mais aucun (commentateur télé ndlr) n’a relevé que le policier accoudé sur
le capot a été entrainé par le redémarrage en trombe
Vieux réflexe sympathique des Français d’exiger que le flic
relâche le petit délinquant. Mais en l’occurrence, il s’agit ici de dangers
publics, pas de petits délinquants.
Et puis nos « journalistes » ont été dans ces
écoles de la « gauchiasserie molle », dites écoles de journalisme.
Ils partagent tous la même idéologie où taper sur les flics plutôt que leur
chercher des circonstances atténuantes est « génétique ».
@Eric F La deuxième faute, c’est le faux compte-rendu
Bien entendu.
Mais cette très mauvaise habitude de certains policiers de rapporter faussement ou de tordre les faits va naturellement disparaître avec la multiplication des téléphones portables et des caméras dont seront, de plus en plus, dotés les policiers.
En revanche, la tendance à l’accroissement des refus d’obtempérer ne se dément pas, avec les victimes qui vont avec, ainsi que les délits de fuite suite à accident mortel. Et là, pas de solution en vue, ça va continuer de croître.
cela n’explique pas le tir à bout portant en situation qui n’était pas de légitime défense.
Le titre de l’article est incontestable.
La suite devrait être : comment faire pour que des policiers, des délinquants, des piétons se trouvant là par hasard ne soient pas tués suite à un refus d’obtempérer.
Qu’apporte l’article, comme tout le mainstream ? Pas grand chose, excepté la formation des policiers. Autant ne rien dire.
Et surtout ne pas dire des bêtises, comme le fait l’article, en plus de ne rien apporter d’efficace. Car la légitime défense était réelle à partir de l’instant où le policier sur le capot était entrainé sur quelques mètres au démarrage de la voiture. Selon la loi de 2017 il pouvait tirer. La faute du policier est technique : il ne devait pas se trouver sur le capot de la voiture en position de tir lors de l’interpellation (Alain Bauer).
Comment juger une faute technique du policier ayant conduit à un homicide ? Pas facile juridiquement.
Alors le policier sera jugé politiquement, immédiatement, par le PR, la PM et des magistrats aux ordres. Justice politique, c’est plus facile et rapide que la vraie justice, sous pression d’émeutiers il est vrai.
1ère hypothèse : Prigojine réclamait une
grosse rallonge pour services rendus. Fort possible qu’il l’ait finalement obtenue.
2ème hypothèse : après Potemkine, Raspoutine,
Berezovsky (grande tradition russe du conseiller intime), Prigojine rêvait d’être
l’âme damnée de Poutine, le conseiller de l’ombre. Poutine l’aurait envoyé
ch..r. La montée à Moscou serait alors un cri d’amour déçu ! Que ce serait
beau, dans la grande tradition russe …