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Wàng

Espérantiste, aristotélicien, catholique, libéral néo-conservateur
 
« Le socialisme ne produit rien, il se borne à dissiper ce qu’à créé la société fondée sur la propriété privée des moyens de production. Étant donné qu’il ne peut pas y avoir d’organisation socialiste de la société, toute étape dans la voie du socialisme aboutit à la destruction de l’ordre existant. » (Ludwig Von Mises)

 
« L'argent public finit toujours dans des poches privées. » (Pascal Salin)
 
« Là où la politique avance, la liberté recule. » (Salin)
 
« La tentation de la répartition est typique de la société fermée » (Salin)
 
« La justice sociale, c'est de la jalousie, plus de la rhétorique. » (Thomas Sowell)
 
« La vie politique française est rythmée par un consensus flou, non pas sur des principes, mais sur les idées à la mode, lancées ou tout au moins relancées par les grands de la pensée creuse. C'est la victoire du pragmatisme intellectuel, c'est-à-dire en réalité du refus de penser, puisqu'une pensée sans principes n'est plus une pensée. » (Salin)
 
« La banque centrale est une des plus grosses associations de faux monnayeurs de l'Histoire de l'Humanité. » (Daniel Tourre)

« La social-démocratie est une sorte d'armistice dans la guerre civile des intérêts organisés. Elle traduit la domination du pragmatisme et du scepticisme et pour cette raison même, elle ne peut pas annoncer la fin de l'idéologie. » (Salin)

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  • Premier article le 04/06/2011
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Derniers commentaires



  • Wàng 7 mai 2010 09:43

    les exemples que vous me citez (lectures d’ouvrage pointus dans un domaine particulier, votre ami en thèse... me confirme dans l’idée que le latin est bien une langue de spécialiste qui pourrais très bien disparaitre sans victimes collatérales des programmes de collège et lycées, et convenir au seul enseignement prodigué aux personnes suivant des études supérieures en lettres.)

    Désolé mais étant ingénieur ma formation n’a rien de spécifiquement littéraire, de même pour l’ami cité qui est juriste et historien (sciences humaines). L’étude de langues comme le latin, le chinois, le grec ancien, tout comme celle de l’histoire, du français, de la philosophie pourraient très bien être supprimés sans que cela nuise à la compétitivité commerciale du pays. Mais ça fait partie de ce qu’on appelait jadis les humanités.

    De plus, toutes proportions gardées, l’anglais aussi est une langue de spécialistes qui est utilisée dans de nombreux domaines scientifiques pointus ...

    Comprenez bien que moi même je suis plutôt de filière scientifique, et si l’étude de langages de programmation avancés (ou désuets) peut attirer ma curiosité

    Mais il n’y a rien de commun entre l’étude d’un langage de programmation spécifique et celui d’une langue ... ce qu’il faut faire étudier aux élèves, par contre, c’est l’algorithmique, qui est, de façon analogique, aux langages de programmations ce qu’une langue planifiée bien construite est aux diverses langues vivantes. Mais l’analogie est faible car les langages de programmation sont déjà conçus par l’intelligence de l’homme (on passe donc facilement de l’un à l’autre, contrairement aux langues).

    de plus, les chinois seront heureux d’apprendre que pour vous, l’étude de leur langue vivante ne forme pas plus, humainement parlant, que l’étude de langues mortes...

    Désolé mais vous avez une lecture dialectique de mes arguments (vous forcez ma pensée en la fracturant) : je n’ai pas parlé du chinois dans ma réponse.

    alors que sont apprentissage n’est pas sans challenge intellectuel, et qu’elle est potentiellement beaucoup plus utile pour le futur de l’étudiant, que ce soit au travail, en vacances, ou pour faire ses courses dans le 13éme.

    Très bien, alors avant de vouloir faire apprendre cette langue très intéressante mais très difficile aux élèves, qu’est-ce que vous attendez pour l’apprendre et l’utiliser vous même ?



