C’est la volonté affichée de nous faire disparaître en nous amenant,
tel du bétail, à un degré d’américanisation extrème afin que nous nous
fondions dans le mondialisme amerloque auquel ils obéissent.
Nos gouvernants veulent aujoud’hui nous confisquer notre langue.
Jamais, je n’aurais pensé cela possible. Un peuple sans sa langue
n’existe plus. Nous vider de ce que nous sommes, c’est bien le projet
qu’ils poursuivent en plus de celui de vouloir marchandiser le savoir,
et de ce fait l’interdire à tous ceux qui n’ont ni l’argent ni la
maitrise de cette putain de langue étrangère qui aujourd’hui agit comme
un formidable outil de domination.
L’anglais, le Round-up qui ne laissse rien derrière lui. Une langue devenue une arme politique, ravageuse, polluante, tueuse.
Et que l’on se méprenne pas sur mon propos, l’anglais en soit n’a
rien qui m’horripile, c’est le projet d’asservissement qu’elle porte que
je dénonce. Son hégémonie jamais remise en cause par personne comme
acceptée par fatalité.
Pour moi, comme pour l’auteur, défendre notre langue c’est le premier
acte de résistance que nous devons poser pour continuer à exister. Il y
va de nos propres intérêts ainsi que de ceux de la francophonie.
La France qui abandonne sa langue, c’est inconcevable. Et pourtant nous en sommes là.
Je m’adresse à tous les étudiants, les premiers concernés, refusez en
bloc, pour votre propre salut et celui de vos familles. Il faut faire
échec à ce projet de loi. Si il s’avère qu’elle soit votée, protestez,
refusez de suivre cette trahison. Devant l’infamie, notre premier devoir
est de désobéir.
Ils dépècent la France un peu plus tous les jours.
Ce n’est plus tenable. Ils sont devenus nos ennemis.
Il est vraiment temps que nous reprenions notre indépendance et notre souveraineté.
Je soupçonne encore les directives de l’UE d’être derrière ça comme
de tout le reste. Et aucune opposition de la part des dirigeants de ce
pays qui ne sont là que pour mettre en place cette politique de
destruction, dociles et zélés.
Le cauchemar continue.
(commentaire posté une autre fois sur l’autre article traitant du français aujourd’hui )