• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Wàng

Espérantiste, aristotélicien, catholique, libéral néo-conservateur
 
« Le socialisme ne produit rien, il se borne à dissiper ce qu’à créé la société fondée sur la propriété privée des moyens de production. Étant donné qu’il ne peut pas y avoir d’organisation socialiste de la société, toute étape dans la voie du socialisme aboutit à la destruction de l’ordre existant. » (Ludwig Von Mises)

 
« L'argent public finit toujours dans des poches privées. » (Pascal Salin)
 
« Là où la politique avance, la liberté recule. » (Salin)
 
« La tentation de la répartition est typique de la société fermée » (Salin)
 
« La justice sociale, c'est de la jalousie, plus de la rhétorique. » (Thomas Sowell)
 
« La vie politique française est rythmée par un consensus flou, non pas sur des principes, mais sur les idées à la mode, lancées ou tout au moins relancées par les grands de la pensée creuse. C'est la victoire du pragmatisme intellectuel, c'est-à-dire en réalité du refus de penser, puisqu'une pensée sans principes n'est plus une pensée. » (Salin)
 
« La banque centrale est une des plus grosses associations de faux monnayeurs de l'Histoire de l'Humanité. » (Daniel Tourre)

« La social-démocratie est une sorte d'armistice dans la guerre civile des intérêts organisés. Elle traduit la domination du pragmatisme et du scepticisme et pour cette raison même, elle ne peut pas annoncer la fin de l'idéologie. » (Salin)

Tableau de bord

  • Premier article le 04/06/2011
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 2 311 114
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique





Derniers commentaires



  • Wàng 26 novembre 2010 18:22

    le fait est, que l’évolution de l’esperanto ne permet pas de donner un noyau cohérent pour que tout le monde puisse communiquer, car il manque la référence.

    Certainement, mais des cas d’incompréhensions, il y en a ailleurs en dépit de l’existence de références natives, surtout quand la langue est contextuelle. D’ailleurs, j’en fais la collection. Il me plairait d’avoir de votre part de tels exemples de cas d’incompréhensions en espéranto.



  • Wàng 18 novembre 2010 18:47

    Quand je lis ceci j’ai l’impression de comprendre que les chercheurs non anglophones avec un bac +15 sont trop débiles pour connaitre les bases simples de l’anglais.

    Vous exagérez ! Présenter et défendre ses travaux devant des parterres internationaux, ou publier dans des articles dans des revues (presque toujours établies en pays anglophones) à comité de lecture, en espérant un max de citations, ça va un peu plus loin que des « bases simples » en anglais ! Tous les chercheurs que je connais en ont fait la douloureuse expérience. Pour les « bases simples » jetez seulement un œil sur l’article de Maniez. C’est autre chose que de la littérature, c’est tout.

    Du fait d’un certains nombre de problèmes internes à cette langue, donc le problème principal est celui de la référence.

    Et tous les problèmes que rencontre l’espéranto que se soit au niveau structure grammaticale, structure sémantique et donc toutes ces réformites aigues qui existent depuis son apparition.

    La référence théorique est le fundamento, c’est à la fois ce qui fait la force et la faiblesse de l’espéranto, parce qu’en réalité il est vrai qu’il existe des méthodes de grammaire et des dictionnaires bien plus fournis. Je persiste à penser que ce manque de référence n’est pas rédhibitoire, mais lié à la jeunesse de la langue. Sinon, il n’y aurait aucun moyen de communiquer en espéranto avec des non européens, ce qui heureusement n’est pas le cas. Je comprends ce que vous dites sur l’absence de référence et de la difficulté à retrouver une façon universelle de penser en espéranto les phrases toutes faites qui nous servent en français, mais n’oubliez pas que les juifs qui se sont établis en Palestine, tout comme les érudits du moyen âge, n’avaient eux non plus presque aucune référence en dehors de textes écrits. Or il suffit qu’une langue soit porteuse de progrès dans un domaine quelconque, pour qu’une norme s’impose qui permet la communication dans ce domaine précis (exemple en latin philosophique du moyen âge : le terme quidditas).

