Je soutiens totalement ASP Explorer sur ce point.
Si la souffrance animale vous est si insupportable, allez donc courir la savane pour infliger à la tendre gazelle les analgésiques qui allègeront son agonie quand elle tombera sous les crocs de son prédateur naturel. Faites des couveuses à guèpes pour les empêcher de pondre leurs larves dans les corps vivants d’araignées qu’elles dévorent de l’intérieur. Que comptez-vous faire pour protéger la musaraigne contre les griffes cruelles du chat joueur ?
Si vous ne faites rien de cela, c’est que la souffrance animale n’est pas le problème. Dans le fond, elle vous indiffère, monstre que vous êtes ! Elle n’est qu’un prétexte.
Alors creusons ! Qu’est-ce qui vous choque dans la souffrance de la bête ? C’est uniquement qu’elle est infligée par l’homme, non ? Mais si, bien sûr ! Vous voilà révélé au grand jour : vous êtes spéciste ! Vous imposez à une espèce précise, l’homme, des responsabilités que d’autres n’ont pas ! Vous faites donc bien une distinction entre espèces ! Et non seulement vous êtes un sale spéciste, mais probablement parmi les plus ignobles : votre zoolâtrie ne sert qu’à masquer votre misanthropie !
Faites donc œuvre de charité et allez vous donner en pâture aux grands fauves !
Le vrai spécisme est un humanisme et je suis fier d’en être.