bonjour juluch
l’action policière est utile mais n’est pas la solution de fond, il ne peut y avoir de solution durable si l’on ne s’interroge pas sur les raison de l’existence et l’embellit de ce trafic.
l’utilisation médiatique pour campagne électorale ou pour exemple d’efficacité policière ne sont que du spectacle.
le contrôle interne des citoyens ne s’exerce bien que dans une situation d’équité et de surface spatiale évitant la concentration humaine.
tout le contraire de ce que développe cette société.
elle peut faire les campagnes de sensibilisation qu’elle veut, si elle développe les maux qui conduisent à ces usages, les effets seront minimes et certaines cités ressembleront à des camps de concentration.
toutes les étude démontre que économiquement la libéralisation des drogues sous contrôle de distribution seraient plus efficace que toutes répressions qui ne fait que changer les dealers et les lieux de distribution.
mais voilà notre morale et un obstacle rigide, pourtant ce qui ont pu légaliser l’IVG on eu un obstacle encore plus grand.
mais si c’était aujourd’hui cela ne passerait plus, comme la suppression de la peine de mort.
alors peut-être serait -il bon de s’interroger pour quelles raisons le seuil de tolérance et d’acceptation est devenu aussi bas et frileux, et transforme en drame et en victimisation toutes difficultés que rencontre les hommes depuis des millénaires et qui sont toujours les mêmes, et qui ont régressé.
la réponse est assez facile, l’exemple de cet homme de 16 ans en est l’exemple, il y a des lieux ou l’on devient plus rapidement adulte que dans d’autres, et quand à cet âge là l’on nourri sa famille comme l’évoque l’article, même si ce n’était peut-être pas le cas de la victime, c’est que ce n’est pas seulement une affaire de délinquance débile ou désœuvrée.
cordialement.