Bourrico6, c’’est ce qu’on appelle un procédé malhonnête.
Vous coupez la phrase et la sortez de son contexte
la phrase complète est "La véritable et seule faillite de la science actuelle, est son
dogmatisme, tendance inquisition (persécution, procès d’intentions,
bannissement, etc)."
Donc, ce n’est pas la science qui est en faillite, mais son dogmatisme, porté bien évidemment par les hommes. C’est ce que j’écris ensuite.
Je me répète, c’est bien d’en parler et de les explorer, mais c’est une
fumisterie que de les présenter comme un avenir révolutionnaire, ce que
fait l’auteur à longueur de temps.
Vous pouvez le penser, mais on peut ne pas être d’accord. Surtout si on se réfère à l’histoire de la science. Celle ci est truffé de fumisterie, mais certaines, jugé comme telle d’abord (au moment de la présentation) se sont ensuite révélés exactes. L’auteur prétend avoir découvert le Graal de la physique, moi celui de l’ontologie et d’autres aussi. Peut être que tous le monde à tort, mais aussi peut être que dans le lot, un à raison.
Et ?
A l’heure où les crises se succèdent les unes aux autres, une réponse sur la nature d’être de l’Univers, nous renseigne sur notre propre raison d’être. Or, c’est toucher à l’image, la représentation que nous nous faisons du monde qui en changeant ou évoluant, nous fait évoluer dans notre manière de penser la société.
Si j’affirme que l’espace est insécable et que seul le temps est divisible, cela dit que la nature physique du monde n’admet pas la propriété de l’espace, mais seulement celle du temps. Or, si je considère que le temps est une valeur unique à chaque être vivant, alors, je viens de dire que sur le modèle de la nature physique, la propriété de la terre n’existe pas et est pour elle, un vol, une contre nature. Seule existe la propriété du temps et celui ci est personnel, unique à chacun et ne peut dès lors pas se vendre, ni être exploité par autrui, seulement s’offrir et s’associer avec autrui.