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Pierre R. Chantelois

Pierre R. Chantelois

Après avoir oeuvré une dizaine d’années dans le secteur privé des communications (radio-télévision), je me suis orienté vers le secteur de la Fonction publique du Canada et du Québec du 1970 à 2005. J’ai occupé des fonctions de conseil, de gestion et d’analyste. Je me suis particulièrement intéressé à la télédiffusion des débats parlementaires, aux services en ligne gouvernementaux et aux communications stratégiques gouvernementales. J’ai touché au domaine des relations internationales et du développement international au sein du gouvernement du Canada et auprès d’une importante université francophone du Québec. J’ai oeuvré enfin auprès d’une société internationale d’informatique à titre d’analyste-conseil avant de prendre ma retraite en 2006.

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  • Premier article le 18/01/2007
  • Modérateur depuis le 07/02/2007
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Derniers commentaires



  • Pierre R. Chantelois Pierre R. - Montréal 18 février 2007 11:02

    Ne vaudrait-il mieux pas leur donner les « clés » pour eux-mêmes adapter leur alimentation par rapport à leur besoin

    Je partage entièrement cet avis.

    Pierre R.



  • Pierre R. Chantelois Pierre R. - Montréal 18 février 2007 04:38

    Trois exemples que j’ai puisés dans l’actualité :

    Les détenus subissant un procès secret Mohammad Mahjoub, Mahmoud Jaballah et Hassan Almrei sont toujours en grève de la faim. Jeudi le 25 janvier 2007, Mohammad Mahjoub en était à son 62 jour, pendant que Mahmoud Jaballah et Hassan Almrei en étaient à leur 51. Le gouvernement fédéral refuse de négocier avec ces hommes. Pendant ce temps, ces hommes n’ont bu que du jus d’orange et occasionnellement du bouillon. Ces hommes ne bénéficient d’aucun suivi médical. L’absence de suivi et de soins peut mener à de sérieuses conséquences.

    (http://www.cmaq.net/fr/node/26609?PHPSESSID=0eeab222a71b104f830d9f01c23f60ad)

    Aujourd’hui, 6 décembre 2005, il y a 33 jours que deux mamans font la grève de la faim pour attirer l’attention sur les enfants victimes de la pédocriminalité.

    * 27ième jour... spasme, douleurs thoraciques, fatigues, douleurs musculaires, symptomes de dépression, maigreur faciale...

    Les symptômes actuels.

    http://sisyphe.org/article.php3?id_article=2152

    Le lundi 13 mars 2006, six prisonniers politiques mapuche incarcérés à la prison d’Angol, au Sud du Chili, ont entamé une grève de la faim pour une durée indéterminée, afin de dénoncer le caractère arbitraire et raciste de la condamnation que le tribunal a prononcée à leur encontre et exiger la révision de leur procès. Si deux d’entre eux, libérés, ont mis fin à leur action le 31 mars, les quatre autres l’ont poursuivie pendant 63 jours, stoppée quelques jours puis reprise jusqu’au 26 mai

    Monsieur TREMOLIERE, était médecin nutritionniste de l’hôpital Bichat et il a fondé l’Institut scientifique et technique de la nutrition et de l’alimentation, (ISTNA), de France. L’Institut Scientifique et Technique de la Nutrition et de l’Alimentation (ISTNA) est un Institut rattaché au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM : Grand établissement d’enseignement supérieur et de recherche, dépendant du Ministère de l’Education Nationale et du Ministère de la Recherche).

    L’ISTNA comprend 3 structures :

    * - l’Unité de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle (UREN) : Unité Mixte de Recherche (UMR INSERM/INRA/CNAM) : Unité 557 INSERM / Unité 1125 INRA / EA 3200 CNAM) : « Nutrition et Maladies Chroniques : Epidémiologie et interventions en Santé Publique »

    * - l’Unité de Surveillance et d’Epidémiologie Nutritionnelle (USEN) : Unité Mixte de l’Institut de la Veille Sanitaire (InVS) et du CNAM

    * - Le pôle de formation en Nutrition et Santé Publique



  • Pierre R. Chantelois Pierre R. - Montréal 17 février 2007 19:54

    @ Rocla et aux fins dégustateurs

    S’agissant d’agapes et autres bombances, mettons de l’avant, mes amis, ce mot de Montaigne : « Le jambon fait boire Or, le boire désaltère Donc, le jambon désaltère ». Pour l’accompagnement, ne sautez point cette vieille règle de Saint-Benoît : « Mieux vaut prendre un peu de vin par nécessité, que beaucoup d’eau par avidité ».

    Quel homme sage, ce Saint-Benoit !

    Pierre R.



  • Pierre R. Chantelois Pierre R. - Montréal 17 février 2007 13:04

    Dans une vie antérieure, lorsque je réalisais des documentaires pour la télévision canadienne, j’ai eu l’immense privilège de rencontrer Jean Trémolière, humaniste et penseur. Il nous avait déclaré alors « l’homme est un consommateur de symboles autant que d’aliment ». C’est-à-dire que nous donnons un sens à ce que nous mangeons. Trémolière était l’auteur de Nutrition humaine, Encyclopédie de la Pléiade, 1969

    En terminant, il écrivait ceci :

    Le comportement alimentaire de l’Homme est très curieusement réglé. L’eau et le sel mis à part, nous sommes presque totalement inconscients de nos besoins nutritionnels. Nous ne nous mettons pas à table pour refaire des réserves épuisées ; il nous suffirait alors de manger toutes les trois semaines pour l’homme, et toutes les six semaines pour la femme. Nous nous mettons à table et nous choisissons nos aliments, poussés par des motivations psycho-sensorielles et symboliques qui ne sont reliées aux motivations biochimiques que par tout ce que nous sommes.

    Souvenirs émouvants que cette rencontre avec Jean Trémolière.

    Pierre R.



  • Pierre R. Chantelois Pierre R. - Montréal 17 février 2007 12:04

    Pour titiller votre curiosité, je vous soumets ce dernier extrait du document de l’hebdo The Economist sur l’alimentation éthique :

    Tout choix alimentaire suppose des arbitrages. Même si l’agriculture bio consomme effectivement un peu moins d’énergie et pollue un peu moins, il ne faut pas perdre de vue que ses rendements sont moindres et qu’elle nécessite davantage de surfaces cultivées. Le commerce équitable peut aider certains agriculteurs pauvres, mais aussi en pénaliser d’autres. Et, même si les circuits courts réduisent les émissions liées au transport, ils réduisent aussi les possibilités de développement économique. On peut voir dans ces trois modalités d’achat une façon de protester contre les grands groupes, mais ceux-ci vendent déjà des produits bio et issus du commerce équitable, et la recherche de fournisseurs locaux, associée à la logistique efficace des supermarchés, pourrait être, en définitive, la manière la plus écologique de transporter les aliments. L’alimentation est au cœur des débats sur l’environnement, le développement, le commerce international et la mondialisation.

    Voilà des idées qui ont pour particularité de remettre un certain nombre d’opinions taillées dans l’airain.

    Pierre R.

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