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Wàng

Espérantiste, aristotélicien, catholique, libéral néo-conservateur
 
« Le socialisme ne produit rien, il se borne à dissiper ce qu’à créé la société fondée sur la propriété privée des moyens de production. Étant donné qu’il ne peut pas y avoir d’organisation socialiste de la société, toute étape dans la voie du socialisme aboutit à la destruction de l’ordre existant. » (Ludwig Von Mises)

 
« L'argent public finit toujours dans des poches privées. » (Pascal Salin)
 
« Là où la politique avance, la liberté recule. » (Salin)
 
« La tentation de la répartition est typique de la société fermée » (Salin)
 
« La justice sociale, c'est de la jalousie, plus de la rhétorique. » (Thomas Sowell)
 
« La vie politique française est rythmée par un consensus flou, non pas sur des principes, mais sur les idées à la mode, lancées ou tout au moins relancées par les grands de la pensée creuse. C'est la victoire du pragmatisme intellectuel, c'est-à-dire en réalité du refus de penser, puisqu'une pensée sans principes n'est plus une pensée. » (Salin)
 
« La banque centrale est une des plus grosses associations de faux monnayeurs de l'Histoire de l'Humanité. » (Daniel Tourre)

« La social-démocratie est une sorte d'armistice dans la guerre civile des intérêts organisés. Elle traduit la domination du pragmatisme et du scepticisme et pour cette raison même, elle ne peut pas annoncer la fin de l'idéologie. » (Salin)

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  • Premier article le 04/06/2011
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Derniers commentaires



  • Wàng 27 décembre 2010 21:02

    Peut être que si Zamenhof s’était douté de ce qui allait se passer après sa mort, pendant la guerre, sa décision aurait été différente. smiley La politique comporte énormément de données contingentes.



  • Wàng 27 décembre 2010 19:21

    La révolution et l’anarchie, il n’y a rien de plus contradictoire avec la volonté de paix et de prospérité, je ne pense pas que c’est ce que la majorité des peuples souhaitent. Les anarchistes ne sont pas la cause du non de 2005 à l’Europe, mais ils ont surfé, avec les nationalistes, sur le phénomène sociologique que j’ai montré précedemment. Philippe Nemo montre que les olligarchies en France ne sont pas les financiers, mais le consortium de la haute fonction publique, les associations et les syndicats, ceux qui sont capables de réaliser des coups de force. Le gros capital, lui se désintéresse peu ou prou de la démocratie, et même si l’ordre actuel français ne leur profite pas vraiment, ils peuvent faire avec, contrairement aux petits patrons, aux salariés et aux entrepreneurs de la société civile qui n’ont aucune voix au chapitre. Au moins, un des grands mérites de l’Europe, c’est de nous sauver un peu de notre bastion socialo-communiste français hérité directement de la période gaulliste. A ce sujet et sur les olligarchies lire Philippe Nemo http://www.catallaxia.org/wiki/Philippe_Nemo:La_double_oligarchie_de_la_Vème_République

    Quand à l’espéranto, il n’a pas à servir de tribune à des groupuscules extrêmistes ni à devenir le bastion d’une vision passéiste du monde, anti-américaine et altermondialiste ! C’est déjà trop souvent le cas à mon sens (je citerais le mouvement anarchiste SAT). Diffuser une vision du monde non parasitée, d’accord, mais de tous bords politiques, vraiment pluraliste, et pas seulement de gauche.

    Vous savez, c’est affligeant pour moi de voir que la France est un des pays où les idées modernes issues de la droite américaine sur la mondialisation, l’ère post industrielle et la dématérialisation de l’économie, le néo-conservatisme sont les plus systématiquement absentes des débats à la télé ou des médias papiers, diabolisées, anathémisées ou ridiculisées (Guignols) par la bien-pensance.

    Dernière chose, ce qui se passe en Islande et qui risque de se passer ailleurs, c’est tout bêtement à cause de la mauvaise gestion : beaucoup trop de dépenses publiques, des endettements pour payer non des investissements pour l’avenir produisant de la richesse, mais des placements de confort qui ne rapportent rien, comme la retraite à 60 ans.



  • Wàng 27 décembre 2010 14:40

    Si c’est que pour vivre en paix, pas besoin de faire l’Europe : les Etats-Unis peuvent très bien assurer à eux seuls notre protection. Si on ne le fait pas, en coupant les budgets militaires et en se débarassant de nos armes, ils s’en chargeront de toute façon, car c’est dans leur intérêt.

    Mais vous vous doutez bien que ce n’est pas ça du tout ce que veulent les européens. Il y a aussi une exigence de démocratie et un retour des sentiments identitaires (volonté d’être chez soin diverses crispations) qui monte de plus en plus, et qui va finir par péter.



  • Wàng 27 décembre 2010 13:48

    Il ne peut pas y avoir d’homme politique providentiel au niveau européen, ni même d’Europe politique ou militaire tout court, si on voulait une Europe puissante, il aurait fallu faire une Europe à commité réduit et sans l’Angleterre, pays qui a tout fait depuis 1000 ans pour empêcher l’émergence d’une puissance européenne contientale. L’Europe telle qu’elle est affaiblie aujourd’hui, n’est aujourd’hui qu’une structure de vassalisation des nations européennes aux Etats-Unis. Pourtant, une Europe politique puissante dotée de structures démocratiques (par exemple à l’américaine ou à la Suisse) et d’une langue commune serait, dans l’idéal, une solution intéressante et noble (ce que défend EDE), mais on n’en prend pas le chemin.

    Le gros problème, c’est que ce sont souvent les mêmes nationalistes et souverainistes qui gueulent contre l’Otan et la vassalisation aux Etats-Unis (le protectorat qui date de 1945 et qui nous a quand même épargné le communisme entre autres) et qui gueulent aussi contre le machin Européen qui lèse la démocratie et les souverainetés nationales, mais les premiers à avoir peur d’une Europe unie politiquement, ce sont les Etats-Unis. La défense de la souveraineté des nations et la volonté de construire une puissance capable de rivaliser avec les Etats-continents (EU, Chine, Inde) est incompatible. On a un peu la tête entre le marteau et l’enclume. smiley

    Au plan historique, c’est intéressant. Il y a 2200 ans existait en Grèce la ligue achéenne qui était une fédération des cités grecques dans le but de résister aux puissances macédonienne et à l’Italie romaine, les super états de l’époque. Les Elites y étaient acquise,s mais les peuples étaient anti-romains et opposés à ce truc artificiel, puis, des cités ont quitté la ligue, Rome est intervenue pour défendre ses intérêts, et ça s’est terminé dans le sang. En fin de compte, c’est Rome qui a réalisé l’unité de la Grèce, et non une construction politique volontariste.

    Tout parallèle avec la situation actuelle de l’Europe n’est pas que coïncidence... smiley



  • Wàng 26 décembre 2010 18:07

    La faille c’est que, derrière une apparente incohérence des actes posés, tout homme ordonne son action en vue d’une fin. Les athées ne font pas exception, et ce qui a tué dans ce cas là, ce n’est pas l’athéisme qui est inintelligible par lui même, mais les idoles que les hommes se sont donnés. Je pense notamment aux messianismes politiques qui ont remplacé l’espérance théologale ces 200 dernières années : l’argent (l’avarice et l’envie : communisme), la gloire ( par exemple le culte de la nation ou de la race), le plaisir (avortement).

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