Merci de vous être penché sur cette idée et de l’avoir bien assimilé !
La petite contradiction que vous relevé, le l’assume pleinement et je l’ai laissé là de manière volontaire. La réponse apparaît indirectement.
Quand j’écris « la liberté économique commence là où s’arrêtent les nécessités du contrat social », cela sous entend qu’une fois remplis les besoins du contrat social, le temps dégagé peut être dévolu à produire plus, dans le cadre des limites imposés par le contrat social, notamment en terme d’environnement.
Ce qui changerai à terme, c’est que l’offre supplémentaire serait choisi par plébiscite en mettant divers projets en concurrences. En d’autres termes, la publicité serait en amont et non plus en aval de la création. Ceci permettant une gestion et un contrôle de la production ce qu’on nomme planification.
Car ce n’est pas la concurrence qui favorise la créativité, mais l’émulation autour des défis que se pose la société.
A la question du chomage, c’est de son image négative d’une population assisté, perdante voir perdu et les opposants aux travailleurs. Une fracture nuisible pour la société au seul bénéfice de la ploutocratie.
Enfin, vous avez peut être un peu perdu le fil du texte dans le sens où le travail est relatif à ce qui pour vous est vécu comme contraignant, dans le cas congtraire ce n’est pas un travail. Tant que vous faites un métier par goût c’est une activité, le jour où vous le faites par habitude et monotonie, cela evient un travail.
Donc, l’idée consiste à ne pas se couper du travail, parce que en lui même il est un facteur fort de cohésion sociale pour la valeur d’effort et de sacrifice volontaire qu’il véhicule.
Alors, même si les robots peuvent tout faire, la société n’a pas intérêt à se passer totalement du travail au risque d’entrer dans une lassitude mortifère.
Comme Boudhha le dit, il faut trouver la voie du milieu !
Bien à vous.