    Le problème est davantage politique, du fait que beaucoup d’espérantistes ont du mal à comprendre qu’une des conditions nécessaire de la mondialisation qui elle même créée la nécessité d’une langue commune, ce n’est pas seulement la bonne volonté des peuples mais surtout la sécurité des voies de communication (notamment maritimes) à l’échelle mondiale : en l’état actuel des choses, non pas l’ONU mais l’US Navy.



  • Wàng 17 novembre 2010 16:02

    Pas besoin de l’espéranto pour la recherche scientifique, l’anglais est déjà là. Et pas besoin d’un niveau en anglais excellent. De toute façon le vrai problème sont les thèses rédigées directement en anglais et non d’abord dans la langue native du chercheur

    La nécessité d’une langue internationale dans le domaine de la recherche est directement liée au contexte actuel de mondialisation, ce qui fait que les données du XIXème et du XXème siècle sur le plurilinguisme En-De-Fr défendues par certains, et valables du temps des états nations forts, entourés de dangers et refermés sur eux mêmes ne sont plus valables aujourd’hui. La mondialisation de la recherche qui est accompagnée d’effets pervers, est une dynamique intrinsèque à la nature humaine qui implique un bilan général positif pour les sociétés. Cela implique qu’il n’est pas possible de revenir en arrière sur le principe. Le problème de l’anglais, comme je l’ai dit, c’est que toutes les autres communautés linguistiques sont inévitablement mises à la remorque de la recherche anglophone, en dépit de leurs excellentes structures de formation, comme les Grandes Ecoles et les ENS à la française. A moins d’une conversion massive à l’anglophonie (d’où les thèses rédigées en anglais). smiley Or, rien n’empêche en théorie l’utilisation d’une autre langue que l’anglais dépourvue de communauté de natifs actuelle, comme une langue morte (latin médiéval) ou d’une langue construite (espéranto).

    Sur la problématique de la mondialisation : http://mafuturologie.free.fr/

    Et sur les « problèmes » de l’anglais scientifique (médical) : http://web.univ-ubs.fr/corpus/jlc5/ACTES/ACTES_JLC07_maniez.pdf

    J’ai été pratiquant de cette langue, j’ai apprécié certains aspects, d’autres moins, ma conclusion actuelle est qu’elle ne restera que dans un cercle restreint d’idéalistes.

    Je suis d’accord que la communauté espérantophone manque d’intellectuels qui comprennent le monde tel qu’il est et y a des tas de points sur lesquels il faut réfléchir, mais la principale raison pour laquelle l’espéranto ne se développe pas suffisemment, c’est incontestablement parce qu’il est absent du système scolaire et méconnu du grand public. Dès lors, il faut militer en vue de son introduction à l’école, tout en réfléchissant sur le reste. Il y a sans doute à l’heure actuelle une proportion trop importante d’idéologues marxistes, d’anarchistes, d’écologistes et d’altermondialistes dans la movado, mais ce n’est pas une raison pour quitter le navire.

    Cordialement

    Wàng



  • Wàng 16 novembre 2010 11:01

    @ Hermès : la référence dans une langue, avant d’être une « communauté de natifs », c’est surtout de grandes œuvres littéraires fondatrices. Pour l’hébreu moderne, c’est le tanak, pour l’allemand, la traduction de Bible de Martin Luther, pour le français, Rabelais.

    Je suis d’accord qu’il faut une communauté de locuteurs, mais pas forcément de natifs. Je suis de ceux qui croient que la recherche scientifique de niveau international, devra se faire un jour directement en espéranto, pour ne pas que cette langue soit systématiquement à la traîne de l’innovation et se réfugie dans un phénomène d’imitation de ce que font d’autres. Cela se faisait pour le latin au moyen âge (on n’avait pas des masses d’échantillons du latin parlé à Rome au Ier siècle). Le seul vrai problème de l’espéranto, c’est l’émergence d’un « dialecte européen » (problématique de la bona lingvo), phénomène absurde introduisant des tonnes d’irrégularités, qui met à mal l’internationalité de la langue et qui m’est particulièrement pénible.



  • Wàng 16 juin 2010 12:45

    Je répondais à Hermès.

Voir tous ses commentaires (20 par page)

LES THEMES DE L'AUTEUR

Economie Tribune Libre

Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv