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taktak

Le monde est moche, la décoration ne l'embellira pas
changeons le
 

Tableau de bord

  • Premier article le 18/11/2011
  • Modérateur depuis le 20/04/2013
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Derniers commentaires



  • taktak 12 février 2009 09:23

    Beau commentaire, en substance plutot nazis que rouges !!!

    En plus vous louez les résultats économiques du nazisme ! certe c’est l’accomplissement extrème de l’exploitation de l’homme chere au capitalisme : qu’est qui est plus profitable qu’un camp de concentration pour fournir de la main d’oeuvre à usine !

    C’est nauséabon. Cet article n’est certe pas critique, mais il a le mérite de présenter le point de vue d’un algérien sur un pays qui s’est comporté correctement avec l’Algérie, à comparer avec la France...
    Vous méritez largement ce point Godwin



  • taktak 11 février 2009 09:39

    Votre raisonnement suppose que le marché permet d’atteindre un équilibre...
    Votre raisonnement est une fuite en avant idéologique, puisque vous proposez pour résoudre la crise de libérer encore plus les marchés ! Cette libération même qui est le catalyseur de la crise puisque elle favorise la spéculation et les pratiques douteuses.

    Pour en revenir à l’article, l’exemple choisit montre deux choses :
    1°) l’intervention de l’etat en tant qu’elle est un investissement de la collectivité est créatrice de valeur (pour peu que l’investissement soit pertinant bien entendu...). Cela suppose que la collectivité reste le dépositaire de l’investissement par exemple en lui permettant de créer de la monaies ;
    2°) En confiant à des interet particulier le rôle de création monétaire on s’est privé de cette possibilité de création de valeur au profit de l’ensemble de la société, en fonction de la production de valeur de chacun. Lorsque l’etat, et donc la collectivité, emprunte sur les sacro saints marché, ce n’est plus la collectivité qui récupére le fruit du travail, mais le capitaliste qui a prété les capitaux. Si je ne comprend pas bien de quelle légitimité le capitaliste peut se prévaloir pour réclamer des interet (outre le fait que lui possède ce qui est nécessaire pour que les autres créent !), on comprend bien toute l’ironie de la situation quand on autorise ce même capitaliste à créer de la monaie !

    En tout cas félicitation à l’auteur pour cette article clair et vulgarisateur, mais pour autant sans concession à la rigueur.
    Cela montre toute l’hypocrisie des économistes, qui en compliquant à loisir des mécanismes simples ne cherche qu’à refouler l’évidence même de l’injustice du système actuel



  • taktak 10 février 2009 14:07

    Commentaire intéressant mais qui relève d’une vision très parcellaire et caricaturalle. A bien des égards votre réponse à l’article reflete bien l’image des facs de droit qui est dressée par l’article.
    Ces d’ailleurs ce tableau très noir qui vous poussent à réagir plutot que de nous apporter votre avis sur le decret et les réformes en cours (LRU, Mastérisation...) qui constituent le fond du problème.

    Bref, je crois qu’il est nécessaire de rappeler à tous un certain nombre de faits :
    1°) Le statut des université a changer avec la LRU conduisant à l’autonomie des université et à renforcer le pouvoir des conseil d’administration et président d’université, CA par ailleurs dont la représentativité de la communauté universitaire est très diminuée ;
    2°) Diminution du nombre de poste d’enseignant chercheurs (- 900...)
    3°) Remise en cause de leur statut remettant en cause l’indépendance de la recherche puisque celle ci n’est plus soumise à l’évaluation des pairs mais à celle du président d’université. Dans un contexte de chassse au centime et de RGPP, on se doute bien que c’est pas la qualité de la recherche qui est le fondemment du décret
    4°) Remise en cause du recrutemment des enseigant, notamment avec la mastérisation. Elle permet à l’etat d’économiser lannée de stage des enseignant, effectué à la suite des concours de recrutement. Elle est par ailleurs un prélude à la remise en cause de ces concours nationnaux (Ainsi, cette année il n’y aura pas d’agreg de russe)
    5°) la mise en compétition des universités pour les crédits. Seule les universités sages ont ainsi eu droit au credit de rénovation. Certaines profitent de leur notoriété pour trouver de nouvelles recettes à travers la prostitutions (la sorbonne qui loue ses locaux et vend son nom...)
    6°) dans le même temps, on vient de reconnaitre aux université religieuse le droit de collation, permettant pourquoi pas à une université catolique de former des dr en biologie sur la base de thèse créationniste....


