• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Wàng

Espérantiste, aristotélicien, catholique, libéral néo-conservateur
 
« Le socialisme ne produit rien, il se borne à dissiper ce qu’à créé la société fondée sur la propriété privée des moyens de production. Étant donné qu’il ne peut pas y avoir d’organisation socialiste de la société, toute étape dans la voie du socialisme aboutit à la destruction de l’ordre existant. » (Ludwig Von Mises)

 
« L'argent public finit toujours dans des poches privées. » (Pascal Salin)
 
« Là où la politique avance, la liberté recule. » (Salin)
 
« La tentation de la répartition est typique de la société fermée » (Salin)
 
« La justice sociale, c'est de la jalousie, plus de la rhétorique. » (Thomas Sowell)
 
« La vie politique française est rythmée par un consensus flou, non pas sur des principes, mais sur les idées à la mode, lancées ou tout au moins relancées par les grands de la pensée creuse. C'est la victoire du pragmatisme intellectuel, c'est-à-dire en réalité du refus de penser, puisqu'une pensée sans principes n'est plus une pensée. » (Salin)
 
« La banque centrale est une des plus grosses associations de faux monnayeurs de l'Histoire de l'Humanité. » (Daniel Tourre)

« La social-démocratie est une sorte d'armistice dans la guerre civile des intérêts organisés. Elle traduit la domination du pragmatisme et du scepticisme et pour cette raison même, elle ne peut pas annoncer la fin de l'idéologie. » (Salin)

Tableau de bord

  • Premier article le 04/06/2011
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 2 311 114
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique





Derniers commentaires



  • Wàng 10 avril 2011 22:13

    Hallucinant de lire un tel message de cauchemard au XXIème siècle.



  • Wàng 8 avril 2011 15:41

    Ce projet est une catastrophe. Avec Sarkozy et les socialistes de droite, les dépenses publiques sont passées de 52 à 56% du PIB, avec les socialistes de gauche, sur 5 ans, ça devrait passer à 65%.



  • Wàng 3 avril 2011 22:28

    Deux trois éléments :

    - La Chine part de presque 0, du totalitairsme maoïste avec ses famines de masse, ce n’e’st pas une économie de pointe mais un atelier qui emprunte un chemin qui a été emprunté il y a déjà deux siècle par toutes les sociétés, la voie est toute tracée pour elle. Les salaires y restent ridicules et il l’innovation est un chemin difficile. De plus avec 1300 millions de personnes elle peut se permettre d’être protectionniste pour l’instant.

    - Le protecionnisme ne désavantage pas les nantis avant tout, mais tous les consommateurs. Si je peux me payer une imprimante à 50 euros c’est grâce au libre échange. Il est absurde au plan économique de croire que les exportations sont bonnes et que les importations sont mauvaises. La différence en terme d’épargne est réinvestie dans d’autres activités économiques, plus productives.

    - La diabolisation de la spéculation et la haine des marchés me semble infondés : la spéculation a un rôle régulateur et anticipateur, elle permet de lisser les cours et de diminuer le prix du risque bien plus efficacement que n’importe quelle réglementation : un spéculateur qui achète des actions à un taux élevé et qui les revend à un taux faible est vite éliminé du marché. La spéculation, est, du reste, une activité noble qui est pratiquée par tous les êtres humains, car elle repose sur la faculté d’anticiper et de se projeter dans l’avenir.

    - Si l’échange est vraiment libre (cad sans qu’une contrainte soit exercée), c’est qu’il est profitable aux deux parties, sinon il n’aurait pas lieu, par définition. smiley



  • Wàng 3 avril 2011 21:58

    Il y a une notion simple qui est trop souvent passée sous silence, c’est que les investisseurs et les actionnaires veulent un retour sur investissement et rapidement !

    @ Krokodilo : j’avoue que je me pose la question, pour plusieurs raisons :

    - Au moment où l’actionnaire revend une action, il a intérêt à ce que l’entreprise paraisse la plus saine et la plus viable possible sur le long terme (pour que son cours soit élevé), alors que l’horizon des hommes d’état c’est souvent d’acheter des clientèles électorales.

    - L’actionnaire me semble toujours mieux placé que l’homme d’état pour contrôler directement (conseils d’administration) ou indirectement (revente par les petits actionnaires) la gestion des entremprises, tout simplement parce que c’est leur argent qui est en jeu, alors que l’homme de l’état qu prétend savoir quelle direction prendre ne met pas son propre argent en jeu. C’est pour ça que la Bourse n’est pas inutile, mais est un lieu de création de richesses en permettant aux entreprises de trouver facilement de quoi se financer, d’améliorer la gestion des entreprises, et de permettre aux épargants de retrouver vite leur mise. Pour améliorer la responsabilité des acteurs économiques, il faudrait donc moins de financement par le crédit et davantage d’émission d’actions, donc davantage d’épargne, donc une fiscalité qui punit moins l’accumulation de capital. Cad, plus de capitalisme.

    - L’économie présuppose toujours l’existence d’un marché et d’une régulation, mais la régulation est différente si elle concerne la défense et la définition des droits individuels (droit de propriété), qui est la position du libéralisme, ou si elle repose sur l’exercice de la contrainte légale. Ce qu’on décrit comme les excès du libéralisme peut aussi être interprété comme les conséquences perverses de l’interventionnisme étatique (pour la crise de 2008 : fluctuation des taux d’intérêts par la FED + organismes d’état couvrant les prêts subprime) ou d’un non respect des droits individuels (droits de propriété non définis => irresponsabilité, prédation), qui comporte toujours une dimension de destruction de richesses.

    - Ne pas passer sous silence le rôle régulateur et anticipateur de la spéculation, trop diabolisée mais qui permet lisser les cours et de diminuer le prix du risque bien plus efficacement que n’importe quelle réglementation : un spéculateur qui achète des actions à un taux élevé et qui les revend à un taux faible est vite éliminé du marché. La spéculation, est, du reste, une activité noble qui est pratiquée par tous les êtres humains, car elle repose sur la faculté d’anticiper et de se projeter dans l’avenir.

    - Il y aurait aussi des choses intéressantes à dire sur des exceptions du style Enron, du caractère capitaliste des fonds de pension ; pour bien comprendre qui du système capitaliste ou réglementé est le moins instable.



  • Wàng 31 mars 2011 12:15

    Le protectionnisme est une ineptie destructrice de richesses.

Voir tous ses commentaires (20 par page)

LES THEMES DE L'AUTEUR

Economie Tribune Libre

Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv