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Philippe VERGNES

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  • Premier article le 27/04/2012
  • Modérateur depuis le 17/12/2012
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Derniers commentaires



  • Philippe VERGNES 19 janvier 2013 15:22

    @ COLRE,

    Bonjour COLRE,


    Effectivement, il en existe. J’y ai fait rapidement allusion dans un des commentaires suite à mon premier article.


    Il existe en effet quelques liens sur les conséquences génétiques qu’engendrent les violences psychologiques récemment découvert par Élisabeth BLACBURN, prix Nobel de médecine en 2009 pour ses travaux sur la méthylation de l’ADN (où plutôt la « déméthylation » de l’ADN) : cf. article Science et Vie « Nos états d’âme modifient notre cerveau ».


    Nous pouvons trouver d’autres articles dans de nombreuses revues tel que par exemple celui sur la « Biologie des émotions : la physiologie du STRESS » paru dans le magazine « Le monde de l’intelligence » d’avril/mai 2012.


    Sur le débat entre inné et acquis qui n’a plus lieu d’être de nos jours grâce suite aux découvertes en épigénétique : cf. revue « en tête » de l’université Mc GILL au CANADA, article « Nature et culture, inné et acquis » page 16 (l’article qui précède cette présentation n’en est pas moins intéressant sur le sujet des traumatismes et de leur possibilité de traitement).


    D’un point de vue neurologique (et non pas épigénétique), il y a de très nombreuses références et les études sur les différences neuroanatomiques du cerveau d’un psychopathe sont désormais connues (cf. la vidéo « Je suis un psychopathe » en lien dans l’article). Toutefois, l’histoire de ces recherches et la compréhension de cette problématique s’écrivent au jour le jour, mais il est important de souligner qu’en matière neurologique rien n’est définitivement irréversible (cf. les études sur la neuroplasticité du cerveau). Ce qui pose bien évidemment le problème de « l’inamendabilité » du psychopathe (ce n’est parce que nous n’avons pas de solution à l’heure actuelle qu’il n’en existe aucune et de plus en plus de thérapeutes entreprennent des traitements envers ce genre de « public », mais si ces méthodes se développent - malheureusement bien peu en FRANCE pour l’heure -, c’est encore au stade « embryonnaire »).


    Cordialement,



  • Philippe VERGNES 19 janvier 2013 12:03

    @ Lionel,

    Bonjour et merci pour votre commentaire.

    J’ai effectivement deux autres articles sur le sujet en court de préparation ; l’un portant sur les techniques de manipulations modernes telles qu’actuellement employées dans tous nos médias « mainstreams » et qui sont des copiés/collés des manœuvres perverses que subissent les personnes en proie à ce type d’individu et l’autre portant sur les effets de ces techniques et la manières dont elles affectent nos processus perceptuels et nos décisions.

    Mais j’attendrais un peu avant de les présenter à la modération, le temps de faire un peu retomber la « pression ».

    Cordialement,

    P.S. :
    Vous avez été « moinsé », aussi je me permets de vous « plusser », mais les « opposants » sont « coriaces » smiley !!!



  • Philippe VERGNES 19 janvier 2013 09:16

    Bonjour et merci,

    J’ai lu votre article : très intéressant. Il est vrai que le reportage de Ian WALKER est un modèle du genre en ce qui concerne « l’agressivité » des psychopathes (ou des pervers narcissiques). La difficulté consiste à comprendre que sous le terme « passage à l’acte », il est aussi inclus « l’acte de parole » et donc la violence verbale comme indicateur d’agressivité. Ce qu’illustre remarquablement bien ce reportage. En ce sens, Ian WALKER a réalisé une prouesse.



  • Philippe VERGNES 18 janvier 2013 21:01

    @ amipb,

    Merci à vous !

    Je vous ai « plussé » pour compenser le « moinsage » dont votre commentaire a fait l’objet. Il semblerait bien effectivement que pour certains toutes les vérités ne soient pas bonnes à dire (ou plutôt à entendre).



  • Philippe VERGNES 12 janvier 2013 21:53

    @ Gaspard Delanuit,

    Remarque très intéressante qui traduit bien le fait que, comme nombreux ici, nous sommes plus en clin à reporter la faute sur autrui plutôt que d’assumer ses propres responsabilités dans la compréhension d’un texte.

    Vous dîtes : "Par ailleurs je ne vous prête pas d’intentions et je n’ai aucun moyen de savoir ce que vous avez voulu exprimer : je m’en tiens exactement à ce que vous avez effectivement exprimé« . Erreur !!!

     »Entre
    Ce que je pense
    Ce que je veux dire
    Ce que je crois dire
    Ce que je dis
    Ce que vous avez envie d’entendre
    Ce que vous croyez entendre
    Ce que vous entendez
    Ce que vous avez envie de comprendre
    Ce que vous croyez comprendre
    Ce que vous comprenez
    Il y a dix possibilités qu’on ait des difficultés à communiquer.
    Mais essayons quand même...« 
    [Bernard WEBER,  »Encyclopédie du savoir relatif et absolue« , tentative de communication.]

    Je ne vois pas dans vos propos les cinq »tentatives« qui sont de votre propre fait.

    Je réitère ici, ce que j’ai déjà déclaré dans de nombreux messages : les interprétations que certains font de mes écrits sont contredites par mes articles eux-mêmes, il suffit d’être un peu attentif au texte qu’on lit.

    La position que vous m’allouez en citant ces 14 lignes ne me donne aucune chance d’être correctement compris puisque ce que vous en déduisez (votre part de responsabilité dans la communication) est exactement l’inverse de ce que je déclare de façon univoque dans les paragraphes qui suivent ces 14 lignes et le sens du fond de ce message.

    Autrement dit, vous cherchez des informations qui puissent satisfaire VOS INTERPRÉTATIONS et non pas à »adopter les positions d’autrui" comme une démarche empathique vous permettrez de le faire facilement.

    Vérifiez !!! Tout est écrit et si au lieu d’affirmer certaines choses comme vous avez pu le faire, vous vous étiez donné la peine de m’interroger sur le sens à donner à tel ou tel paragraphe, je vous aurais répondu comme j’ai pu le faire à tous ceux qui ont eu cette démarche avec moi tout en étant pas nécessairement d’accord avec ce que j’écrivais.

    Cela s’appelle le respect. Un respect dont certains se réclament tout en ne l’accordant pas à son contradicteur. C’est cela la démarche perverse !!!

    J’ai cependant bien noté que vous réfléchissiez un peu plus que d’autres qui tournent en boucle autour de leurs propres fausses interprétations. Que vous les imitiez, ou que vous preniez le temps de méditer sur ce que je vous écris n’est que de votre responsabilité, pas de la mienne.

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