    Bref, plutot que de chercher du corporatisme, du conservatisme et autre romantisme, je crois que la fronde actuelle est bien plus profonde est touche une opposition forte et saine à la remise en cause des fondements de notre université :
    Indépendance de recherche, égalité nationale des diplomes, révaluation par ses pairs..
    et à ce qui permet d’en garantir la qualité, notamment les concours de l’enseignements publics..



  • taktak 30 janvier 2009 14:06

    pff cette article est digne du lavage de cerveau médiatique de ces derniers jours :
    Ce mouvement social n’est pas "contre la cris", mais bien contre la politique économique de Sarkosy.

    les français ont bien compris que la politique de Sarko c’est d’ avantager les riches, à la fois par les réformes fiscales et le dépecage des services publics (Energie, transports, éducation, aménagement du territoireet écologie, etc etc) et par la garantie de leurs investissements, et cela avec l’argent public. Il n’est rien prévue pour la masse, le peuple en un mot.

    Les français sont en train, avec cette période de crise, de voir ce que c’est que le fondemment de l’économie capitaliste, ce que c’est la politique capitaliste qu’on leur applique (RGPP et autres réformes fiscale). 

    A nos oreilles, on a clamé pendant des années que la rémunération du capital était du, à cause des prises de risque et du role d’élite du capitaliste capable de selectionner ce qui a de l’avenir ou pas.
    C’est dernière années, et particulièrement cette crise, montre au monde du travail que les revenus que s’attribue le capitaliste ne sont que du vol, puisqu’en aucun cas on en peut y toucher.

    Grace à la crise, le peuple prend consience, Grace à la manifestion, il prend conscience de sa force.

    Et pas qu’en france (voir les manifestations en Italie, Grece, Allemagne etc....)



  • taktak 30 janvier 2009 13:49

    1°) la disparition d’une langue telle que le français est tout de même une perte considérable dans la culture humaine. D’autant que ce n’est pas seulement le français qui est menacé mais l’ensemble des langues autre que l’anglais...

    2°) d’un point de vue plus pragmatique, il faut comprendre que l’anglais est actuellement utilisé comme arme de destruction massive par la classe dirigeante de ce monde qui se reglobalise. 
    Je m’explique, l’idéologie économique libérale et de manière plus large capitaliste prend sa source principalement aux état unis, et dans les pays anglo saxon, et naturellement les élites de ces pays utilisent l’anglais. Dans d’autre pays, notamment la france mais pas que, les élites économiques, la classe dirigeante partage bien évidemment la même idéologie. Ce qui n’est pas le cas de leur peuple. Une manière d’imposer leur idéologie est d’imposer la langue de cette idéologie. La pensée concurente est alors bannie au travers de sa langue.
    Imposée l’anglais, c’est une manière de priver les peuples de leur souverainneté. C’est clairement l’usage qui avait été fait du latin. L’anglais une langue de l’élite pour dominer la piétaille.

    Il faut défendre la langue française, et au dela la nation française (sa culture et son contrat social). Car c’est maintenant le cadre de la souverainneté du peuple français.
    Il faut bien comprendre que les temps on changé depuis les colonie. l’impérialisme français est résolue à se sacrifier en se fondant dans l’impérialisme capitaliste mondiale. Et se sacrifice ne se fait pas sur ses deniers mais bien sur le dos de la nation française. Cela explique d’ailleurs les concerts de pleureuses déclinologues que l’on entend dans les médias

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