Hum, ne trouvez-vous pas M. George Yang qu’en matière de gestion du budget de l’état, la gestion de M. Sarkozy & Co est, si ce n’est surprenante, tout du moins singulière. Je ne ferais pas l’affront de vous énumérer le nombre de dispositions fiscalement contreproductives (La loi TEPA, la TVA des restaurateurs, le bouclier fiscal, la réforme de l’impôt sur les droits de succession - à apprécier en fonction de la hauteur du patrimoine pour lequel ça change quelque chose, et jusqu’à quel point !! - etc.) les guerres engagées en son nom propre (OTAN et donc Afghanistan, Lybie - voir pour info le déficit américain vs. son engagement militaire (Irak, Afghanistan) celui ci représentant une part considérable de la dette publique dont la facture sera payée par les américains, VS. les commanditaires du conflit, Hallyburton en tête, dont les bénéfices issus de cette guerre n’iront pas alimenter les caisses de l’état qui en assume le coût !! Toute similarité serait bien entendu fortuite avec un conflit récent dans laquelle était engagée la France...
De là à dire que la pensée d’une certaine droite dite décomplexée ( comprendre : vulgaire, immorale, cupide, sans éducation ni culture) se résume au poncif : Mutualisation des déficits et privatisation des bénéfices... il n’y a qu’un pas que l’on franchit sans mégarde !!
Si en plus on y ajoute népotisme, mauvaises fréquentations (bon, on peut se tromper dans le choix de ses amis... ça arrive... bon, aussi souvent, ça interpelle...), voire même mavaises actions (comme ont l’air de le supposer différents juges instruisant des affaires différentes mais servant toutes les mêmes intérêts).
Et si en plus afin d’assurer sa propre réélection à l’immunité présidentielle on n’hésite pas à « flirter » (doux euphémisme triple épaisseur) avec des idées et des petites phrases qui renvoient à un passé qui laisse planer quelques doutes sur la filiation idéologique entre la pensée Gaullienne et son héritier auto-déclaré...
Maintenant, je vous laisse réfléchir, libre à vous d’en tirer les conclusions qui s’imposent et de voter pour qui vous voudrez. Cela ne changera rien à mes propos ni aux faits auxquels ils font allusion.