  • Wàng 6 mai 2010 18:10

    des langues de spécialiste (voire mortes) n’ayant aucune place dans un cursus général, car n’ayant aucun intérêt pratique ou professionel pour 99% devraient disparaître de l’enseignement avant la fac... (la je pense au grec ancien, latin, espéranto et autre klingon)

    C’est ce qu’on m’a toujours dit mais vous vous trompez, les langues anciennes (surtout le grec et le latin j’avoue) s’avèrent parfois utiles dès lors que vous vous intéressez à autre chose qu’à la télé ... même sans être spécialiste de linguistique. Vous savez, il y a des tas de livres en latin qui représentent un savoir énorme et qui ne sont jamais traduits, notamment, la plupart des philosophes du Moyen-Âge (Scot, Suarez, Cajetan, Ockam, etc). Même les bons manuels de philo du XXème siècle sont truffés de citations en latin et mes faibles souvenirs dans cette langue me limitent. J’ai un ami en thèse d’histoire du droit qui est lui amené à lire du latin tous les jours dans son travail. Ne parlons pas de son intérêt étymologique qui fait comprendre mieux notre langue, et de son intérêt culturel.

    quand on vois déjà le handicap professionnel que peut constituer le fait de s’être vu imposer l’allemand première langue au lieu de l’anglais, ne parlons pas du boulet que représenterais l’espéranto...

    Le but de l’école (en Europe) n’est pas d’abord d’adapter les gens le plus vite possible au marché du travail, mais aussi de les former humainement, ce qui implique quelque chose en plus que la vision de la philosophie pragmatique (qui définit le vrai par ce qui est utile). Sinon, pourquoi faire de l’Histoire, du français ...

    L’espéranto, lui, est encore un autre problème qui n’est comparable ni aux langues commerciales actuelles (ou enseignées dans un but commercial), ni aux langues anciennes. A moins de mettre sciemment entre parenthèses
    - la façon concrète dont se déroule son apprentissage (vitesse d’acquisition, sentiment de progresser, gratification)
    - son intérêt propédeutique (pour la suite des études)

    ce qui n’est à mon avis pas une bonne façon de chercher la vérité.



  • Wàng 26 avril 2010 19:10

    Près de la moitié des chrétiens vivant en Afrique sub-saharienne croient que Jésus reviendra sur terre et annoncera la fin du monde.

    Dit comme cela il y a sans doute équivoque au plan théologique. La croyance d’une venue de Jésus sur terre à la tête d’un royaume où reigneront les bons est une croyance des fondamentalistes protestants et des musulmans, mais elle est hérétique pour les catholiques. Bien que les catholiques croient à la venue/retour glorieux du messie (à la fin du monde et certainement aussi à l’heure de la mort individuelle d’après un théologien récent).

    Cela dit, un catholique est censé y adhérer, or regardez : si 40% des français se disent encore catholiques (devenu davantage synonyme de besoin d’appartenance sociale que positionnement intellectuel), ça m’étonnerait qu’il y ait 40% des français qui croient à cet article du Credo.



  • Wàng 22 avril 2010 12:51

    Les néo-conservateurs ? C’est une doctrine politique de droite (qui me plait assez par certains aspects d’ailleurs) ! Voir : http://www.drzz.info/

    Rien à voir avec les fondamentalistes évangéliques, si ce n’est de façon accidentelle dans leur soutien à Israël et parce qu’on les identifie dans le personnage de Bush (qui n’est même pas à proprement parler néo-conservateur d’ailleurs).

    Il y a des néo-conservateurs catholiques (sur drzz), des juifs, et j’en connais aussi qui sont très proches de cette doctrine et qui sont athées.



  • Wàng 22 avril 2010 12:39

    Et bien si vous n’êtes pas cartésien, je renonce à débattre avec vous c’est en pure perte...

    Descartes place la critique de la connaissance (le doute méthodique) au point de départ de tout. Ce qui est aussi une attitude très française. Du coup il se coupe complètement de l’expérience. Je pense que c’est une erreur. Dans la connaissance il y a un aspect positif (le rapport accueillant à l’autre) qui est premier, l’intelligence est dans la vérité dans la mesure où elle se conforme au réel.

    La critique a certes sa place mais elle est seconde (elle présuppose la connaissance), et de l’ordre du comment (non du qu’est-ce). Une fois que je connais quelque chose ou quelqu’un, je fais un retour sur cette connaissance me pose la question : est-ce que ma manière de connaitre est la plus authentique pour accéder à ce qu’il est ?

    Je vais moi aussi m’en remettre à la pensée magique et faire une petite prière pour le salut de votre âme....mouarf ou alors je vais en parler à mon chat qui est en contact avec les forces telluriques.

    Vous devriez faire preuve de davantage de prudence dans ce domaine que vous maîtrisez mal, et ne pas me mépriser comme ça. Savez vous que c’est Descartes qui, ayant rejeté les sensibles propres comme trompeurs, fonde toute l’objectivité de sa connaissance sur l’existence d’un Dieu qui ne peut le tromper (et non Aristote) ?

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