’épargner ces six victimes, quitte, malheureusement, à en sacrifier une ???

    Voyez bien que la question n’est pas si simple.

    Nos divergences d’opinion se situe dans le fait que vous cherchez à prévenir un phénomène qui risque d’apparaître et moi de mon côté je vous dis que ce phénomène est déjà en court dans notre société et que nous le dénions pour nous assurez le maigre confort que « cette violence victimaire inflige déjà à des boucs émissaires » qui eux ne sont pas virtuels ni imaginaires, ni futuristes. Ils sont ici et maintenant.

    « Quiconque sacrifie sa liberté pour plus de sécurité ne mérite ni l’une, ni l’autre » [B. FRANKLIN] Plus précisément la citation exacte est : « Ceux qui abandonneraient la liberté essentielle pour acheter une peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité. » [« Those who would give up Essential Liberty to purchase a little Temporary Safety deserve neither Liberty nor Safety. »]

    C’est pourtant bien-là la finalité de notre aveuglement actuel.

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